Le photographe métis Sorn visite le Laos à la recherche de ses origines. Il est guidé dans son voyage par Noi, une jolie laotienne. Il tombe amoureux de la ravissante créature et de multiples surprises les attendent.
Depuis la prise du pouvoir au Laos par les communistes en 1975, les seuls films de ce pays sont au moins partiellement financés par le gouvernement. La plupart sont des films patriotiques ou de propagande comme l'admirable "Le Lotus rouge" (Bua Daeng) de Som Ock Southiponh[13]. La production de ce film indique, selon le journal britannique The Independent, que les autorités laotiennes espèrent fonder une industrie cinématographique dans leur pays et que celle-ci, cette nouvelle vague du cinéma laotien[14], pourrait être une nouvelle source de revenus[2]. Le film cible aussi les spectateurs thaïlandais, parce qu'il n'existe en 2008 que deux salles de cinéma au Laos : elles sont dans la capitale Vientiane[15].[réf. nécessaire].
↑« Bonjour Luang Prabang », sur cinemas-asie.com, Festival International des Cinémas d'Asie de Vesoul,
↑ a et bUn peu de lumière dans les salles obscures, article du Courrier international du 19 juin 2008 ; traduction d'un article d'Andrew Buncombe dans The Independent.
↑« Anousone Sirisackda », sur cinemas-asie.com, Festival International des Cinémas d'Asie de Vesoul,
↑(en) Yanapon Musket, « The awakening », sur bangkokpost.com, Bangkok Post,
↑« Sakchai Deenan », sur cinemas-asie.com, Festival International des Cinémas d'Asie de Vesoul,