Saint-Gilles (Marne)

Saint-Gilles
Saint-Gilles (Marne)
Ancienne école et salle communale.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Grand Est
Département Marne
Arrondissement Reims
Intercommunalité CU du Grand Reims
Maire
Mandat
Évelyne Fraeyman
2020-2026
Code postal 51170
Code commune 51484
Démographie
Gentilé Saint-Gillois
Population
municipale
268 hab. (2021 en évolution de −5,3 % par rapport à 2015)
Densité 42 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 16′ 51″ nord, 3° 40′ 36″ est
Altitude Min. 62 m
Max. 170 m
Superficie 6,37 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Reims
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Fismes-Montagne de Reims
Législatives 2e circonscription de la Marne
Localisation
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Saint-Gilles
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Saint-Gilles
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Saint-Gilles

Saint-Gilles est une commune française, située dans le département de la Marne dans la région Grand Est.

Géographie

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Description

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Silhouette de l'église nichée au cœur de la vallée de l'Ardre.

Saint-Gilles est un village périurbain de la Marne, limitrophe de l'Aisne, situé dans les vallées de l'Ardre et de l'Orillon, à 26 km à l'ouest de Reims, 28 km au sud-est de Soissons, 31 km au sud de Laon.

Saint-Gilles est traversée par la route touristique du Champagne.

Le territoire de la commune est majoritairement occupé par une forêt de feuillus, des champs ainsi que des vignes, une forêt de résineux et des prés.

Communes limitrophes

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Communes limitrophes de Saint-Gilles
Fismes
Mont-Saint-Martin
Aisne
Saint-Gilles Courville
Mont-sur-Courville

Hydrographie

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Réseau hydrographique

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La commune est dans la région hydrographique « la Seine du confluent de l'Oise (inclus) à l'embouchure » au sein du bassin Seine-Normandie. Elle est drainée par l'Ardre, l'Orillon, le Fond du Grand Viéreux, le cours d'eau 01 de la commune de Saint-Gilles et divers bras de l'Ardre[1],[Carte 1].

L'Ardre, d'une longueur de 39 km, prend sa source dans la commune de Maraye-en-Othe et se jette dans la Vesle à Estissac, après avoir traversé 18 communes[2]. Les caractéristiques hydrologiques de l'Ardre sont données par la station hydrologique située sur la commune de Saint-Gilles. Le débit moyen mensuel est de 1,48 m3/s[Note 1]. Le débit moyen journalier maximum est de 23,6 m3/s, atteint lors de la crue du . Le débit instantané maximal est quant à lui de 29,4 m3/s, atteint le [3].

L'Orillon, d'une longueur de 16 km, prend sa source dans la commune de Coulonges-Cohan et se jette dans l'Ardre sur la commune, après avoir traversé cinq communes[4].

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseau hydrographique de Saint-Gilles[Note 2].

Gestion et qualité des eaux

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Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Aisne Vesle Suippe ». Ce document de planification, dont le territoire s’étend sur 3 096 km2 répartis sur trois départements (Aisne, Marne et Ardennes) et deux régions (Champagne-Ardenne et Picardie), a été approuvé le 16 décembre 2013. La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est le Syndicat d’aménagement des bassins Aisne Vesle Suippe (SIABAVES)[5].

La qualité des cours d’eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversité[Carte 2].

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[6]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l’année et un hiver froid (°C)[7].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,4 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,4 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 719 mm, avec 12,5 jours de précipitations en janvier et 8,7 jours en juillet[6]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Braine », sur la commune de Braine à 12 km à vol d'oiseau[8], est de 11,3 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 662,7 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 42,1 °C, atteinte le  ; la température minimale est de −15,7 °C, atteinte le [Note 3],[9],[10].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[11]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[12].

Au , Saint-Gilles est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[13]. Elle est située hors unité urbaine[14]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Reims, dont elle est une commune de la couronne[Note 4],[14]. Cette aire, qui regroupe 294 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[15],[16].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (79,5 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (79,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (72,9 %), forêts (20,5 %), zones agricoles hétérogènes (6,2 %), prairies (0,4 %)[17]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Le nom de la localité est attesté sous les formes Aceium (1156) ; Sanctus Egidius de Aceio (1154-1159) ; Aceium Sancti Egidii (1234) ; Saint-Giles-à-Acy (1280) ; Sanctus Egidius de Aceyo (1291) ; Saint-Gille (1308) ; Sanctus Egidius apud Arceyum (1303-1312) ; Saint-Guille (1329) ; Sanctus Egidius de Arceyo (1333) ; Saint-Gilles (1488)[18].
Durant le Moyen Âge, la commune s'est appelée Aceium (Aceium Sancti Egidu). En 1280, le village se serait appelée Acy ou Aacy et en 1480, Saint-Gilles ou Saint-Gille en 1770. En 1686 on retrouvait le nom de Saint-Pierre-Saint-Gilles[19].
Dans la période de la Révolution française, la commune porte provisoirement le nom de Montardre[20], de Montagne-sur-Ardre ou de Montagne-sur-Orillion[21].

Aceium en 1156 : il s'agirait d'Acy, nom ancien de la commune de Saint-Gilles, mais cette localité est dénommée Ascineium dans le Polyptyque de Saint-Remi de Reims (la forme Aceium est donnée par A. Longnon dans son Dictionnaire topographique de la Marne)[22].

Saint-Gilles est un hagiotoponyme, qui fait référence à Gilles l'Ermite, en latin : Ægidius « Égide », où fut fondé un prieuré vers 1088 par une colonie de moines issue de l’Ancienne abbaye de Saint-Gilles dans le Gard et à laquelle l’abbé Odilon avait confié une relique de la main droite de l'Ermite Saint Gilles[23].

Préhistoire et Antiquité

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Des fouilles ont montré une occupation depuis le Néolithique, puis continue à partir des Gaulois, Gallo-Romains.

Période médiévale

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Des moines établissent des constructions en bois sur le site de la commune actuelle de Saint-Gilles au IIIe ou IVe siècle, sur une butte naturelle. Le village est ensuite devenu, au VIIe ou VIIIe siècle, un prieuré, sous la dépendance de Saint-Gilles, dans le Gard[24]. Le nom de Saint-Gilles n’existe pas avant le XIIIe siècle. Celui-ci a une chapelle distincte de l'église paroissiale, une prison, un réfectoire, un cloître et un dortoir. Le village est du bailliage et de la coutume de Reims.

Son église romane date du XIe siècle et a une particularité unique dans la région : elle possède un clocher octogonal. Il ne reste (presque) plus rien de son prieuré. Au Moyen Âge, un moulin est construit en bas du village, sur la rivière.

Période moderne

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Sous l'Ancien Régime, Saint-Gilles est une paroisse dépendant du diocèse de Reims, du Grand Archidiaconé et du doyenné d'Hermonville[25].

Une croix, sur un socle en pierre, est toujours visible sur la place du village, adossée au pignon d'une maison. Ce vestige date du XVIIe ou du XVIIIe siècle.

Période contemporaine

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La construction de la route Fismes-Courville date de 1845-1848, puis la fontaine sur la place de 1859. Aménagement du Grand Moulin en usine en 1875-1884, et de l'Œuillerie en usine en 1886.

Dernier aménagement pour l'alimentation en eau de tout le village en 1931-1932. Électrification en 1931.

Le village est desservi par la ligne Reims - Bouleuse - Fismes des Chemins de fer de la Banlieue de Reims (C.B.R.), un chemin de fer secondaire dont la gare a été ouverte en 1899 mais la crise économique d'entre-deux-guerres oblige le département à fermer cette ligne le et le service a été ensuite assuré par autocars.

Pendant la Première Guerre mondiale, l'armée française installe un hôpital d'orientation et d’évacuation (HOE 51) afin de soigner les soldats de retour du Chemin des Dames, transportés par un train militaire. Le Monument aux Morts est sur l'emplacement de cette ligne, encore bien visible de nos jours. Cet hôpital comprend 354 infirmiers[26]. Pendant l'offensive de 1917, beaucoup de soldats meurent ici. Le village souffre beaucoup des bombardements durant les deux guerres.

L'école communale est fermée et est devenue la salle communale. Cette maison avait été achetée par la commune en 1852.

Politique et administration

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Rattachements administratifs et électoraux

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Rattachements administratifs

La commune se trouve dans l'arrondissement de Reims du département de la Marne.

Elle faisait partie depuis 1793 du canton de Fismes[20]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

Rattachements électoraux

Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton de Fismes-Montagne de Reims

Pour l'élection des députés, elle fait partie de la deuxième circonscription de la Marne.

Intercommunalité

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Saint-Gilles était membre de la communauté de communes des Deux Vallées du Canton de Fismes, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé fin 1997 et auquel la commune avait transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales. Conformément aux prévisions du schéma départemental de coopération intercommunale (SDCI) de la Marne du 15 décembre 2011[27], cette intercommunalité a fusionné avec sa voisine pour former, le , la communauté de communes Fismes Ardre et Vesle.

Dans un second temps, le , la communauté de communes Fismes Ardre et Vesle a elle-même fusionné avec ses voisines pour intégrer la communauté urbaine dénommée Grand Reims, dont Saint-Gilles est désormais membre.

Liste des maires

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1788 1792 Jean-Simon Cornette    
1811 1816 Étienne Robert    
1816 1830 Claude-Antoine Robert    
avant 1853 1862 Antoine Victor Guéret    
1871 1872 Auguste Couvret    
1872 1876 Alphonse Daubenton    
1876 1880 Defon Paté    
1881 1902 Bandier Paté    
1902   Jules Paté    
Les données manquantes sont à compléter.
  2002 Michel Velly    
2002 En cours
(au 8 octobre 2020)
Évelyne Fraeymann-Velly   Réélue pour le mandat 2020-2026[28]

Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[29]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[30].

En 2021, la commune comptait 268 habitants[Note 5], en évolution de −5,3 % par rapport à 2015 (Marne : −1,22 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
260371382363395412422382360
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
341347351360346310329317322
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
293302281215230194206206234
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
214202163142131165230241273
2015 2020 2021 - - - - - -
283272268------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[20] puis Insee à partir de 2006[31].)
Histogramme de l'évolution démographique

Recensement de 1872 : 360 habitants, dont : 26 personnes à l'Huilerie (datant de Louis XV), 5 personnes au Moulinet, 2 personnes à La Buse, 5 personnes au Grand Moulin, 6 personnes à la ferme des Petites Chézelles (datant de Louis XIII) ainsi que 63 chevaux, 12 ânes, 67 bêtes à cornes, 963 brebis, 113 cochons, 1067 poules, 26 chiens, 8 ruches.

Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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L'église Saint-Pierre.

On peut signaler :

  • Le lavoir communal.
  • La salle communale ayant été la salle de classe.
  • L'ancienne gare du CBR de Saint-Gilles (devenu propriété privée)
  • Monuments aux morts :
  • Tombes de deux soldats enterrés au cimetière communal :
    • Le soldat "T.A. Fox" (1433606 Sergeant), "Air Gunner" de la "Royal Air Force" décédé le
    • Le soldat "J.H. Overholt" (R.197141 Sergeant), "Air Gunner" de la "Royal Canadian Air Force" décédé le à l'âge de 20 ans
  • La gare du CBR : l'emplacement de la voie ferrée est devenu un chemin communal appelé chemin du CBR reliant Fismes à Bouleuse[réf. souhaitée] en passant par Saint-Gilles sur l'ancien tracé de la voie. La gare est devenue la propriété de la carrière de marbre de Saint-Gilles et semble être à l'abandon.

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Bibliographie

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  • Saint-Gilles, d'Henry Colin (instituteur), 1932
  • La Vallée de l'Ardres, de l'Abbé Chevalier, 1897
  • Fismes, Notice historique et descriptive sur les monuments civils et religieux du canton, de l'Abbé Valentin, 1866
  • Histoire d'Igny, de Mgr Péchenard
  • La pierre de Courville, Carrières et scieries de l'Ardre, 1995
  • Les chemins de fer de la Marne au début du XXe siècle, de Daniel Delattre, 2013
  • L'échauguette de Fismes, périodique

Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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  1. Les moyennes interannuelles (écoulements mensuels) ont été calculées le 21/05/2024 à 02:09 TU à partir des 655 QmM (débits moyens mensuels) les plus valides du 01/01/1969 au 01/04/2024.
  2. Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
  3. Les records sont établis sur la période du au .
  4. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  1. « Réseau hydrographique de Saint-Gilles » sur Géoportail (consulté le 27 mai 2024).
  2. « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le ).
  3. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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  1. « Fiche communale de Saint-Gilles », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines dans le bassin Seine-Normandie (consulté le ).
  2. Sandre, « l'Ardre »
  3. « Station hydrométrique L'Ardre à Fismes », sur l'Hydroportail, Ministère de la transition écologique et de la cohésion des territoires, (consulté le ).
  4. Sandre, « l'Orillon »
  5. « SAGE Aisne Vesle Suippe », sur gesteau.fr (consulté le ).
  6. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  7. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  8. « Orthodromie entre Saint-Gilles et Braine », sur fr.distance.to (consulté le ).
  9. « Station Météo-France « Braine », sur la commune de Braine - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  10. « Station Météo-France « Braine », sur la commune de Braine - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  11. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le ).
  12. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le ).
  13. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  14. a et b Insee, « Métadonnées de la commune de Saint-Gilles ».
  15. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Reims », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  16. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  17. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  18. Auguste Longnon, Dictionnaire topographique de la Marne, Paris, (lire en ligne), p. 239.
  19. L. Demaison, Inventaire-sommaire des Archives départementales antérieures à 1790: Marne, Archives.org, Matot-Braine, , 404 p. (lire en ligne), p. 44.
  20. a b et c Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  21. Société d'Agriculture, Commerces, Sciences et Arts du département de la Marne, Mémoires, 2e série, IX, 1907-1908, Gallica.bnf.fr, Imprimerie-libraire de l'union républicaine, Châlons-sur-Marne, , 456 p. (lire en ligne), p. 345.
  22. Pierre Desportes, François Dolbeau et Jean-Pierre Devroey, Découverte de nouveaux documents relatifs au Polyptyque de Saint-Remi de Reims. : A propos d'une édition récente d'un article, vol. n°270, t. 68, Revue du Nord, , p. 593.
  23. Annick Chupin, Pierre-Gilles Girault et Marcel Girault, Livre des miracles de saint Gilles : la vie d'un sanctuaire de pèlerinage au XIIe siècle, Éditions Paradigme, , p. 213.
  24. Office de tourisme de Fismes et de sa région
  25. Carte du diocèse Reims, partie Nord : https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/btv1b85932435/f1.item.zoom
  26. « HOE de Saint-Gilles ».
  27. « Schéma départemental de coopération intercommunale de la marne » [PDF], Tout savoir sur votre SDCI, Association nationale des Pôles d'équilibre territoriaux et ruraux et des Pays (ANPP), (consulté le ), p. 2.
  28. « Liste des élus de la Somme » [ods], Listes des élus, Préfecture de la Somme, (consulté le ).
  29. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  30. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  31. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  32. Notice no PA00078838, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.