Ronquerolles

Ronquerolles
Ronquerolles
La mairie.
Blason de Ronquerolles
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Île-de-France
Département Val-d'Oise
Arrondissement Pontoise
Intercommunalité CC du Haut Val-d'Oise
Maire
Mandat
Patrick Premel
2024-2026
Code postal 95340
Code commune 95529
Démographie
Gentilé Ronquerollais, Ronquerollaises
Population
municipale
882 hab. (2021 en évolution de +1,38 % par rapport à 2015)
Densité 186 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 10′ 00″ nord, 2° 13′ 00″ est
Altitude 64 m
Min. 44 m
Max. 188 m
Superficie 4,74 km2
Type Ceinture urbaine
Unité urbaine Persan-Beaumont-sur-Oise
(banlieue)
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de L'Isle-Adam
Législatives 1re circonscription du Val-d'Oise
Localisation
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Ronquerolles
Liens
Site web https://ronquerolles95.fr/

Ronquerolles est une commune française située dans le département du Val-d'Oise en région Île-de-France.

Géographie

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Description

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Ronquerolles est un village périurbain du Val-d'Oise, limitrophe du département de l'Oise situé à une cinquantaine de kilomètres au nord-ouest de Paris, 16 km au sud de Beauvais et 22 km à l'est de Gisors.

Ronquerolles fait partie du parc naturel régional du Vexin français dont il constitue la commune la plus orientale, et appartient à l'unité urbaine de Persan - Beaumont-sur-Oise ainsi qu'à la zone d'emploi de Cergy-Vexin[I 1].

Communes limitrophes

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Les communes limitrophes sont Belle-Église, Chambly, Champagne-sur-Oise et Hédouville.

Communes limitrophes de Ronquerolles
Hédouville Belle-Église (Oise)
Ronquerolles Chambly (Oise)
Champagne-sur-Oise

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Sud-ouest du bassin Parisien, caractérisée par une faible pluviométrie, notamment au printemps (120 à 150 mm) et un hiver froid (3,5 °C)[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,1 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 704 mm, avec 10,6 jours de précipitations en janvier et 8 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Pontoise à 16 km à vol d'oiseau[3], est de 12,5 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 666,7 mm[4],[5]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[6].

Milieux naturels et biodiversité

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La partie ouest de la commun est constituée par le bois de Ronquerolles, proche de plusieurs massifs boisés de l'Oise et du Val-d'Oise.

Au , Ronquerolles est catégorisée ceinture urbaine, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[7]. Elle appartient à l'unité urbaine de Persan-Beaumont-sur-Oise[Note 1], une agglomération inter-régionale regroupant six communes, dont elle est une commune de la banlieue[Note 2],[8],[I 1]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 3],[I 1]. Cette aire regroupe 1 929 communes[9],[10].

Occupation des sols

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Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Lieux-dits, hameaux et écarts

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La commune compte le hameau de Renouval, au nord de son territoire, et Les Tuileries, à l'ouest.

Habitat et logement

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En 2020, le nombre total de logements dans la commune était de 377, alors qu'il était de 368 en 2015 et de 358 en 2010[I 2].

Parmi ces logements, 91,7 % étaient des résidences principales, 3,3 % des résidences secondaires et 5 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 91 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 7,9 % des appartements[I 3].

Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Ronquerolles en 2020 en comparaison avec celle du Val-d'Oise et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (3,3 %) supérieure à celle du département (1,4 %) mais inférieure à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 87,9 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (88 % en 2015), contre 55,5 % pour le Val-d'Oise et 57,5 pour la France entière[I 4].

Le logement à Ronquerolles en 2020.
Typologie Ronquerolles[I 2] Val-d'Oise[I 5] France entière[I 6]
Résidences principales (en %) 91,7 92,6 82,1
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 3,3 1,4 9,7
Logements vacants (en %) 5 6 8,2

Voies de communication et transports

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Ronquerolles est traversée par l'autoroute A16 et desservie par l'ancienne route nationale 1

La commune est tangentée par la Ligne d'Épinay - Villetaneuse au Tréport - Mers dont la station la plus proche est la gare de Chambly desservie par des trains TER Hauts-de-France de la ligne Paris-NordPersan - BeaumontBeauvais.

Runcherola en 1153, Runcoroliæ en 1165, Roncherolles en 1177, Ranqueroles en 1192[11]. Au son "ch" du français correspond le son "k" du picard et Roncherolles (forme française) a finalement conservé sa forme picarde (Ronquerolles)[12]

Le terme dérive du latin rumex (ronce), avec le diminutif ola : « le petit bois de ronces »[13].

Ronquerolles appartenait à l'époque gallo-franque au pagus canliacencis (Chambly).

La localité est évoquée pour la première fois dans un cartulaire de Charles II le Chauve daté de 860.

Temps modernes

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Le premier maître d'école est nommé en 1654.

Sous l'Ancien régime, Ronquerolles dépendait du bailliage de Senlis.

Révolution française et Empire

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Le , un arbre de la liberté est planté face à l'église. Ce tilleul, bien que vieillissant, existe toujours au XXIe siècle[14].

Époque contemporaine

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Au début de la Première Guerre mondiale, après la bataille de Senlis, des éclaireurs uhlans allemands sont signalés à Ronquerolles[15]

Lors des combats de la Libération de la France, le a lieu la bataille de Ronquerolles, en limite des communes de Ronquerolles, Bornel, Belle-Église et d'Hédouville, entre un petit groupe de Résistants Français et les troupes d'occupation et de répression allemandes de la Sicherungs-Regiment 6, évaluées à 3 bataillons, soit de 800 à 1 000 hommes. Sur 17 résistants arrêtés par les Allemands, 11 sont fusillés à l'Isle-Adam et 2 sont déportés[16],[17],[18],[19],[20],[21].

Politique et administration

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Rattachements administratifs et électoraux

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Rattachements administratifs

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Antérieurement à la loi du 10 juillet 1964[22], la commune faisait partie du département de Seine-et-Oise. La réorganisation de la région parisienne en 1964 fit que la commune appartient désormais au département du Val-d'Oise et à son arrondissement de Pontoise[I 1] après un transfert administratif effectif au .

Elle faisait partie de 1801 à 1967 du canton de L'Isle-Adam de Seine-et-Oise. Lors de la mise en place du Val-d'Oise, la ville intègre le canton de Beaumont-sur-Oise[23]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

Rattachements électoraux

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Pour les élections départementales, la commune est membre depuis 2014 du canton de L'Isle-Adam[I 1]

Pour l'élection des députés, elle fait partie de la première circonscription du Val-d'Oise.

Intercommunalité

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Le , Ronquerolles a rejoint la communauté de communes du Haut Val-d'Oise[I 1], un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé en 2004 et auquel la commune a transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales..

Liste des maires

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Liste des maires successifs[24]
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
         
1888 1896 Félix Martin-Sabon   Ingénieur des Arts et manufactures
Photographe français
Officier des Palmes académiques, chevalier de la Légion d'honneur
1896 1899 Henri Poullin    
1899 1929 Honoré Cheron    
1929 1935 Herbert Person    
1935 1935 Maurice Debacq Radical  
1935 1945 Raymond Marguet    
1945 1965 Maurice Debacq Radical  
1965 1994 Louis Massin    
1994 2000 Thierry Herriau    
2000 fin 2023[25] Jean-Marie Duhamel[26],[27],[28] SE Cadre SNCF retraité
Vice-président de la CC du Haut Val-d'Oise[29] (2008 →)
Démissionnaire
février 2024[25] En cours
(au 30 novembre 2023)
Patrick Premel    

Équipements et services publics

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Justice, sécurité, secours et défense

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La commune fait partie du ressort du tribunal judiciaire ainsi que de celui du tribunal de commerce de Pontoise[30],[31].

Population et société

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Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[32]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[33].

En 2021, la commune comptait 882 habitants[Note 4], en évolution de +1,38 % par rapport à 2015 (Val-d'Oise : +3,39 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
423424410419415400384396358
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
371378379378344312303302333
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
323281292320376385340349365
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
442533545652696742830860876
2021 - - - - - - - -
882--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[23] puis Insee à partir de 2006[34].)
Histogramme de l'évolution démographique

Culture locale et patrimoine

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Le clocher de l'église.

Lieux et monuments

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Ronquerolles compte deux monuments historiques sur son territoire :

C'est un édifice rustique agrandi et remanié à plusieurs reprises, qui ne contient aucune voûte, aucun chapiteau. Il se compose d'une nef, accompagnée d'un unique bas-côté au sud, avec lequel il communique par trois arcades toutes différentes ; d'un clocher situé à la fin du bas-côté, au sud du chœur ; et d'un long chœur avec une abside à pans coupés.
Les étroites fenêtres romanes dans les murs latéraux de la nef justifient sa datation de la fin du XIe siècle. La base du clocher est un peu plus récente, et se rattache à la fin de la période romane ou au tout début de la période gothique, autour du milieu du XIIe siècle, par ses contreforts plats. Les parties hautes de la façade et les fenêtres latérales de la nef n'ont été ajoutées qu'en 1257. Le portail date encore d'une époque différente. Il est de style gothique flamboyant, et constitue le seul élément de l'église qui a bénéficié d'un décor sculpté. Les autres parties de l'église, le chœur, le bas-côté et l'étage de beffroi du clocher, sont difficilement datables par leur manque de caractère. La charpente du chœur terminée en cul-de-four est néanmoins remarquable.
Au début des années 1970, l'église a été soumise à une restauration totale assez radicale. Elle se présente aujourd'hui en bon état[36],[37].

On peut également signaler :

Cette maison de la fin du XVIII ou du début du XIXe siècle avec sa façade couverte de treillis et sa niche a statue est habitée par le photographe et son épouse pendant la période printanière et estivale, entre 1882 jusqu'à sa mort en 1933. Ancien entrepreneur, Martin-Sabon se consacre entièrement à l'archéologie et la photographie des monuments historiques dès l'âge de quarante ans[37].
  • Laboratoire photographique de Félix Martin-Sabon
Petite maison à colombages rustique avec une charpente sculptée et quelques éléments de décor orientalisants, ne comportant qu'une seule pièce et un appentis. Elle a été aménagé par Félix Martin-Sabon pour le tirage de ses plaques photographiques[37].

Personnalités liées à la commune

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Héraldique

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Ronquerolles
Blason de Ronquerolles Blason
De gueules papelonné d'argent.
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Pour approfondir

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Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie

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  • Collectif d’historiens, Le Patrimoine des Communes du Val-d'Oise - tome 1, Paris, Éditions Flohic, , 1054 p. (ISBN 2-84234-056-6), « Ronquerolles », p. 107–111

Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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  1. Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
  2. Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l’agglomération ou de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine de Persan-Beaumont-sur-Oise comprend trois villes-centres (Chambly, Beaumont-sur-Oise et Persan) et trois communes de banlieue.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Références

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Site de l'Insee

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  1. a b c d e et f Insee, « Métadonnées de la commune de Ronquerolles ».
  2. a et b « Chiffres clés - Logement en 2020 à Ronquerolles » (consulté le ).
  3. « Chiffres-clés - Logement en 2020 à Ronquerolles - Section LOG T2 » (consulté le ).
  4. « Chiffres-clés - Logement en 2020 à Ronquerolles - Section LOG T7 » (consulté le ).
  5. « Chiffres clés - Logement en 2020 dans le Val-d'Oise » (consulté le ).
  6. « Chiffres clés - Logement en 2020 dans la France entière » (consulté le ).

Autres sources

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  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  3. « Orthodromie entre Ronquerolles et Pontoise », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Station Météo-France « Pontoise -Ville » (commune de Pontoise) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  5. « Station Météo-France « Pontoise -Ville » (commune de Pontoise) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  7. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  8. « Unité urbaine 2020 de Persan-Beaumont-sur-Oise », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  9. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Paris », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  10. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  11. Hippolyte Cocheris, Anciens noms des communes de Seine-et-Oise, 1874, ouvrage mis en ligne par le Corpus Etampois.
  12. Noms de lieux d'ile de France de Marianne Mulon, Editions Bonneton
  13. "Les Amis du Vexin"
  14. a et b Anne Collin, « Ronquerolles : menacé d’être coupé, le tilleul bicentenaire va pouvoir être sauvé : Les conclusions de l’expertise commandée par le conseil départemental du Val-d’Oise estiment que cet « arbre de la Liberté » planté en 1792 peut encore survivre longtemps. Un soulagement pour les habitants du village de 900 habitants », Le Parisien,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  15. L'âne en guerre
  16. La Seconde Guerre mondiale à L'Isle-Adam
  17. Stèle de Ronquerolles
  18. Le Camp Allemand de l'Isle-Adam
  19. Persan : hommage aux résistants du maquis de Ronquerolles
  20. Le dernier combat de l’AN 2, le vol noir des corbeaux…
  21. CNRD/clg_Pierre_Perret_CNRD_2011.pdf La répression de la Résistance en France par les autorités d'occupation et le régime de Vichy
  22. Loi no 64-707 du 10 juillet 1964 portant réorganisation de la région parisienne, JORF no 162 du 12 juillet 1964, p. 6204–6209, fac-similé sur Légifrance.
  23. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  24. « Les maires de Ronquerolles », sur francegenweb.org (consulté le ).
  25. a et b Anne Collin, « Démission, décès d’un élu : retour à la normalité à Ronquerolles avec l’élection d’un nouveau maire : Patrick Premel a été élu vendredi 9 février premier magistrat du village de 900 habitants par un vote du conseil municipal, qui faisait suite à une élection partielle après le décès d’un élu. Il succède ainsi à Jean-Marie Duhamel, démissionnaire après 23 ans à la tête de la commune », Le Parisien,‎ (lire en ligne, consulté le ) « il a recueilli l’ensemble des voix des présents, soit 14 sur 15, un élu étant absent. Déjà membre de l’instance depuis 2020, il succède ainsi à Jean-Marie Duhamel, démissionnaire ».
  26. Daniel Pestel, « La colère du maire contre l'insécurité », Le Parisien, édition du Val-d'Oise,‎ (lire en ligne).
  27. Réélu pour le mandat 2014-2020 : « Liste des maires du Val-d'Oise » [PDF], Les élus du Val-d'Oise, Préfecture du Val-d'Oise, (consulté le ).
  28. Réélu pour le mandat 2020-2026 : « Répertoire national des maires » [txt], Répertoire national des élus, sur data.gouv.fr, (consulté le ).
  29. « Val-d'Oise : le lac interdit cerné par les gendarmes », Le Parisien, édition du Val-d'Oise,‎ (lire en ligne).
  30. Site du Conseil général - Administration du Val-d'Oise
  31. Ministère de la justice - Conseil Départemental de l'Accès au Droit du Val-d'Oise
  32. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  33. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  34. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  35. « Église », notice no PA00080187, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  36. Bernhard Duhamel, Guide des églises du Vexin français : Ronquerolles, Paris, Éditions du Valhermeil, , 344 p. (ISBN 2-905684-23-2), p. 273-274.
  37. a b et c M. Amiot, François Doury et Isabelle Gaulon, « Le patrimoine des communes du Val-d’Oise : Ronquerolles », Collection Le Patrimoine des Communes de France, Paris, Flohic Éditions, vol. I,‎ , p. 107-111 (ISBN 2-84234-056-6).
  38. « Monument funéraire de Marguerite-Joséphine Jacquot », notice no PA95000022, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  39. Anne Collin, « S’il faut couper, on coupera » : à Ronquerolles, le tilleul bicentenaire pourra-t-il être sauvé ? : Des pétitions circulent dans le village de 900 habitants pour alerter sur le devenir de l’un des derniers « arbres de la Liberté » du Val-d’Oise, planté en 1792 et aujourd’hui en partie malade. La mairie envisage de l’abattre, même si rien n’est encore tranché. », Le Parisien,‎ (lire en ligne Accès payant, consulté le ).