Préveranges

Préveranges
Préveranges
Le centre du village vers 2006.
Blason de Préveranges
Blason
Préveranges
Logo
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Centre-Val de Loire
Département Cher
Arrondissement Saint-Amand-Montrond
Intercommunalité Communauté de communes Berry Grand Sud
Maire
Mandat
Fabrice Pigois
2020-2026
Code postal 18370
Code commune 18187
Démographie
Population
municipale
518 hab. (2021 en évolution de −4,78 % par rapport à 2015)
Densité 14 hab./km2
Géographie
Coordonnées 46° 26′ 00″ nord, 2° 15′ 20″ est
Altitude Min. 285 m
Max. 504 m
Superficie 38,16 km2
Type Commune rurale à habitat très dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Châteaumeillant
Législatives Troisième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Préveranges
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Préveranges
Géolocalisation sur la carte : Cher
Voir sur la carte topographique du Cher
Préveranges
Géolocalisation sur la carte : Centre-Val de Loire
Voir sur la carte administrative du Centre-Val de Loire
Préveranges

Préveranges est une commune française située dans le département du Cher en région Centre-Val de Loire.

Géographie

[modifier | modifier le code]

Préveranges est située à l'extrémité sud du Cher, au carrefour de 3 départements (Indre, Allier et Creuse), à la limite du Centre Val de Loire, de l'Auvergne-Rhône-Alpes et de la Nouvelle-Aquitaine.

C'est sur la commune de Préveranges que se trouve le point culminant de la région Centre-Val de Loire et du département du Cher, au lieu-dit le Magnoux, à 504 mètres d'altitude. Il y est possible, par temps clair, d'apercevoir le puy de Dôme, distant à vol d'oiseau de 94 kilomètres seulement. Le village se rattache au plateau du bas Berry avec une géologie et des caractéristiques climatiques différentes de celles rencontrées plus au nord en direction des plaines du Berry vers Châteaumeillant par exemple. Le territoire communal est traversé par la rivière Joyeuse, affluent de l’Arnon. La commune est située sur le sentier de grande randonnée de pays : Sur les pas des maîtres sonneurs.

Localisation

[modifier | modifier le code]
Rose des vents Saint-Saturnin Sidiailles Rose des vents
Saint-Priest-la-Marche N Saint-Palais
(Allier)
O    Préveranges    E
S
Saint-Marien
(Creuse)
Saint-Pierre-le-Bost
(Creuse)

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est dans une zone de transition entre le climat océanique altéré et le climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Ouest et nord-ouest du Massif Central, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 900 à 1 500 mm, maximale en automne et en hiver[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,3 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,3 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 935 mm, avec 12,7 jours de précipitations en janvier et 7,7 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique installée sur la commune est de 11,3 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 911,3 mm[3],[4]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[5].

Statistiques 1991-2020 et records PRÉVERANGES (18) - alt. : 462 m, lat : 46°25'31"N, lon : 2°14'11"E
Records établis sur la période du 01-05-1997 au 03-12-2023
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) 1,1 1 3,3 5,8 9 12,4 14 14,2 11,1 8,5 4,3 1,8 7,2
Température moyenne (°C) 3,8 4,2 7,3 10,3 13,7 17,4 19,3 19,4 16 12,4 7,4 4,6 11,3
Température maximale moyenne (°C) 6,4 7,5 11,4 14,7 18,5 22,5 24,6 24,7 20,9 16,2 10,5 7,3 15,4
Record de froid (°C)
date du record
−10,9
26.01.07
−13
11.02.12
−13,3
01.03.05
−3,2
08.04.03
0
08.05.1997
4
08.06.05
7,1
17.07.00
5,2
28.08.1998
1
19.09.07
−6,1
29.10.1997
−8,5
22.11.1998
−12,6
15.12.01
−13,3
2005
Record de chaleur (°C)
date du record
18,8
06.01.1999
22,4
20.02.1998
23,2
16.03.12
29
30.04.05
32,1
27.05.05
38,6
29.06.19
39
23.07.19
38,6
07.08.03
33,6
10.09.23
32,2
02.10.23
24,8
08.11.15
18,2
17.12.15
39
2019
Précipitations (mm) 80,1 63,2 72,4 85,7 87,7 73 75,7 67,6 61,8 81,2 79,6 83,3 911,3
Source : « Fiche 18187004 », sur donneespubliques.meteofrance.fr, edité le : 06/12/2023 dans l'état de la base


Au , Préveranges est catégorisée commune rurale à habitat très dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[6]. Elle est située hors unité urbaine[7] et hors attraction des villes[8],[9].

Occupation des sols

[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (96,4 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (98,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (37 %), prairies (32,8 %), terres arables (26,7 %), forêts (2,6 %), zones urbanisées (1 %)[10].

L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs

[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Préveranges est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), mouvements de terrains et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses, et à un risque particulier : le risque de radon[11]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[12].

Risques naturels

[modifier | modifier le code]
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Préveranges.

La commune est vulnérable au risque de mouvements de terrains constitué principalement du retrait-gonflement des sols argileux[13]. Cet aléa est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 56,8 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (90 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 562 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 209 sont en aléa moyen ou fort, soit 37 %, à comparer aux 83 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[14],[Carte 2].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[11].

Risques technologiques

[modifier | modifier le code]

Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est en effet susceptible d’avoir des effets graves au bâti ou aux personnes jusqu’à 350 m, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[15].

Risque particulier

[modifier | modifier le code]

Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Toutes les communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon la classification de 2018, la commune de Préveranges est classée en zone 2, à savoir zone à potentiel radon faible mais sur lesquelles des facteurs géologiques particuliers peuvent faciliter le transfert du radon vers les bâtiments[16].

Le nom de la localité est attesté sous la forme Préverangcs en 1207[réf. nécessaire].

Prévéranges, mentionné dans les archives de l’abbaye de Buxières-d'Aillac en 1207, est une ancienne paroisse qualifiée de ville dans un acte de 1429. Elle possédait un château relevant de Châteauroux. Il appartenait aux seigneurs de Déols, puis passa dans la famille des Bomiers. Ensuite on trouve les familles le Bouteiller et de Bigny ; enfin la place est vendue à Henri II de Bourbon-Condé, prince de Condé, en 1627. Il est décrit en 1723 à l’occasion de travaux de rénovation[17] puis revendu à Michel Leteillier en 1663[pas clair] avec la terre de Culan, ces deux seigneuries demeurent ensuite unies[18].

Le château, qui comprenait encore en 1741 trois tours et des fossés, est « absolument détruit » quand Alphonse Buhot de Kersers fait la description de la commune.

En 1773, le duc Emmanuel de Croÿ donne une maison pour servir d’école de charité et de logement au maître d’école, école qualifiée de collège de Préveranges et vendue à la Révolution[18]. Le nom de Croï est encore associé à la maison qui abrite la mairie et des logements locatifs[19],[20].

Politique et administration

[modifier | modifier le code]
Mairie de Préveranges, inaugurée en 2013.
Résidence Prince de Croï et agence postale.

Liste des maires

[modifier | modifier le code]
Liste des maires successifs[21]
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1791   Delarebardière    
1791 1792 Claude Bonnefoy    
1792 1793 Jean Alaguillemette    
1793 1795 Alexandre Dechaut    
1795 1795 Charles Despres    
1795 1798 Gabriel Ferrasson    
1798 1799 Martin Bonnefoy    
1799 1801 Jean Baptiste Duchier    
1802 1804 Alexandre Dechaut    
1805 1813 Jean Alaguillemette    
1813 1816 Jean Simon Decerf    
1816 1824 Pierre Paul Aubergier    
1825 1830 Jean Baptiste Bellaigue    
1830 1843 François Auguste Chambraud    
1843 1849 Martin Demont    
1849 1860 Gilbert Ferrasson    
1860 1870 François Hippolyte Vaillant    
1870 1890 Jean Baptiste Ruchon    
1890 1906 Jean Maurice Morand    
1906 1912 Alphonse Noel    
1912 1916 Lambert Labat    
1916 1919 François Gansoinat    
1919 1925 Abel Fournier    
1925 1929 Louis Dussaut    
1929 1935 Marius Guéraud    
1929-05-19 1929-05-30 Jean Baptiste Noblet    
1935 1944 Albert Cotineau    
1944 1945 Constant Piolet    
1945 1947 Marius Guéraud    
1947 1965 Lucien Auclair    
1965 1971 Annie Bouvat-Martin    
1971 1981 Henri Auvity    
1981 1983 Fernand Laplanche    
1983 2001 André Grymonprez    
mars 2001 2014 Jacques Nicolas UMP  
avril 2014 En cours Fabrice Pigois[22],[23]   Ouvrier qualifié de type artisanal

Politique environnementale

[modifier | modifier le code]

Dans son palmarès 2016, le Conseil National des Villes et Villages Fleuris de France a attribué deux fleurs à la commune au Concours des villes et villages fleuris[24].

Démographie

[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[25]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[26].

En 2021, la commune comptait 518 habitants[Note 1], en évolution de −4,78 % par rapport à 2015 (Cher : −3,05 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 4171 2931 3031 4861 9631 8071 7301 7901 808
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 7201 6521 7851 7591 8271 9102 1202 1812 193
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
2 1412 1082 0821 7561 6861 5831 4551 3881 345
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
1 2331 081930861772665596584530
2021 - - - - - - - -
518--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[27] puis Insee à partir de 2006[28].)
Histogramme de l'évolution démographique

Culture locale et patrimoine

[modifier | modifier le code]
L'église Saint-Martin.
Porte de l'église Saint-Martin
Plaque tombale de Jaques Pasquet.

Lieux et monuments

[modifier | modifier le code]

Église Saint-Martin

[modifier | modifier le code]

L’église Saint-Martin est du XIIIe siècle, comme le montre le style de son porche occidental qui possède une porte en plein cintre, dont la voussure torique repose sur des colonnettes aux chapiteaux frustes. Les pierres de taille sont de granit. L’église a été remaniée plusieurs fois[29],[18].

La nef est recouverte d’un berceau plâtré. De chaque côté a été ajouté au XVIIe siècle une chapelle ; celle du Nord est porte la date de 1669. Elle fut construite par Gabrielle de Barbançois, veuve de Gilbert des Ages, seigneur du Mas-Sarrazin, sous l’invocation de saint Abdon et saint Janvrin. Elle était encore désignée en 1772 comme chapelle de Saint-Abdon[18]. Toutes deux sont voûtées d’ogives et communiquent avec la nef par des arcades brisées ou cintrées. Le chœur, qui ne se distingue pas de la nef, est éclairé par une longue fenêtre brisée. Dans un pilier est incrusté l’inscription suivante[18] :

« Cy gist honorable homme Jaques Pasquet notaire de ce lieu natif du bourg de Champagna le(quel) la fondé à perpétuité en l’églize de céans une messe avec libera à la fin d’icelle le dixiesme des moys et pur ce ai doné la somme de six livres conct solz par anée assignés sur les héritages à p(rése)nt par Gilbert Bonefoy au village de Viller. Priez Dieu pour son âme que a la (elle aille à) Dieu. Le dixième de septembre 1625 estant agé de 58 ans. Dieu lui fasse pardon. Ainsi soit il. »

À l’extérieur, la tour de la façade se termine par un toit à quatre pans.

Croix de chemin

[modifier | modifier le code]
Préveranges - Croix de chemin (détail)

Autour du village se trouve un certain nombre de croix de chemin, la plupart en bois. Elles ont la particularité de porter, clouées sur le tronc ou sur les bras, de petites croix, en bois également. La tradition veut[20] que lors d’un passage funèbre du domicile du défunt au cimetière, le cortège s’arrête à une de ces croix de chemin et qu’une petite croix y soit apposée.

Personnalités liées à la commune

[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

  • La mère de Roger Walkowiak est née à Préveranges.
  • Vincent Rochon, né le à Dun-sur-Auron décédé en 1919, est instituteur à Préveranges, auteur d'une monographie sur la commune ainsi que donateur d'un legs important à la commune.
  • André Moulinier, compagnon de la Libération, commandeur de la Légion d'Honneur, décédé le à Romorantin dans le Loir-et-Cher, est inhumé au cimetière de Préveranges.

Héraldique

[modifier | modifier le code]

La mairie déclare ne pas (ou ne plus) avoir de blason, et utilise un logotype (qui bien qu'ayant forme d'écu, ne peut être considéré comme blason).

Les anciennes armoiries de Préveranges se blasonnaient ainsi :

D’azur à la barre d’argent chargée de l’inscription « BOISCHAUT – MARCHE » en lettres capitales de sable, accompagnée en chef d’une tête de vache et en pointe d’une truite contournée et ployée en barre, le tout d'argent.
Ce qui est représenté sur le site de la commune ne peut être considéré comme un blason.

Préveranges est jumelée avec Préverenges en Suisse.

Notes et références

[modifier | modifier le code]

Notes et cartes

[modifier | modifier le code]
  • Notes
  1. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références

[modifier | modifier le code]
  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  3. « Station Météo-France « Preveranges » (commune de Quincy) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  4. « Station Météo-France « Preveranges » (commune de Préveranges) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  5. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  6. « La grille communale de densité », sur le site de l’Insee, (consulté le ).
  7. Insee, « Métadonnées de la commune ».
  8. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  9. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  10. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  11. a et b « Les risques près de chez moi - commune de Préveranges », sur Géorisques (consulté le ).
  12. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  13. « Dossier départemental des risques majeurs dans le Cher », sur cher.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Mouvements de terrain.
  14. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  15. « Dossier départemental des risques majeurs dans le Cher », sur cher.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque transport de matières dangereuses.
  16. « cartographie des risques d'inondations du tri de perpignan/saint-cyprien », sur le site de l’IRSN, (consulté le ).
  17. Émile Chénon, « LXIII.- État en mai 1723 des châteaux de Préveranges, la Roche-Guillebaud, la Forêt-Grailly et Culant », dans Mémoires de la Société des Antiquaires du Centre, vol. 41, (lire en ligne), p. 23-35.
  18. a b c d et e Alphonse Buhot de Kersers, « Canton de Chateaumeillant : Commune de Préveranges », dans Histoire et statistique monumentale du Cher, t. III, , p. 227-228 — Édition de 1996 dans la collection « Monographies des villes et villages de France », Office d'édition du livre d'histoire.
  19. Inauguration de la nouvelle mairie et de la résidence de Croi de Préveranges sur le site cfbp.fr.
  20. a b et c Préveranges d’hier à aujourd’hui
  21. Pour les maires avant 2001, source : http://preveranges-d-hier-a-aujourdhui.e-monsite.com/
  22. « Résultats des élections municipales 2020 - Maire sortant », sur le site du Télégramme de Brest (consulté le ).
  23. « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le ).
  24. Site des villes et villages fleuris, consulté le 23 décembre 2016.
  25. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  26. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  27. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  28. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  29. François Deshoulières, « Église Saint-Martin de Prévéranges », dans Les Églises de France : Cher, Paris, Librairie Letouzey et Ané, , p. 199.

Articles connexes

[modifier | modifier le code]

Liens externes

[modifier | modifier le code]