Saint-Aupre

Saint-Aupre
Saint-Aupre
L'entrée de Saint-Aupre en septembre 2019.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Isère
Arrondissement Grenoble
Intercommunalité Communauté d'agglomération du Pays voironnais
Maire
Mandat
Patrick Buisson
2020-2026
Code postal 38960
Code commune 38362
Démographie
Population
municipale
1 182 hab. (2021 en évolution de +5,25 % par rapport à 2015)
Densité 99 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 24′ 01″ nord, 5° 40′ 17″ est
Altitude Min. 436 m
Max. 925 m
Superficie 11,93 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Grenoble
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Voiron
Législatives Neuvième circonscription
Localisation
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Saint-Aupre
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Saint-Aupre
Liens
Site web www.st-aupre.fr

Saint-Aupre est une commune française située dans le département de l'Isère, en région Auvergne-Rhône-Alpes.

Historiquement situé dans l'ancienne province du Dauphiné, ce petit village, situé en zone de moyenne montagne et à l'aspect essentiellement rural, est une des communes adhérentes de la communauté d'agglomération du Pays voironnais.

Les habitants sont dénommés les Saint-Aupriens[1].

Géographie

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Plan de Saint-Aupre et de ses communes limitrophes.

Situation et description

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La commune est située dans le centre-est de la France, en région Auvergne-Rhône-Alpes, dans la partie septentrionale du département de l'Isère et plus précisément, au nord-est de la ville de Voiron, dans une zone de plateaux située à l'ouest du massif de la Chartreuse.

Géologie et relief

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Le territoire de Saint-Aupre se situe entre des collines molassiques dites périalpines des Terres froides de l'avant-pays du Bas-Dauphiné et le prolongement septentrional du chaînon du Ratz, dénommé localement sous le nom de « montagne de Saint-Aupre », qui est le dernier relief que coupe la trouée de l'Isère avant de déboucher dans la large plaine alluviale (à remplissage lacustre) de Moirans. Ce dernier se rattache au domaine jurassien tant par sa série stratigraphique, pauvre en niveaux marneux, que par sa structure et son relief[2].

Le tourniquet de Pierre Chave, situé en limite nord du territoire sur la RD 49 (marquant la limite entre la commune de Saint-Aupre et celle de Miribel-les-Échelles) est un passage étroit qui emprunte une gorge similaire à celles du Crossey, mais moins profonde et moins large. Celui-ci a sans doute été également forée par des écoulements de fonte glaciaire mais ceux-ci franchissaient la montagne à une altitude supérieure (environ 600 m). Cette voie d'évacuation a sans doute été parcourue seulement par une partie des eaux de fonte mais assez rapidement abandonnée, ce qui a eu pour conséquence son bien moindre élargissement et approfondissement que d'autres vallées, dites « sèches », identiques[3].

Communes limitrophes

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Rose des vents Merlas Miribel-les-Échelles Rose des vents
Saint-Nicolas-de-Macherin N
O    Saint-Aupre    E
S
Saint-Étienne-de-Crossey Saint-Joseph-de-Rivière

En 2010, le climat de la commune est de type climat des marges montargnardes, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[4]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Alpes du nord, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 1 200 à 1 500 mm, irrégulièrement répartie en été[5].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,7 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17,6 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 331 mm, avec 9,7 jours de précipitations en janvier et 7,4 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique installée sur la commune est de 11,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 376,9 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Statistiques 1991-2020 et records ST AUPRE_SAPC (38) - alt : 450m, lat : 45°23'33"N, lon : 5°39'26"E
Records établis sur la période du 01-05-2007 au 04-01-2024
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) −1,3 −1,3 1,5 4,6 7,9 11,6 13 12,5 9,6 6,4 2,4 −0,9 5,5
Température moyenne (°C) 2,4 3,2 6,9 10,8 14,1 18,1 20,1 19,5 15,9 11,7 6,7 3,1 11
Température maximale moyenne (°C) 6,2 7,7 12,4 17 20,3 24,7 27,2 26,5 22,1 16,9 11,1 7,1 16,6
Record de froid (°C)
date du record
−12,9
11.01.10
−18
05.02.12
−7,3
06.03.10
−5,4
08.04.21
−1,3
07.05.19
5,1
15.06.08
6,8
25.07.11
6,1
22.08.14
1
27.09.10
−5
30.10.12
−8,2
27.11.10
−15,9
20.12.09
−18
2012
Record de chaleur (°C)
date du record
18,6
10.01.15
20,4
22.02.21
22,6
31.03.21
29
28.04.12
31,4
22.05.22
37,2
27.06.19
37,6
24.07.19
37,2
22.08.23
31,9
04.09.23
28,9
09.10.23
22,1
12.11.18
18,8
17.12.19
37,6
2019
Précipitations (mm) 111,8 92,2 110,7 102,8 147,4 127,1 105,5 99,3 105,3 114,7 135,5 124,6 1 376,9
Source : « Fiche 38362001 », sur donneespubliques.meteofrance.fr, edité le : 06/01/2024 dans l'état de la base


Hydrographie

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La Morge entre Saint-Aupre et Saint-Étienne-de-Crossey.

Le territoire de Saint-Aupre abrite les sources de la Morge. Cette rivière, d'une longueur de 27,2 km[9], est un affluent de l'Isère et donc un sous-affluent du Rhône. Elle a un caractère torrentiel et prend sa source dans le canton de Voiron. Celle-ci s'écoule selon un axe que l'on peut qualifier de nord-est - sud-ouest.

Voies de communication et transport

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Le territoire de la commune de Saint-Aupre est situé à l'écart des voies de grandes circulation. L'autoroute la plus proche est l'A48 qui relie L'agglomération lyonnaise à celles de Grenoble. Seule la RD 49 qui relie Miribel-les-Échelles à Saint-Étienne-de-Crossey traverse le territoire. La RD49b qui s'en détache à la hauteur du hameau de La Croix-Rouge permet de rejoindre le bourg central.

Au , Saint-Aupre est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[10]. Elle est située hors unité urbaine[11]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Grenoble, dont elle est une commune de la couronne[Note 1],[11]. Cette aire, qui regroupe 204 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[12],[13].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (49,3 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (49,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (49,3 %), prairies (31,3 %), zones agricoles hétérogènes (10,6 %), zones urbanisées (5,8 %), zones humides intérieures (2,2 %), terres arables (0,8 %)[14]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Morphologie urbaine

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Hameaux, lieux-dits et écarts

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Voici, ci-dessous, la liste la plus complète possible des divers hameaux, quartiers et lieux-dits résidentiels urbains comme ruraux qui composent le territoire de la commune de Saint-Aupre, présentés selon les références toponymiques fournies par le site géoportail de l'Institut géographique national[15].

  • Col du Pilori
  • la Montagne
  • Veissières
  • Chevillard
  • les Charrues
  • le Grand Bois
  • les Chambures
  • le Lazard
  • Bouteillon
  • le Grand Vivier
  • le Delphin
  • les Vials
  • Ture
  • le Chevaliers
  • Champtora
  • la Mièle
  • Combe Moussouaz
  • les Emptaz
  • le Barreau
  • Champalier
  • le Bellier
  • le Colombier
  • les Vessières
  • les Balmettes
  • la Forêt
  • la Croix Rouge
  • Bois de l'Église
  • Croix de l'Échaillon
  • Puzais
  • les Chaudières
  • le Grand Chemin
  • Bois de la Molardière
  • Bois de Plantimey
  • la Rossetière
  • les Mairies
  • les Marais
  • les Chartreux
  • Chapelle de la Madeleine
  • la Maladière

Risques naturels et technologiques

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Risques sismiques

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L'ensemble du territoire de la commune de Saint-Aupre est situé en zone de sismicité n°4 (sur une échelle de 1 à 5), non loin de la zone n°3 située plus à l'ouest[16].

Terminologie des zones sismiques[17]
Type de zone Niveau Définitions (bâtiment à risque normal)
Zone 4 Sismicité moyenne accélération = 1,6 m/s2

Autres risques

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L'« ecclesi sancti aupri » (ou apri) du XIe siècle donna le nom de la commune en 1790 quand la paroisse fut détachée de Voiron. 245 noms de lieux recensés sur cette commune[18].

Aucune information ne nous permet de savoir à quelle date la commune de Saint-Aupre fut fondée. Néanmoins, des hameaux à la voie romaine qui traversait autrefois le village, les traces d'un passé lointain sont nombreuses. Les premières informations historiques précises concernant Saint-Aupre remontent au XIe siècle avec la fondation, par les comtes de Savoie, d'une maladrerie, reprise en 1315 par les pères chartreux. La maladrerie faisait l'objet d'un important pèlerinage. Elle s'éteignit dans les années 1610.

La commune de Saint-Aupre renferme cependant d'autres monuments remarquables parmi lesquels le château de la Tour, datant du XVe siècle et restauré au XVIIe siècle, le château de La Rossetière, retouché au XVIIIe siècle, ainsi que l'ancienne maison forte du Bellier, bâtie au XIIIe siècle et dont les terres furent érigées en baronnie. Saint-Aupre est le berceau d'une branche de la famille de Barral venue de Gaspard de Barral et dont les membres, redevenus seigneurs d'Allevard où se trouvait une de leurs souches anciennes, donneront quelques célèbres maîtres de forges, prélats, magistrats, hommes politiques et militaires du XVIIe au XIXe siècle. Sous la Terreur, l'épouse du général André Horace François de Barral de Rochechinard, née Beauharnais, tante de la grande duchesse Stéphanie de Bade se réfugiera à Saint-Aupre.

Depuis maintenant 400 ans, la commune de Saint-Aupre accueille chaque année une foire aux chèvres devenue célèbre dans toute la région.

Politique et administration

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Administration municipale

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Mairie de Saint-Aupre

Liste des maires

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
2001 2014 César Delphin    
2014 2020 Pierre Durand SE Retraité de l'enseignement
2020 En cours Patrick Buisson    
Les données manquantes sont à compléter.

Population et société

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Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[19]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[20].

En 2021, la commune comptait 1 182 habitants[Note 2], en évolution de +5,25 % par rapport à 2015 (Isère : +2,71 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
8658178431 0261 0411 0661 1271 1291 124
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 0511 007968947945900904867848
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
807771718550521488477450394
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
4083893885606768721 0251 0461 057
2014 2019 2021 - - - - - -
1 1131 1571 182------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[21] puis Insee à partir de 2006[22].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement

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La commune est rattachée à l'académie de Grenoble. Son école primaire municipale est située près de la mairie.

Équipements culturel et sportif

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Manifestations culturelles et festivités

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  • La foire aux chèvres[23] ;
  • la rando du Hibou[23].

Historiquement, le quotidien à grand tirage Le Dauphiné libéré consacre, assez régulièrement, y compris le dimanche, dans son édition du Voironnais à la Chartreuse, un ou plusieurs articles à l'actualité de la communauté de communes, du canton et quelquefois du village, ainsi que des informations sur les éventuelles manifestations locales, les travaux routiers, et autres événements divers à caractère local.

Secteur agricole et forestier

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Le commune fait partie de l'aire géographique de production et transformation du « Bois de Chartreuse », la première AOC de la filière Bois en France[24],[25].

Autres secteurs

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Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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Le tourniquet de Pierre-Chave.

Sur la commune

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  • La maison forte de la Tour, des XVe et XVIIe siècles[26].
  • Le château de la Rossetière, renouvelé au XVIIIe siècle[26].
  • La chapelle de la Madelaine, au lieu-dit Maladière, ce qui reste de l'ancienne léproserie du XIIe siècle[26].
  • Église Saint-Antoine des Vials.
  • L'église de Saint-Aupre, du XIXe siècle, qui conserve une pierre funéraire d'époque romaine[26].
  • La maison forte du Bellier, du XIIIe siècle[26].

À proximité de la commune

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  • Le tourniquet de Pierre Chave est un pont sur lequel la même route départementale (RD45) passe d'abord dessus puis dessous. Cet ouvrage est situé en toute limite du territoire communal mais cependant entièrement situé sur la commune voisine de Miribel-les-Échelles, entre les hameaux de Saint Roch (Miribel) et de Ture (Saint-Aupre)[26].

Patrimoine naturel

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Saint-Aupre est une des communes adhérentes du parc naturel régional de Chartreuse.

  • l'étang des Chartreux,
situé dans les bois, au nord-ouest du bourg, près du hameau du Grand Vivier
  • le tilleul centenaire de Sully
  • la forêt de Saint-Aupre

Personnages liés à la commune

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Héraldique

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Saint-Aupre possède des armoiries dont l'origine et le blasonnement exact ne sont pas disponibles.

Notes et références

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Notes et cartes

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  • Notes
  1. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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  1. Site habitants.fr, page sur le nom des habitants des communes de l'Isère, consulté le 31 août 2019
  2. Site géol-alp.com, page sur la montagne de Ratz, consulté le 31 août 2019
  3. Site Site géol-alp.com, page sur Miribel, col des Mille Martyrs, Saint-Aupre, consulté le 31 août 2019
  4. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  5. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « St Aupre_sapc » - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « St Aupre_sapc » - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  9. Site Sandre, fiche sur la Morge
  10. « La grille communale de densité », sur insee,fr, (consulté le ).
  11. a et b Insee, « Métadonnées de la commune de Saint-Aupre ».
  12. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Grenoble », sur insee.fr (consulté le ).
  13. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  14. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  15. Site géoportail, page des cartes IGN
  16. Site de la préfecture de l'Isère, carte des zones de sismicité.
  17. Arrêté du 22 octobre 2010 relatif à la classification et aux règles de construction parasismique applicables aux bâtiments de la classe dite « à risque normal » - Légifrance.
  18. Corinne Bourrillon, 10 000 lieux en pays voironnais, tome 1, , p. 142 à 145.
  19. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  20. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  21. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  22. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  23. a et b Présentation, www.st-aupre.fr, accès le 18 mars 2017.
  24. Information Presse du 5 novembre 2018 : Le Bois de Chartreuse obtient la première AOC Bois en France. Une première dans la filière bois !, site officiel du Bois de Chartreuse.
  25. Cahier des charges de l’appellation d’origine « Bois de Chartreuse », homologué par l’arrêté du 23 octobre 2018 publié au JORF du 31 octobre 2018, Bulletin officiel du Ministère de l’agriculture et de l’alimentation, n° 2018-46 (.PDF).
  26. a b c d e et f Eric Tasset, Châteaux forts de l'Isère : Grenoble et le Nord de son arrondissement, Grenoble, éditions de Belledonne, , 741 p. (ISBN 978-2-911148-66-8), pp. 432-435.

Articles connexes

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Liens externes

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