Contexte général | |||||||||||||||||
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Sport | haltérophilie | ||||||||||||||||
Biographie | |||||||||||||||||
Nationalité sportive | thaïlandaise | ||||||||||||||||
Nationalité | Thaïlande | ||||||||||||||||
Naissance | |||||||||||||||||
Lieu de naissance | Bangkok, Thaïlande | ||||||||||||||||
Taille | 157 cm | ||||||||||||||||
Poids de forme | 63 kg | ||||||||||||||||
Palmarès | |||||||||||||||||
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Rattikan-Siripuch Gulnoi (thaï : รัตติกาล-ศิริภุช กุลน้อย), née le à Bangkok (Thaïlande)[1], est une ancienne haltérophile thaïlandaise. Elle est médaillée de bronze aux Jeux de 2012.
Aux Jeux olympiques d'été de 2012, Rattikan Gulnoi termine initialement à la 4e place avec un total de 234 kg soulevé mais après la disqualification de la médaillée de bronze ukrainienne Yuliya Kalina en juillet 2016, elle reçoit la médaille de bronze[2]. Elle est ensuite médaillée de bronze aux Jeux asiatiques de 2014[3] mais ne réussit pas à conserver sa médaille aux Jeux de 2016, ratant ses trois essais à l'épaulé-jeté[4].
En janvier 2020, le documentaire Lord of the Lifters diffusé à la télévision allemande, dévoile une vidéo de Gulnoi avouant se doper aux stéroïdes depuis son adolescence et être la « seule haltérophile thaïlandaise qui n'a jamais été testée positive »[5]. Elle ajoute que les filles commencent à se doper dès l'âge de 13 ans en Thaïlande et que la procédure est très bien établie dans les instances sportives du pays[5].