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Rafaël Pividal est le fils d'une mère française, Claude Saillard, danseuse classique, et d'un père argentin, Rafaël Juan José Pividal (28/04/1896-29/07/1945) avocat.
Il est le frère de Francisco Pividal, Marie Pividal, Geneviève Pividal, Jorge Pividal et Claude Jean Pividal.
Il a eu deux enfants, Isabel Pividal et Sébastien Pividal.
La grand-mère maternelle de Rafael est l'actrice française Germaine Dermoz (1888-1966).
À la mort de son père en 1945, Rafael et sa mère se retrouvent dans un grand dénuement. Dès l'âge de 14 ans, il doit donner des cours particuliers pour gagner un peu d'argent.
À partir de 1964, il enseigne la sociologie de l'art à la Sorbonne. Il soutient sa thèse de doctorat (sociologie) en 1995 et est par la suite habilité à la direction de thèse[2].
Parallèlement à son enseignement, Rafaël Pividal est successivement membre des comités de rédaction des revues Exil et Roman et écrit de nombreux ouvrages.
↑Résumé : Le pré joli est une cité de maisons préfabriquées. Chaque ménage possède un bout de jardin, fabriquées en séries. Jim, le héros, a hérité d’une de ses maisons. Secret, réservé, il est indéfinissable. Jim s’enfuit avec les enfants. Jim fabrique les zombies qui s’attachent aux enfants et que les parents poursuivent.
Extraits : « Ses bagages consistaient en une serviette de cuir, une belle serviette qui lui avait coûté 400 f. Elle lui servait à ranger ses papiers c’est-à-dire son courrier ». « Les habitants maintenant jetaient leurs ordures chez lui par habitude. Il n’y avait plus ni agressivité, ni mépris dans ce geste. C’était une coutume, un droit acquis ».
↑Argument figurant sur la jaquette : « À partir d’une poignée de porte en porcelaine trouvée aux puces, Rafaël Pividal, écrivain, amateur d’art, reconstitue le parcours d’Hector Guimard, un des maîtres de l’Art Nouveau. Des hôtels particuliers aux entrées de métro en passant par cet immeuble exceptionnel, le Castel Béranger, le film tente d’approcher la démarche de ce créateur et essentiellement son œuvre ».