Le nom générique, Rathayibacter, est un hommage à E. Rathay, phytopathologiste qui isola en premier des souches de ce genre de bactéries, avec le suffixe « -bacter » qui signifie « bâtonnet » en latin[4].
L'épithète spécifique, toxicus, dérive d'un terme latin signifiant « poison », en référence à la capacité de Rathayibacter toxicus de produire des corynetoxines[5].
L’espèce initialement décrite sous le nom Clavibacter toxicus Riley & Ophel 1992[5] a été déplacée dans le genre Rathayibacter par Sasaki et al. 1998[6].
↑(en) Mohammad Arif, Grethel Y. Busot, Rachel Mann, Brendan Rodoni, Sanzhen Liu et James P. Stack, « Emergence of a New Population of Rathayibacter toxicus: An Ecologically Complex, Geographically Isolated Bacterium », PLOS ONE, vol. 11, no 5, , e0156182 (ISSN1932-6203, DOI10.1371/journal.pone.0156182, lire en ligne).
↑(en) Alan F. Bird, « The Morphology of a Corynebacterium sp. Parasitic on Annual Rye Grass », Phytopathology, vol. 77, no 7, (DOI10.1094/phyto-67-828, lire en ligne).
↑(en) Michael Goodfellow, Phylum XXVI. Actinobacteria phyl. nov. In Bergey's Manual of Systematic Bacteriology, 2nd edn, vol. 5 (The Actinobacteria)., .
↑ a et b(en) Ian T. Riley et Kathy M. Ophel, « Clavibacter toxicus sp. nov., the Bacterium Responsible for Annual Ryegrass Toxicity in Australia », International Journal of Systematic Bacteriology, vol. 42, no 1, , p. 64–68 (ISSN0020-7713 et 1465-2102, DOI10.1099/00207713-42-1-64, lire en ligne, consulté le ).
↑(en) Junko Sasaki, Masao Chijimatsu et Ken-ichiro Suzuki, « Taxonomic significance of 2,4-diaminobutyric acid isomers in the cell wall peptidoglycan of actinomycetes and reclassification of Clavibacter toxicus as Rathayibacter toxicus comb. nov. », International Journal of Systematic Bacteriology, vol. 48, no 2, , p. 403–410 (ISSN0020-7713, DOI10.1099/00207713-48-2-403, lire en ligne, consulté le ).