Prithviraj Sukumaran fait ses débuts d'acteur avec le film à succès Nandanam (2002)[4]. Après une baisse de carrière, il fait un retour avec Classmates (2006), le film malayalam le plus rentable de l'année, et est devenu le plus jeune récipiendaire du Kerala State Film Award du meilleur acteur pour Vaasthavam (2006). Il jo ensuite un musicien dans la comédie romantique tamoule Mozhi (2007) et s'est aventuré dans le chant playback avec Puthiya Mukham (2009) avant de remporter son deuxième Kerala State Film Award du meilleur acteur pour le drame médical Ayalum Njanum Thammil et le film biographique Celluloid (tous deux en 2010)[5].
En 2010, Prithviraj Sukumaran rejoint la maison de production August Cinema. Il coproduit et dirige Urumi et Indian Rupee (tous deux en 2011) ; ce dernier remporte le National Film Award du meilleur long métrage en malayalam et le Kerala State Film Award du meilleur film[6]. Il remporte le Tamil Nadu State Film Award du meilleur méchant pour Kaaviya Thalaivan (2014) et connait d'autres succès avec Ennu Ninte Moideen (2015) et Ezra (2017). Après avoir quitté August Cinema en 2017, il lance Prithviraj Productions de manière indépendante, qui a d'abord soutenu 9 (2019). Prithviraj Sukumaran fait ses débuts en tant que réalisateur avec Lucifer (2019), le film malayalam le plus rentable à ce moment-là. Il a depuis remporté un succès critique et commercial avec Driving Licence(en) (2019), Ayyappanum Koshiyum (2020), Jana Gana Mana (2022), Kaduva(en) (2022), The Goat Life (2024) et Guruvayoor Ambalanadayil (2024) et joue un rôle central dans le film d'action Telugu Salaar (2023)[7],[8],[9],[10].
Prithviraj Sukumaran naît le 16 octobre 1982[11] des acteurs Sukumaran et Mallika Sukumaran[12] à Thiruvananthapuram[13].
En 2013, Prithviraj Sukumaran sort trois films : Celluloid, Mumbai Police et Memories, qui sont tous des succès critiques et commerciaux. Il interprète JC Daniel dans Celluloid, pour lequel il remporte son deuxième Kerala State Film Award du meilleur acteur[5]. Il joue également le rôle d'un policier dans Aurangzeb, réalisé par Athul Sabharwal et produit par Yash Raj Films[14], qui est son deuxième projet dans le cinéma hindi.
Prithviraj Sukumaran fait ses débuts de réalisateur en 2019 avec le film Lucifer, avec Mohanlal. Le film est le film malayalam le plus rentable cette année-là[15]. Au cours des années suivantes, il joue dans la comédie dramatique Driving Licence(en) (2019), Ayyappanum Koshiyum (2020), Jana Gana Mana (2022), Kaduva(en) (2022) et Salaar : Part 1 – Ceasefire (2023), qui ont tous connu un succès au box-office. Cependant, Brother's Day, Kaapa et Gold ont échoué au box-office. En 2024, il joue dans le drame de survie, The Goat Life (Aadujeevitham), réalisé par Blessy. Prithviraj Sukumaran avait été choisi pour le projet seize ans auparavant, en 2008. The Goat Life connait un succès critique et commercial, Prithviraj étant salué par la critique pour sa performance[16]. Son deuxième film, la comédie dramatique Guruvayoor Ambalanadayil, est également un succès commercial[17].
Prithviraj épouse le 25 avril 2011 la journaliste de la BBC India Supriya Menon lors d'une cérémonie privée tenue à Palakkad[18],[19]. Ils ont une fille, née en 2014. Prithviraj et sa famille résident à Thevara, Kochi (Cochin)[20],[21].
Prithviraj Productions est une société de production et de distribution de films indienne basée à Cochin, créée en 2017 par Prithviraj et son épouse Supriya Menon. Depuis lors, elle a produit et distribué plus de dix films[22],[23].
↑(en) « 'Jana Gana Mana' box office collection day 26: Prithviraj starrer enters the 50-crore club », The Times of India, (lire en ligne, consulté le )
↑(en) S. R. Praveen, « ‘Aadujeevitham – The Goat Life’ movie review: Prithviraj’s performance drives a survival drama that borders on monotony », The Hindu, (lire en ligne, consulté le )
↑(en) S. R. Praveen, « ‘Guruvayoor Ambalanadayil’ movie review: Prithviraj and Basil Joseph’s humorous bromance loses steam halfway through », The Hindu, (lire en ligne, consulté le )
↑« Prithviraj Sukumaran: One area of the Mollywood industry that I believe is in a nascent stage is our distribution network », The Times of India, (lire en ligne, consulté le )