Crucifax Autumn (1988) (également édité sous le titre : Crucifax (1989), publié en français sous ce titre aux éditions Pocket coll. « Terreur » no 9042, 1991)
Tapineuses vampires (Lot Lizards, 1990)
Trade Secrets (1990)
Kill the Teacher’s Pet (1991) sous le pseudonyme de Joseph Locke
New Neighbor (1991)
Dark Channel (1992)
Kiss of Death (1992) sous le pseudonyme de Joseph Locke
Petrified (1992) sous le pseudonyme de Joseph Locke
Game Over (1993) sous le pseudonyme de Joseph Locke
The Teacher (1993) sous le pseudonyme de Joseph Locke
1-900-Killer (1994) sous le pseudonyme de Joseph Locke
Vengeance (1994) sous le pseudonyme de Joseph Locke
Biofire (1996)
Shackled (1996)
411, a novella (1998)
Sex and Violence in Hollywood (2001)
Zombie Love (2003)
Scissors (2004)
The Loveliest Dead (2005)
Serpent Girl (2008)
The Arthur Darknell Double (2008, Lonely Road Books) sous le pseudonyme d' Arthur Darknell (contient deux romans attachés dos à dos dans le style des vieux Ace Doubles : Loveless et Murder was my Alibi)
The Most Interesting Prospect (2008, Lonely Road Books) sous le pseudonyme d'Arthur Darknell (édition limitée à 26 copies d'une nouvelle issue de The Arthur Darknell Double)
In a Dark Place: The Story of a True Haunting (1992) Co-écrite avec Ed et Lorraine Warren, Al Snedeker et Carmen Snedeker[2].
In a Dark Place est basé sur les événements liés à la prétendue rencontre de la famille Snedeker avec le paranormal. Garton a, de toute façon, indiqué qu'il n'aime pas ce livre et qu'il est content qu'il soit épuisé, disant : "La famille impliquée, qui avait de sérieux problèmes de dépendance à l'alcool et à la drogue, ne pouvait pas garder leur histoire cohérente et je suis devenu très frustré : c'est difficile d'écrire un livre non-fictionnel quand les gens concernés racontent des histoires différentes."[2]. Garton apparaît dans un épisode de MonsterTalk, "A Connecticut Haunting in a Keen Author's Court", diffusé en , où il discute du livre, l'appelant "le point faible de [sa] carrière" et réfutant toute revendication que ce ne soit pas une fiction.
Les critiques sur l'œuvre de Ray Garton sont plutôt positives[2], ses livres recevant des recensions positives de la part de Dread Central et de Rocky Mountain News[2].