Le bourg de Saint-Germain-du-Salembre est situé, en distances orthodromiques, six kilomètres à l'ouest de Saint-Astier et quatorze kilomètres au nord-est de Mussidan, en rive droite du Salembre et au croisement des routes départementales 39, 41, 44 et 104.
Entre Douzillac et Neuvic, le sentier de grande randonnéeGR 646 borde le territoire communal à l'est sur un kilomètre et demi et le traverse au sud sur deux kilomètres et demi.
Saint-Germain-du-Salembre est limitrophe de six autres communes. Son territoire est distant de 700 mètres de celui de Beauronne au sud-ouest et de 750 mètres de celui de Saint-Aquilin au nord-est.
Les limites communales de Saint-Germain-du-Salembre et celles de ses communes adjacentes.
Situé sur la plaque nord du Bassin aquitain et bordé à son extrémité nord-est par une frange du Massif central, le département de la Dordogne présente une grande diversité géologique. Les terrains sont disposés en profondeur en strates régulières, témoins d'une sédimentation sur cette ancienne plate-forme marine. Le département peut ainsi être découpé sur le plan géologique en quatre gradins différenciés selon leur âge géologique. Saint-Germain-du-Salembre est située dans le troisième gradin à partir du nord-est, un plateau formé de calcaires hétérogènes du Crétacé[2].
Les couches affleurantes sur le territoire communal sont constituées de formations superficielles du Quaternaire et de roches sédimentaires datant pour certaines du Cénozoïque, et pour d'autres du Mésozoïque. La formation la plus ancienne, notée c5b, date du Campanien 2, des calcaires crayo-marneux blanchâtres à grosses silicifications grises en alternance dures et tendres puis calcaire crayeux à glauconie. La formation la plus récente, notée CFp, fait partie des formations superficielles de type colluvions indifférenciées de versant, de vallon et plateaux issues d'alluvions, molasses, altérites. Le descriptif de ces couches est détaillé dans la feuille « no 782 - Mussidan » de la carte géologique au 1/50 000 de la France métropolitaine[3],[4] et sa notice associée[5].
Formation de Boisbreteau sup. : sables argileux feldspathiques à graviers et rares galets à la base, argiles silteuses verdâtres au sommet (Rupélien terminal à Chattien continental)
g1a :
Formation de Boisbreteau moy. et formation de la Garde : sables feldspathiques à graviers et galets passant vers le sommet à des argiles sableuses (Rupélien inf. continental)
Campanien 3 : alternance de marnes à glauconie et calcaires crayo-marneux jaunâtres (formations de Biron et de Coursac), présence localement de niveaux de calcaires gréseux fins ocre à Larrazetia et tempestites (formation de Journiac)
c5b :
Campanien 2 : calcaires crayo-marneux blanchâtres à grosses silicifications grises en alternance dures et tendres puis calcaire crayeux à glauconie (formations de Marsaguet, de Segonzac et sommet de Trémolat)
Le département de la Dordogne se présente comme un vaste plateau incliné du nord-est (491 m, à la forêt de Vieillecour dans le Nontronnais, à Saint-Pierre-de-Frugie) au sud-ouest (2 m à Lamothe-Montravel). L'altitude du territoire communal varie quant à elle entre 55 mètres[6] au sud, à proximité de Neuvic-Gare, là où le Salembre quitte la commune pour entrer sur celle de Neuvic, et 184 mètres[6] à l'extrême nord-est, près du lieu-dit Puymarsou, en limite de Saint-Astier[7].
Dans le cadre de la Convention européenne du paysage entrée en vigueur en France le , renforcée par la loi du 8 août 2016 pour la reconquête de la biodiversité, de la nature et des paysages, un atlas des paysages de la Dordogne a été élaboré sous maîtrise d’ouvrage de l’État et publié en [8]. Les paysages du département s'organisent en huit unités paysagères[Note 1],[9]. La commune fait partie de la Double, au sein de l'unité de paysage « La Double et le Landais », deux plateaux ondulés, dont la pente générale descend de l'est vers l'ouest. À l'est, les altitudes atteignent ainsi les 200 m pour les plus élevées (233 m au sud de Tocane-Saint-Apre). Vers l'ouest, le relief s’adoucit et les altitudes maximales culminent autour des 100 mètres[10]. Les paysages sont forestiers aux horizons limités, avec peu de repères, ponctués de clairières agricoles habitées[11].
La superficie cadastrale de la commune publiée par l'Insee, qui sert de référence dans toutes les statistiques, est de 19,55 km2[6],[12],[Note 2]. La superficie géographique, issue de la BD Topo, composante du Référentiel à grande échelle produit par l'IGN, est quant à elle de 19,52 km2[4].
Son affluent le Rieutord arrose l'ouest de la commune sur plus de trois kilomètres et lui sert majoritairement de limite territoriale en trois tronçons, face à Saint-Jean-d'Ataux.
Le Salembre, d'une longueur totale de 16,97 km, prend sa source dans la commune de Saint-Aquilin et se jette dans l'Isle en rive droite à Neuvic, au sud de Neuvic Gare[19]. Il traverse la commune du nord-est au sud sur plus de sept kilomètres et demi et lui sert de limite naturelle sur près de quatre kilomètres, en deux tronçons, face à Chantérac au nord et Neuvic au sud.
Affluent de rive droite du Salembre, le Roueix borde la commune au nord sur près de 500 mètres, face à Chantérac.
Affluent de rive droite du Roueix, le ruisseau de la Bataille sert de limite territoriale sur plus d'un kilomètre et demi au nord, face à Chantérac.
La Beauronne au lieu-dit les Planches, en limite de Saint-Jean-d'Ataux (à gauche) et Saint-Germain-du-Salembre.
En amont de la RD 41, le Salembre en remontant vers les Jarissades.
Réseaux hydrographique et routier de Saint-Germain-du-Salembre.
Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Isle - Dronne ». Ce document de planification, dont le territoire regroupe les bassins versants de l'Isle et de la Dronne, d'une superficie de 7 500 km2, a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'établissement public territorial de bassin de la Dordogne (EPIDOR)[20]. Il définit sur son territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le [21].
Historiquement, la commune est exposée à un climat océanique aquitain[22].
En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Aquitaine, Gascogne, caractérisée par une pluviométrie abondante au printemps, modérée en automne, un faible ensoleillement au printemps, un été chaud (19,5 °C), des vents faibles, des brouillards fréquents en automne et en hiver et des orages fréquents en été (15 à 20 jours)[23].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12,2 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,9 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 914 mm, avec 11,7 jours de précipitations en janvier et 6,9 jours en juillet[24]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Saint-Martin-de-Ribérac à 12 km à vol d'oiseau[25], est de 13,5 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 916,6 mm[26],[27]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[28].
Au , Saint-Germain-du-Salembre est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[29].
Elle est située hors unité urbaine[30] et hors attraction des villes[31],[32].
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnéeseuropéenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (73,4 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (73,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante :
forêts (70,9 %), zones agricoles hétérogènes (23,2 %), zones urbanisées (3,2 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (2,5 %), prairies (0,2 %)[33]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].
Le territoire de la commune de Saint-Germain-du-Salembre est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible)[35]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[36].
Saint-Germain-du-Salembre est exposée au risque de feu de forêt. L’arrêté préfectoral du fixe les conditions de pratique des incinérations et de brûlage dans un objectif de réduire le risque de départs d’incendie. À ce titre, des périodes sont déterminées : interdiction totale du 15 février au 15 mai et du 15 juin au 15 octobre, utilisation réglementée du 16 mai au 14 juin et du 16 octobre au 14 février[38]. En septembre 2020, un plan inter-départemental de protection des forêts contre les incendies (PidPFCI) a été adopté pour la période 2019-2029[39],[40].
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[41]. Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[42]. 90,5 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (58,6 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national métropolitain)[Carte 4]. Depuis le , en application de la loi ÉLAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 3],[43].
La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 1996, 2005 et 2011 et par des mouvements de terrain en 1999[35].
La première mention écrite connue du lieu date de l'an 1104 et se rapporte à son église, sous la forme Sanctus Germanus de Salembre[44].
Sur la carte de Cassini représentant la France entre 1756 et 1789, le village est identifié sous le nom de Saint Germain du Salambre[45].
La première partie du nom de la commune fait référence à saint Germain d'Auxerre[46]. La seconde partie correspond au Salembre, le cours d'eau qui arrose le territoire communal du nord-est au sud.
En occitan, la commune se nomme Sent Gèrman de Salembre[47].
Le territoire communal a été occupé dès la Préhistoire comme le prouvent plusieurs gisements[44]. Des traces d'une villa gallo-romaine y ont également été mis au jour[44]. Le lieu pourrait correspondre au Calembrio de la table de Peutinger[1].
Le , les Allemands, renforcés de la Légion nord-africaine, tuent vingt-neuf résistants, fusillent quatre habitants et incendient le village d'Espinasse[48]. Les résistants faisaient partie du maquis des Francs-tireurs et partisans (FTP) du camp de Virolle(s) (commune de Saint-Étienne-de-Puycorbier) sur le lieu duquel a été érigé un mémorial de la Résistance[49].
Dès 1790, la commune de Saint-Germain-du-Salembre est rattachée au canton de Neuvic qui dépend du district de Montpon puis du district de Mussidan jusqu'en 1795, date de suppression des districts. En 1801, le canton est rattaché à l'arrondissement de Ribérac, puis à l'arrondissement de Périgueux en 1926[6], date à laquelle est supprimé l'arrondissement de Ribérac.
La population de la commune étant comprise entre 500 et 1 499 habitants au recensement de 2017, quinze conseillers municipaux ont été élus en 2020[51],[52].
Les habitants de Saint-Germain-du-Salembre se nomment les Salembrais[55].
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[56]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[57].
En 2021, la commune comptait 920 habitants[Note 4], en évolution de −1,29 % par rapport à 2015 (Dordogne : −0,41 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
En 2015[59], parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs représentent 384 personnes, soit 41,2 % de la population municipale. Le nombre de chômeurs (soixante) a presque doublé par rapport à 2010 (trente-cinq) et le taux de chômage de cette population active s'établit à 15,6 %.
Au , la commune compte cinquante-sept établissements[60], dont trente-trois au niveau des commerces, transports ou services, neuf dans la construction, six dans l'industrie, cinq dans l'agriculture, la sylviculture ou la pêche, et quatre relatifs au secteur administratif, à l'enseignement, à la santé ou à l'action sociale[61].
Créée en 1950[62], la dernière biscotterie artisanale de France, « la Chanteracoise », est implantée à Saint-Germain-du Salembre[63]. Pour s'agrandir et faire face aux demandes de ses clients (production annuelle en hausse de 25 à 30 %), elle change de site en 2011, mais reste sur la commune[64]. Pour faire face à la demande croissante de ses produits, notamment ceux issus de l'agriculture biologique, elle ouvre un deuxième site de production à Saint-Léon-sur-l'Isle en [65]. En 2022, elle emploie 56 salariés et son chiffre d'affaires annuel est de 5,5 millions d'euros[62].
Souterrain du Touron. Redécouvert en 1966, il est situé sous un tertre formant une plate-forme d'environ 20 × 10 mètres. On y accédait à l'origine par un escalier partant du sud du tertre et défendu par un trou de visée situé dans l'axe de l'entrée. Il desservait une première salle latérale dont l'entrée était surveillée par le trou de visée, puis une double salle terminale, laquelle possède dans sa paroi ouest un puits d'extraction de plan carré, avec paliers et rainures angulaires, remontant vers la surface. La désobstruction de ce puits a confirmé qu'il remontait jusqu'au sommet du tertre et qu'il pourrait être le résultat des déblaiements des matériaux d'extraction[67].
L'église Saint-Germain, dédiée à Germain d'Auxerre[46], a la particularité de présenter deux nefs parallèles : une romane du XIIe siècle au nord, l'autre gothique du XVIe siècle au sud. Il ne reste plus de trace apparente de la partie fortifiée de cette église[68].
Située à l'est de la forêt de la Double, et traversée par le Salembre, la commune représente un grand intérêt par sa faune et sa flore locales. Des zones de protection y sont donc délimitées.
Dans la totalité de sa traversée du territoire communal, le Salembre et sa vallée font partie de la zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) de type II de la « vallée de l'Isle de Périgueux à Saint-Antoine-sur-l'Isle, le Salembre, le Jouis et le Vern »[69],[70].
François Louis Poumiès de la Siboutie (1789-1863)[75], né le à Saint-Germain-du-Salembre, médecin réputé exerçant à Paris, auteur de Mémoires publiés en 1910[76].
Jean Cluseau-Lanauve (1914-1997), artiste peintre, est inhumé au cimetière de Saint-Germain-du-Salemnre.
↑Une unité paysagère est un pan de territoire qui présente des caractéristiques paysagères propres.
↑La superficie publiée par l’Insee est la superficie évaluée en 1975 par le service du cadastre de la Direction Générale des Impôts, corrigée des modifications communales intervenues depuis 1975. Elle comprend toutes les surfaces du domaine public et privé, cadastrées ou non cadastrées, à l'exception des lacs, étangs et glaciers de plus d'un kilomètre carré ainsi que des estuaires et ne correspond pas obligatoirement à la surface géographique[13],[14]
↑Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
↑Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
↑Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
↑ a et bAbbé Carles, Dictionnaire des paroisses du Périgord, éditions du Roc de Bourzac, Bayac, 2004, (réédition à l'identique de celle de 1884 : Les titulaires et patrons du diocèse de Périgueux et de Sarlat), (ISBN2-87624-125-0), p. 274.
↑Sébastien Noël et Luc Stevens, Souterrains et mottes castrales : Émergence et liens entre deux architectures de la France médiévale, Paris, Éditions L'Harmattan, , 422 p. (ISBN978-2-343-07867-0), p. 333.
↑Thierry Hourlier, Les églises fortifiées de Dordogne, p. 29, Éditions patrimoines & médias, 1997, (ISBN2-910137-20-1).
↑Carte de localisation de la ZNIEFF 720012842 sur le site de la DREAL Aquitaine, consulté le 30 septembre 2018. Afin de visualiser correctement la zone par rapport aux communes, dans la « Légende » (en bas à gauche), ouvrir la couche « Référentiels » et barrer la couche « Photographie IGN ».
↑Carte de localisation de la ZNIEFF 720008217 sur le site de la DREAL Aquitaine, consulté le 30 septembre 2018. Afin de visualiser correctement la zone par rapport aux communes, dans la « Légende » (en bas à gauche), ouvrir la couche « Référentiels » et barrer la couche « Photographie IGN ».
↑Carte de localisation des vallées de la Double sur le site de la DREAL Aquitaine, consulté le 30 septembre 2018. Afin de visualiser correctement la zone par rapport aux communes, dans la « Légende » (en bas à gauche), ouvrir la couche « Référentiels » et barrer la couche « Photographie IGN ».