Saint-Béat-Lez

Saint-Béat-Lez
Saint-Béat-Lez
La Garonne et le centre du village.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Occitanie
Département Haute-Garonne
Arrondissement Saint-Gaudens
Intercommunalité Communauté de communes des Pyrénées Haut-Garonnaises
Maire
Mandat
Anna Changeux
2023-2026
Code postal 31440
Code commune 31471
Démographie
Gentilé Saint-Béatais-Léziens
Population
municipale
384 hab. (2021)
Densité 39 hab./km2
Géographie
Coordonnées 42° 54′ 52″ nord, 0° 41′ 33″ est
Altitude Min. 476 m
Max. 1 763 m
Superficie 9,97 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Bagnères-de-Luchon
Législatives 8e circonscription de la Haute-Garonne
Localisation
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Saint-Béat-Lez
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Saint-Béat-Lez
Liens
Site web https://www.st-beat-lez.fr

Saint-Béat-Lez (prononcé [sɛ̃ bea lɛz] est une commune française située dans le département de la Haute-Garonne en région Occitanie.

Elle est constituée sous le statut de commune nouvelle par la fusion des anciennes communes de Lez et de Saint-Béat[1].

Géographie

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Localisation

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Saint-Béat-Lez est une commune rurale située dans le Comminges et Petit-Comminges au pied du pic du Gar, dans les Pyrénées, aux portes du Val d'Aran dans le sud du département de la Haute-Garonne, sur la Garonne à 33 km au sud-est de Saint-Gaudens. La limite sud de la commune se trouve à 2 km de la frontière franco-espagnole à vol d'oiseau.

Elle se trouve dans la zone d'emploi de Saint-Gaudens et dans le bassin de vie de Montréjeau[I 1]

Communes limitrophes

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Les communes limitrophes sont Eup, Boutx, Argut-Dessous, Arlos, Marignac, Chaum et Bezins-Garraux.

Communes limitrophes de Saint-Béat-Lez[2]
Chaum Eup
Marignac Saint-Béat-Lez[2] Boutx
Arlos Argut-Dessous

Géologie et relief

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La superficie de la commune est de 996 hectares ; son altitude varie de 476 à 1 763 mètres[3].

La commune est située au pied du pic du Gar.

Hydrographie

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Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseaux hydrographique et routier de Saint-Béat-Lez.

La commune est dans le bassin de la Garonne, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne[4].

Elle est drainée par la Garonne, un bras de la Garonne et le ruisseau Rieu Sec, constituant un réseau hydrographique de 6 km de longueur totale[5],[6].

Le ruisseau de Lez traverse également la commune.

La Garonne est un fleuve principalement français prenant sa source en Espagne et qui coule sur 529 km avant de se jeter dans l’océan Atlantique[7].

Saint-Béat-Lez a connu une crue dévastatrice de la Garonne en juin 2013[8]

En 2010, le climat de la commune est de type climat des marges montargnardes, selon une étude s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[9]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Pyrénées centrales, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 1 000 à 1 200 mm[10].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,4 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 117 mm, avec 10,1 jours de précipitations en janvier et 7,6 jours en juillet[9]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Bagnères-de-Luchon à 16 km à vol d'oiseau[11], est de 11,5 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 940,5 mm[12],[13]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[14].

Au , Saint-Béat-Lez est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[15].

Elle est située hors unité urbaine[I 1] et hors attraction des villes[16],[17].

Voies de communication et transports

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Le tunnel de Saint-Béat-Lez

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Commencés en 2013, les travaux de construction du tunnel se sont terminés en 2018.

Le tunnel de Saint-Béat-Lez, placé sur la Route nationale 125, a 1 066 mètres de longueur et est entré en service le [18],[19].

Risques naturels et technologiques

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Le territoire de la commune de Saint-Béat-Lez est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité moyenne). Il est également exposé à un risque technologique, la rupture d'un barrage, et à un risque particulier : le risque de radon[20]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[21].

Risques naturels

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Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment la Garonne. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1999, 2009, 2013 et 2022[22],[20].

Un plan départemental de protection des forêts contre les incendies a été approuvé par arrêté préfectoral du 25 septembre 2006. Saint-Béat-Lez est exposée au risque de feu de forêt du fait de la présence sur son territoire des massifs des piémonts des Pyrénées et des Pyrénées. Il est ainsi défendu aux propriétaires de la commune et à leurs ayants droit de porter ou d’allumer du feu dans l'intérieur et à une distance de 200 mètres des bois, forêts, plantations, reboisements ainsi que des landes. L’écobuage est également interdit, ainsi que les feux de type méchouis et barbecues, à l’exception de ceux prévus dans des installations fixes (non situées sous couvert d'arbres) constituant une dépendance d'habitation[23],[24]

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Saint-Béat-Lez.

La commune est vulnérable au risque de mouvements de terrains constitué principalement du retrait-gonflement des sols argileux[25]. Cet aléa est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 43,7 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (88,8 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 421 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 383 sont en aléa moyen ou fort, soit 91 %, à comparer aux 98 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[26],[Carte 1].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[27].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999 et par des éboulements et/ou chutes de blocs en 1996[20].

Risques technologiques

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La commune est en outre située en aval du barrage du Portillon sur la Neste d'Oô. À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture de cet ouvrage[28].

Risque particulier

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Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Certaines communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon la classification de 2018, la commune de Saint-Béat-Lez est classée en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[29].

La localité se trouvant sur un rétrécissement de la Garonne, le lieu fut nommé par les Romains le « Pas du Loup » : Passus Lupi.

Saint-Béat serait, outre une tautologie (beatus : bienheureux ou saint), le nom d'un saint très local. Ce saint est aussi connu comme l'évangélisateur de la Beauce où il aurait tué un dragon.

Lez est un hydronyme apparenté au basque leize « torrent ».

En gascon, la commune est dénommée Sent Biat e Les[réf. nécessaire].

Théodosienne en Marbre de Saint-Béat - Musée Saint-Raymond

Dans l'antiquité, le site de Saint-Béat est connu comme un « Passus Lupi » (passage du loup), car le resserrement de cette partie du val d'Aran n'aurait alors permis qu'à des loups efflanqués de passer sans se mouiller les pattes dans la Garonne.

Ancien Régime

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Cette ancienne place forte commandait la vallée de la Garonne. Son importance l'avait fait surnommer la « clé de la France ».

Depuis, Saint-Béat-Lez est surtout connu pour ses carrières de marbre blanc, découvertes sans doute en cherchant à élargir l'étroit passage et exploitées depuis l'époque gallo-romaine. La légende locale n'hésitait pas à dire que son marbre avait permis d'édifier la colonne Trajane à Rome, ainsi que tout ce qui était en pierre blanche dans la région. C'est naturellement faux. C'est en revanche en partie avéré pour les colonnettes du couvent de Saint-Bertrand-de-Comminges tout proche, ainsi que plusieurs sculptures de la villa romaine de Chiragan, à Martres-Tolosane. Il a servi pour les autels tauroboliques de Lectoure (176, 239 et 241 ap. JC). Le marbre de Saint-Béat fut le matériau utilisé pour les bassins et plusieurs statues du parc de Versailles.

Les armoiries de Saint-Béat, « clef de France », s'expliquent par l'édification d'une citadelle qui contrôle le passage de la vallée de la Garonne.

Pendant longtemps, outre ses carrières, la ville était le site d'une foire où s'échangeaient les ânes et mulets destinés à l'Espagne, contre du bois venant des forêts aranaises et charrié par la Garonne. Cette foire avait traditionnellement lieu à la Saint-Martin.

Une particularité : jusqu'à la Révolution française, Saint-Béat (du moins sa partie est, séparée de la partie ouest par la Garonne) formait, avec Melles et Argut-Dessus, une des enclaves languedociennes du diocèse appelé « diocèse civil du Petit-Comminges » (l'un des 24 diocèses civils des États du Languedoc). Sa partie ouest, avec Arlos, faisait partie de la jugerie dite de « Rivière-Verdun » (formée d'innombrables enclaves allant de Verdun-sur-Garonne, entre Toulouse et Montauban, jusqu'à la frontière espagnole). Cette jugerie dépendait, elle, de la Gascogne comme le Couserans et le Comminges[30].

Révolution française et Empire

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Dans leur cahier de doléances, les habitants décrivent le site de la ville, comme un endroit particulièrement déshérité, soumis aux débordements de la Garonne, comme aux chutes de pierres depuis les falaises qui surplombent la ville.

Époque contemporaine

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De 1914 à 1953, le tramway électrique de Marignac au Pont-du-Roy va desservir Saint-Béat et ses carrières[31].

L'ouverture de la station de ski du Mourtis a donné un nouvel élan touristique à la ville, comme plus récemment son festival de sculpture de marbre, qui permet à de jeunes sculpteurs de s'exprimer par leur art.

C'est depuis le une commune nouvelle issue de la fusion des communes de Lez et de Saint-Béat[1], qui deviennent des communes déléguées[32]. Son chef-lieu se situe à Saint-Béat.

Politique et administration

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Rattachements administratifs et électoraux

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La commune se trouve depuis sa création dans l'arrondissement de Saint-Gaudens du département de la Haute-Garonne[I 1].

Pour les élections départementales, la commune fait partie du canton de Bagnères-de-Luchon[I 1].

Pour l'élection des députés, elle fait partie de la huitième circonscription de la Haute-Garonne.

Intercommunalité

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Saint-Béat-Lez est membre de la communauté de communes des Pyrénées Haut-Garonnaises, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé en 2017 et auquel la commune avait transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales[I 1].

Cette intercommunalité a été alors constituée par la fusion de plusieurs intercommunalités, Saint-Béat et Lez ayant été membre de l'une d'elles, la communauté de communes du canton de Saint-Béat.

Rattachements administratifs et électoraux

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Commune faisant partie de la huitième circonscription de la Haute-Garonne, de la communauté de communes des Pyrénées Haut-Garonnaises et du canton de Bagnères-de-Luchon.

Administration municipale

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De 2019 jusqu'aux élections municipales de 2020, le conseil municipal de la commune nouvelle était constitué de l'ensemble des conseillers municipaux des anciennes communes. Pour la mandature 2020-2026, l'effectif du conseil municipal est surclassé et compte 15 membres[33],[34], y compris le maire et ses adjoints.

Au-delà, le conseil municipal sera constitué du même nombre de conseillers que les autres commune de sa strate démographique, soit 11[35].

La mairie est celle de Saint-Béat.

Liste des maires

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Liste des maires successifs depuis la fusion de Saint-Béat et de Lez
Période Identité Étiquette Qualité
Janvier 2019 mai 2020[36] Luce Lagacherie   Maire-adjointe de Saint-Béat (2014 → 2018)
mai 2020[37] décembre 2021[38] Thierry Haein   Démissionnaire
février 2022[39] En cours Anna Changeux   Cadre au sein de l’établissement thermal de Luchon
Réélue en janvier 2023 après l'annulation des élections municipales de 2022.[40]

Équipements et services publics

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Enseignement

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Saint-Béat-Lez fait partie de l'académie de Toulouse.

L'éducation est assurée sur la commune par une école maternelle, une école élémentaire et le collège François Cazes. Pour le lycée, il faut aller au lycée Edmond Rostand, à Bagnères-de-Luchon[41].

Population et société

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Les habitants sont appelés les Saint-Béatais-Léziens.

Démographie

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La population des anciennes communes puis de la commune nouvelle est connue par les recensements menés régulièrement par l'Insee. Ces chiffres concernent le territoire de l'actuelle commune nouvelle.

En 2024, la commune nouvelle comptait 384 habitants[Note 1].

Évolution démographique du territoire de Saint-Béat-Lez
tel qu'existant au
1968 1975 1982 1990 1999 2010 2015 2021
909721618619431455426384
Nombre retenu à partir de 1968 : population sans doubles comptes.
Les données présentées sont établies à périmètre géographique identique, dans la géographie en vigueur au .
(Source : INSEE RGP 2021[42])


Manifestations culturelles et festivités

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La société Omya et le tunnel de Saint-Béat.

La commune de Lez est classée en zone montagne et possède une seule exploitation agricole[44], en 2012.

La société Omya y exploite du marbre dit de Saint-Béat[45].

Sports et loisirs

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Piscine, chasse, randonnée pédestre.

Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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  • Monument aux morts.
  • Un manoir.
  • Fontaine et abreuvoir.
  • Lavoir.
  • Sculpture en marbre blanc d'une montagne où un cours d'eau descend et arrose le village (les mains).

Personnalités liées à la commune

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La statue du maréchal Gallieni à Saint-Béat.

Saint-Béat-Lez dans les arts et la culture

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Edmond Rostand s'est inspiré d'un des balcons de la ville pour une scène de Cyrano de Bergerac.

Pour approfondir

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Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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  1. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Notes de type "Carte "

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  1. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références

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Site de l'Insee

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Autres sources

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  1. a et b « Arrêté du 30 avril 2018 portant création de la commune nouvelle de Saint-Béat-Lez », sur haute-garonne.gouv.fr, (consulté le ).
  2. Carte IGN sous Géoportail
  3. Répertoire géographique des communes, publié par l'Institut national de l'information géographique et forestière, [lire en ligne].
  4. « Le réseau hydrographique du bassin Adour-Garonne. » [PDF], sur draaf.occitanie.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  5. « Fiche communale de Saint-Béat-Lez », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Occitanie (consulté le ).
  6. « Carte hydrographique de Saint-Béat-Lez » sur Géoportail (consulté le 5 novembre 2021).
  7. Sandre, « la Garonne »
  8. David Saint-Sernin, « Depuis 15 jours, plusieurs communes de Haute-Garonne sont privées d'eau potable : voici pourquoi », Actu Toulouse,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  9. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  10. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  11. « Orthodromie entre Saint-Béat-Lez et Bagnères-de-Luchon », sur fr.distance.to (consulté le ).
  12. « Station Météo-France « Luchon » (commune de Bagnères-de-Luchon) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  13. « Station Météo-France « Luchon » (commune de Bagnères-de-Luchon) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  14. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  15. « La grille communale de densité », sur insee,fr, (consulté le ).
  16. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  17. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  18. Vanessa Marguet, « Le tunnel de Saint-Béat ouvre enfin, mais la déviation est loin d'être terminée », sur francebleu.fr, (consulté le ).
  19. « occitanie.developpement-durabl… »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?).
  20. a b et c « Les risques près de chez moi - commune de Saint-Béat-Lez », sur Géorisques (consulté le ).
  21. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  22. « Dossier départemental des risques majeurs dans la Haute-Garonne », sur haute-garonne.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Risque inondation.
  23. « Dossier départemental des risques majeurs dans la Haute-Garonne », sur haute-garonne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque feux de forêts.
  24. « Prévention des incendies de forêt en Haute-Garonne », sur haute-garonne.gouv.fr (consulté le ).
  25. « Dossier départemental des risques majeurs dans la Haute-Garonne », sur haute-garonne.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Mouvements de terrain.
  26. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  27. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Saint-Béat-Lez », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
  28. « Dossier départemental des risques majeurs dans la Haute-Garonne », sur haute-garonne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque rupture de barrage.
  29. « Cartographie du risque radon en France. », sur le site de l’IRSN, (consulté le ).
  30. Voir cartes de Cassini, cartes de Gascogne et de Rivière-Verdun.
  31. Site FACS, Les chemins de fer secondaires de France : 31 - département de Haute-Garonne lire (consulté le 19 novembre 2011)
  32. « Recueil des actes administratifs des services de l'État en Haute-Garonne », sur haute-garonne.gouv.fr, (consulté le ).
  33. Article L. 2113-8 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance.
  34. « Haute-Garonne (31) - Saint-Béat-Lez », Accueil Municipales 2020 > Haute-Garonne (31) > S > Résultats reçus 1er tour, Ministère de l'intérieur (consulté le ).
  35. Article L. 2121-2 du code général des collectivités territoriales.
  36. « Saint-Béat-Lez. Luce Lagacherie s’en tiendra à un mandat », La Dépêche du Midi,‎ (lire en ligne Accès limité, consulté le ).
  37. « Thierry Haein à Saint-Béat-Lez », La Dépêche du Midi,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  38. « Saint-Béat-Lez. Cinq démissions et de nouvelles élections à venir », La Dépêche du Midi,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Candidat aux municipales en 2014 et non élu, c’est en 2018 que Thierry Haein avait rejoint l’équipe de Luce Lagacherie lors d’élections partielles. Tête de liste en 2020, il est élu en mars et prend officiellement les manettes de la mairie en mai. Année particulièrement compliquée pour faire ses preuves avec la pandémie, à laquelle s’est ajoutée une gouvernance rendue difficile par une mésentente entre élus qui s’est installée ».
  39. Lucien Espouy, « Saint Béat-Lez : Anna Changeux élue Maire et un conseil en place. Est-ce définitif ? », La Petite République.com,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  40. « Saint-Béat-Lez. L’équipe municipale bien en place », La Dépêche du Midi,‎ (lire en ligne, consulté le ) « En séance la semaine passée, Anna Changeux a été confortée dans le fauteuil de maire, de même que l’ont été ses adjoints nommés auparavant ».
  41. http://www.st-beat.fr/scolarite/
  42. INSEE, Recensement général de la population 2021, Document mentionné en liens externes.
  43. « Saint-Béat-Lez. Ouverture du 24e Festival de la sculpture et du marbre », La Dépêche du Midi,‎ (lire en ligne Accès limité, consulté le ).
  44. http://carto.observatoire-des-territoires.gouv.fr/GC_preport.php?lang=fr&s=144&view=map1&id_rep=r01&selId0=12158&nivgeo=com
  45. « Historique et Activités - Omya », sur Omya (consulté le ).
  46. « Eglise », notice no PA00094446, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  47. David Saint-Sernin, « A 1h30 de Toulouse, cette commune retrouve son trésor, dix ans après avoir failli le perdre », Actu Toulouse,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Vendredi 23 juin 2023, la commune de Saint-Béat, à 1h30 de Toulouse, a retrouvé son trésor qu'elle avait failli définitivement perdre il y a dix ans dans les terribles inondations ».
  48. Le Moulin des Arts sur le site de la mairie de Saint-Béat, consulté le 23 avril 2013.
  49. David Saint-Sernin, « De Toulouse à l'Espagne, cette piste cyclable va devenir une belle porte d'entrée vers les Pyrénées », Actu Toulouse,‎ 26/4/2023. (lire en ligne, consulté le ) « Dans quelques mois, la piste cyclable Transgarona permettre de rejoindre l'Espagne depuis Toulouse. Une magnifique porte d'entrée vers les Pyrénées ».