Rouvres-la-Chétive

Rouvres-la-Chétive
Rouvres-la-Chétive
Face nord de l'église
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Grand Est
Département Vosges
Arrondissement Neufchâteau
Intercommunalité Communauté de communes de l'Ouest Vosgien
Maire
Mandat
Jean Claude Marmeuse
2020-2026
Code postal 88170
Code commune 88401
Démographie
Gentilé Roburiens, Roburiennes
Population
municipale
452 hab. (2021 en évolution de −0,66 % par rapport à 2015)
Densité 40 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 18′ 31″ nord, 5° 46′ 50″ est
Altitude Min. 345 m
Max. 483 m
Superficie 11,33 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Neufchâteau
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Neufchâteau
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Rouvres-la-Chétive
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Rouvres-la-Chétive
Géolocalisation sur la carte : Vosges
Voir sur la carte topographique des Vosges
Rouvres-la-Chétive
Géolocalisation sur la carte : Grand Est
Voir sur la carte administrative du Grand Est
Rouvres-la-Chétive

Rouvres-la-Chétive est une commune française située dans le département des Vosges en région Grand Est.

Ses habitants sont appelés les Roburiens.

Géographie

[modifier | modifier le code]

Localisation

[modifier | modifier le code]
Commune de Rouvres-la-Chétive

La commune est située à 10 km au sud-est de Neufchâteau, chef-lieu d'arrondissement et sous-préfecture des Vosges, et à environ 60 km à l'ouest d'Épinal, préfecture des Vosges. Le Massif des Vosges s'élève à environ 70 km à vol d'oiseau de la commune, la mer la plus proche est la Manche à environ 380 km.

Le village est situé de part et d'autre d'un ruisseau nommé la Frézelle qui le coupe en deux quartiers distincts. Le centre-bourg est implanté sur la rive gauche du ruisseau, à flanc de colline d'exposition est. L'autre quartier, plus petit, nommé Jennevelle, est sur la rive droite du ruisseau, toujours à flanc de colline mais d'exposition sud-ouest. Cette partie du village est traversée par la route départementale 166 qui relie Châtenois et Neufchâteau. Elle est également surplombée par la forêt domaniale de Neufeys. Une ferme est construite à environ 1,5 km au sud du centre du village[1].

Communes limitrophes de Rouvres-la-Chétive
Certilleux Vouxey
Tilleux Rouvres-la-Chétive Châtenois
Landaville Ollainville Darney-aux-Chênes

Géologie et relief

[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune est situé à la périphérie est des côtes et plateaux des Vosges. Il représente une superficie de 1 133 hectares avec une altitude variant de 345 à 483 mètres. Cet espace peut être découpé en deux grandes parties[2]:

  • En partie basse, la plaine formée par la Frézelle est principalement constituée de champs cultivés et de prairies. Elle forme un triangle en pente douce dirigé vers le nord. Le village se trouve dans cette partie, au niveau du resserrement de la vallée. Il est entouré de vergers où poussent principalement des mirabelliers, des pruniers et des pommiers.
  • En partie haute, le plateau est recouvert de forêt, de friches et de quelques champs céréaliers. La forêt communale occupe un espace de 134 ha, elle est majoritairement constituée de feuillus comme le hêtre ou le chêne. Des sangliers, des chevreuils ainsi que de quelques lièvres peuplent ces lieux qui sont aussi survolés de milans et de buses. Le loup y est également présent par intermittence.

Les roches de surface de Rouvres-la-Chétive sont exclusivement constituées de roches calcaires datant du Jurassique et plus particulièrement, du Toarcien et du Aalénien. Les berges de la Frézelle sont recouvertes d'alluvions récentes, déposées par ses crues successives. La commune ne possède pas de particularité géologique remarquable[3].

Hydrographie

[modifier | modifier le code]

La commune est située dans le bassin versant de la Meuse au sein du bassin Rhin-Meuse. Elle est drainée par le ruisseau Frezelle[4],[Carte 1].

Le ruisseau Frezelle, d'une longueur totale de 16,4 km, prend sa source dans la commune et se jette dans le Vair à Soulosse-sous-Saint-Élophe, après avoir traversé quatre communes[5].

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseaux hydrographique et routier de Rouvres-la-Chétive.

La qualité des eaux de baignade et des cours d’eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversité[Carte 2].

En 2010, le climat de la commune est de type climat de montagne, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[6]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Lorraine, plateau de Langres, Morvan, caractérisée par un hiver rude (1,5 °C), des vents modérés et des brouillards fréquents en automne et hiver[7].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,2 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,9 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 982 mm, avec 13,3 jours de précipitations en janvier et 9,5 jours en juillet[6]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Rollainville », sur la commune de Rollainville à 7 km à vol d'oiseau[8], est de 10,3 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 860,3 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 39,6 °C, atteinte le  ; la température minimale est de −18,2 °C, atteinte le [Note 1],[9],[10].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[11]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[12].

Voies de communication et transports

[modifier | modifier le code]

La commune est traversée au niveau du quartier de Jennevelle par la route départementale 166 reliant Châtenois à Neufchâteau. Une voie communale, nommée Voie de Landaville, relie la commune au village de Landaville, les autres voies ne mènent qu'à la forêt ou dans les prés. Le bus de la ligne LIVO no 41 Mirecourt-Neufchâteau s’arrête à raison de quatre à cinq fois par jour ouvré pour les deux sens dans le village[13] permettant ainsi de rallier la gare SNCF de Neufchateau desservie par les TGV Metz-Toulouse et Metz-Nice ainsi que par des trains TER ralliant Nancy et Dijon et des bus à destination de Vittel, Toul et Épinal[14]. L'aéroport le plus proche est celui d'Épinal-Mirecourt (27 km) offrant des lignes saisonnières et d'affaires[15]. La sortie no 10 Neufchâteau-Châtenois de l'autoroute A31 est située à 6 km.

Au , Rouvres-la-Chétive est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[16]. Elle est située hors unité urbaine[17]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Neufchâteau, dont elle est une commune de la couronne[Note 2],[17]. Cette aire, qui regroupe 72 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[18],[19].

Occupation des sols

[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (63,7 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (63,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (38,7 %), forêts (26,4 %), zones agricoles hétérogènes (21,1 %), zones urbanisées (5 %), mines, décharges et chantiers (5 %), terres arables (3,9 %)[20]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Attestations chronologiques du nom de la commune[21],[Note 3] :


  • Medietatem ecclesiæ de Roverio : , Histoire de Lorraine I
  • Rouvre : , Mettensia
  • Roneio, Rovero : , Histoire de Lorraine II
  • Rouvre lès Chatenois : , Bibliothèque de l'Arsenal
  • Rouvre près la Taiche, Rouvre près la Tainche : , Dom Calmet, Histoire de la Maison du Châtelet
  • Rovera Castiva : , pouillés de Trèves
  • Rowra Misera : ,
  • Rouvre la Chaptive : , Archives des Vosges
  • Rouvre la Chastive : , Archives de Meurthe et Moselle
  • Rouvre la Chative : XVIIIe siècle, Cassini

La première mention du village de Rouvres-la-Chétive date du XIe siècle, à cette époque, il portait le nom simple de Rouvre, sans déterminant, ni qualificatif. Ce toponyme faisait référence aux nombreux bois de chênes qui entouraient la localité. Rouvre était une des manières de désigner le chêne à l'époque médiévale, avant qu’il ne tombe en désuétude et ne soit plus employé que comme épithète d'une sorte de chêne, à savoir le chêne rouvre (Quercus petrosa). À partir de la fin du XIIIe siècle apparait le déterminant la Taiche, la Tainche ou d'autres expressions pouvant faire référence à l'étang près duquel Rouvres-la-Chétive était implanté. Au tout début du XVe siècle, les nombreux bois entourant Rouvres furent détruits, le nom de la commune fut alors traduit en Rowra Misera pour un texte rédigé en latin médiéval, ce qui peut s'apparenter aux noms de Rouvre la Chaptive ou la Chaitive en français. Le nom définitif de Rouvres-la-Chétive a été adopté au moment de la Révolution tant en langue française qu'en langue locale[22].

Rouvres-la-Chétive faisait partie du bailliage de Neufchâteau.

Son église, dédiée à saint Martin, relevait du diocèse de Toul, doyenné de Châtenois. Le patronage de la cure était à la collation de l’abbé de Saint-Èvre de Toul.

Politique et administration

[modifier | modifier le code]

Budget et fiscalité 2014

[modifier | modifier le code]

En 2014, le budget de la commune était constitué ainsi[23] :

  • total des produits de fonctionnement : 366 000 , soit 800  par habitant ;
  • total des charges de fonctionnement : 273 000 , soit 598  par habitant ;
  • total des ressources d’investissement : 6 000 , soit 12  par habitant ;
  • total des emplois d’investissement : 26 000 , soit 56  par habitant.
  • endettement : 142 000 , soit 310  par habitant.

Avec les taux de fiscalité suivants :

  • taxe d’habitation : 21,83 % ;
  • taxe foncière sur les propriétés bâties : 10,14 % ;
  • taxe foncière sur les propriétés non bâties : 18,43 % ;
  • taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties : 38,75 % ;
  • cotisation foncière des entreprises : 18,74 %.

Liste des maires

[modifier | modifier le code]
La mairie.
Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
mars 1989 juin 1995 Étienne Fuchs    
juin 1995 mai 2020 Claude Thiéry DVG[1] Retraité ouvrier verrier
mai 2020 En cours
(au 25 août 2020)
Jean-Claude Marmeuse   Technicien

Démographie

[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[24]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[25].

En 2021, la commune comptait 452 habitants[Note 4], en évolution de −0,66 % par rapport à 2015 (Vosges : −3,05 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1856
663694702771826833833800799
1861 1866 1876 1881 1886 1891 1896 1901 1906
767691677634632596584570560
1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962 1968
552472455442410412407419423
1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009 2014 2019
381384378391412430441456447
2021 - - - - - - - -
452--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[26] puis Insee à partir de 2006[27].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement

[modifier | modifier le code]

Équipements

[modifier | modifier le code]

Vie associative

[modifier | modifier le code]

Festivités

[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments

[modifier | modifier le code]

Personnalités liées à la commune

[modifier | modifier le code]

Pour approfondir

[modifier | modifier le code]

Bibliographie

[modifier | modifier le code]

Articles connexes

[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Liens externes

[modifier | modifier le code]

Notes et références

[modifier | modifier le code]

Notes et cartes

[modifier | modifier le code]
  • Notes
  1. Les records sont établis sur la période du au .
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Ce récapitulatif, non exhaustif, a pour objet de montrer les différentes étapes chronologiques du toponyme de Rouvres-la-Chétive.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. « Réseau hydrographique de Rouvres-la-Chétive » sur Géoportail (consulté le 29 juillet 2022).
  2. « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le ).
  3. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

[modifier | modifier le code]
  1. « Le portail des territoires et des citoyens - Géoportail », sur geoportail.gouv.fr (consulté le ).
  2. « Le portail des territoires et des citoyens - Géoportail », sur geoportail.gouv.fr (consulté le ).
  3. « Carte - Géoportail », sur geoportail.gouv.fr (consulté le ).
  4. « Fiche communale de Rouvres-la-Chétive », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines Rhin-Meuse (consulté le ).
  5. Sandre, « le ruisseau Frezelle »
  6. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  7. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  8. « Orthodromie entre Rouvres-la-Chétive et Rollainville », sur fr.distance.to (consulté le ).
  9. « Station Météo-France « Rollainville », sur la commune de Rollainville - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  10. « Station Météo-France « Rollainville », sur la commune de Rollainville - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  11. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le ).
  12. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le ).
  13. « Lignes régulières Livo », sur livo-vosges.com (consulté le ).
  14. « Gare de Neufchateau », sur gares-sncf.com (consulté le ).
  15. « Accueil-Aeroport Épinal Mirecourt », sur epinal-mirecourt.aeroport.fr (consulté le ).
  16. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  17. a et b Insee, « Métadonnées de la commune de Rouvres-la-Chétive ».
  18. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Neufchâteau », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  19. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  20. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  21. « Dictionnaire topographique du département des Vosges », sur gallica.bnf.fr (consulté le ).
  22. « Cahier de renseignements statistique appartenant à la commune de Rouvres-la-Chétive », sur Archives départementales des Vosges (consulté le ).
  23. Les comptes de la commune « Copie archivée » (version du sur Internet Archive).
  24. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  25. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  26. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  27. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  28. L'église Saint-Maurice
  29. « Croix de chemin », notice no PA00107269, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  30. « Croix de chemin dite Croix Saint-Pierre », notice no PA00107268, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  31. Monument aux morts
  32. Adrien Loir, A l'ombre de Pasteur, éd. Le mouvement sanitaire, 1938, p. 18 et 160.
  33. Philippe Decourt, Les vérités indésirables, éd. Les archives internationales Claude Bernard, 1989, p. 210 à 239 et 285 à 297 (ISBN 2-903279-15-2).
  34. Pasteur par David V. Cohn, Ph.D., Professeur émérite de biochimie de l’University of Louisville Le paragraphe sur le charbon est le suivant "Fortunately, Pasteur's colleagues Chamberlain and Roux followed up the results of a research physician Jean-Joseph-Henri Toussaint who reported a year earlier that carbolic-acid/heated anthrax serum would immunize against anthrax. These results were difficult to reproduce and discarded although, as it turned out, Toussaint was on the right track. This led Pasteur and his assistants to substitute an anthrax vaccine prepared not dissimilar to that of Toussaint and different that Pasteur had announced".
  35. Louis Pasteur avec la collaboration de Chamberland et Roux L’expérience de Pouilly-le-Fort Yale Journal of Biology and Medecine (2002); 75, 59-62. L’introduction rappelle que le vaccin utilisé à Pouilly-le-Fort n’est pas celui de Louis Pasteur mais celui d'Henry Toussaint.
  36. Pierre-Yves Laurioz, Louis Pasteur - la réalité après la légende, éd. De Paris, 2003, p. 147-155 (ISBN 2-85162-096-7).
  37. François Brice Poirson