Le périmysium jouerait un rôle dans la transmission des mouvements musculaires contractiles latéraux. Cette hypothèse est fortement étayée par l'existence de plaques jonctionnelles périmysiales[1],[2] dans les muscles fléchisseurs radiaux du carpedesongulés[3]
↑Ibrahimm Npochinto Moumeni, « PLASTICITE CEREBRALE ET NEUROMUSCULAIRE : Médication par l’exercice physique et récupération fonctionnelle dans la parésie spastique déformante des syndromes pyramidaux, type Accidents Vasculaires Cérébraux chez l’adulte », Sorbonne-Université (thèse), Sorbonne Université ; Bircham International University (Espagne), (lire en ligne, consulté le )
↑Maud Pradines, « Influence de la maladie du muscle sur la commande descendante dans la parésie spastique et effets cliniques et biomécaniques de l’étirement chronique », Université Paris-Est-Créteil-Val-de-Marne (thèse), (lire en ligne, consulté le )
↑E. Passerieux, R. Rossignol, A. Chopard, A. Carnino, J.F. Marini, T. Letellier, J.P. Delage, « Structural organization of the perimysium in bovine skeletal muscle: Junctional plates and associated intracellular subdomains », Journal of Structural Biology, vol. 154, , p. 206–216 (ISSN1047-8477, PMID16503167, DOI10.1016/j.jsb.2006.01.002, lire en ligne)