HM Prison Pentonville
Prison de Pentonville (en) HM Prison Pentonville | ||||
(en) « The Ville » | ||||
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La prison de Pentonville en 1842. | ||||
Localisation | ||||
Pays | Royaume-Uni | |||
Nation constitutive | Angleterre | |||
Région | Grand Londres | |||
Borough | Islington | |||
Localité | Barnsbury | |||
Coordonnées | 51° 32′ 42″ nord, 0° 06′ 57″ ouest | |||
Géolocalisation sur la carte : Grand Londres
Géolocalisation sur la carte : Angleterre
Géolocalisation sur la carte : Royaume-Uni
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Architecture et patrimoine | ||||
Construction | ||||
Installations | ||||
Type | HM Prison | |||
Fonctionnement | ||||
Date d'ouverture | 1842 | |||
Opérateur(s) | His Majesty's Prison Service | |||
Effectif | 1 250 (avril 2010) | |||
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La prison de Pentonville (en anglais : HM Prison Pentonville), également appelée de manière informelle « The Ville », est une prison britannique de catégorie B conçue comme une prison-modèle et érigée en 1842 dans la banlieue londonienne sur la Caledonian Road à Barnsbury dans le borough londonien d'Islington, non loin de la ville de Pentonville qui lui donne son nom[1].
La prison de Pentonville était destinée à recevoir pour un terme d'environ 18 mois les condamnés à la déportation. Les prisonniers y étaient divisés en trois catégories[2]:
La prison innove dans les questions d'hygiène et de santé – morale comme physique – des détenus :
« Le prisonnier au moment de son admission est visité par le médecin puis conduit dans une cellule où il entend la lecture et l'explication des règles qu'il devra suivre et de celles que les gardiens de la prison sont tenus d'observer à son égard. Ayant à sa disposition quelques livres d'instruction et de piété, visité très fréquemment par les employés dont la mission principale est d'obtenir par des exhortations appropriées son amendement rapide et régulièrement tous les mois par un ou plusieurs membres de la commission de surveillance pouvant tous les jours quand le temps est beau se livrer à des exercices en plein air, libre de communiquer de loin en loin avec sa famille, de lui écrire ou de recevoir ses lettres, conservant d'ailleurs en tout temps la faculté de réclamer la visite d'un commissaire et le redressement d'une injustice s'il s y est trouvé exposé le détenu rencontre on le voit dans la vie cellulaire pratiquée à Pentonville tout ce qui peut s'offrir de douceur et de mansuétude dans le châtiment[2]. »