Saint-Laurent-du-Verdon

Saint-Laurent-du-Verdon
Saint-Laurent-du-Verdon
La chapelle Notre-Dame.
Blason de Saint-Laurent-du-Verdon
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Provence-Alpes-Côte d’Azur
Département Alpes-de-Haute-Provence
Arrondissement Forcalquier
Intercommunalité Durance-Luberon-Verdon Agglomération
Maire
Mandat
Nadine Grillon
2020-2026
Code postal 04500
Code commune 04186
Démographie
Gentilé Saint-Laurennais
Population
municipale
92 hab. (2021 en évolution de −2,13 % par rapport à 2015)
Densité 10 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 43′ 30″ nord, 6° 04′ 07″ est
Altitude Min. 394 m
Max. 581 m
Superficie 8,89 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Valensole
Législatives Première circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Saint-Laurent-du-Verdon
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Saint-Laurent-du-Verdon
Géolocalisation sur la carte : Alpes-de-Haute-Provence
Voir sur la carte topographique des Alpes-de-Haute-Provence
Saint-Laurent-du-Verdon
Géolocalisation sur la carte : Provence-Alpes-Côte d'Azur
Voir sur la carte administrative de Provence-Alpes-Côte d'Azur
Saint-Laurent-du-Verdon
Liens
Site web saint-laurent-du-verdon.dlva.fr

Saint-Laurent-du-Verdon est une commune française, située dans le département des Alpes-de-Haute-Provence en région Provence-Alpes-Côte d'Azur.

Le nom de ses habitants est Saint-Laurennais[1].

Géographie

[modifier | modifier le code]
Carte élémentaire montrant les limites de la commune, les communes voisines, les zones de végétation et les routes
Saint-Laurent-du-Verdon et les communes voisines (Cliquez sur la carte pour accéder à une grande carte avec la légende).

Le village est situé à 468 m d’altitude[2].

Les communes limitrophes de Saint-Laurent-du-Verdon sont Montagnac-Montpezat, Baudinard-sur-Verdon et Artignosc-sur-Verdon (ces deux communes situées dans le département du Var), Quinson et Esparron-de-Verdon.

Voies routières

[modifier | modifier le code]

Services autocars

[modifier | modifier le code]
Lignes intercommunales
[modifier | modifier le code]

Le village est relié par une ligne intercommunale du réseau Trans'Agglo[3] :

Ligne Tracé
134 Esparron-de-VerdonQuinson ↔ Saint-Laurent-du-Verdon ↔ Montagnac-MontpezatRiez (Transport à la demande)
Lignes scolaires
[modifier | modifier le code]

Des lignes de transports scolaires ont été mises en place pour rallier le collège de Riez. Ces lignes sont financées par la communauté d'agglomération Durance Luberon Verdon au travers du réseau Trans'Agglo. En plus des lignes existantes du réseau, d'autres ont été rajoutées.

Ligne Tracé
144 S Quinson ↔ Saint-Laurent-du-Verdon ↔ Riez
183 RPI Saint-Laurent-du-Verdon ↔ Quinson

Environnement

[modifier | modifier le code]

La commune compte 300 ha de bois et forêts, soit plus du tiers de la superficie[1].

Hydrographie

[modifier | modifier le code]

Le Verdon traverse la commune. Plusieurs de ses affluents coulent également à Saint-Laurent-du-Verdon :

Risques naturels et technologiques

[modifier | modifier le code]

Aucune des 200 communes du département n'est en zone de risque sismique nul. Le canton de Riez auquel appartient Saint-Laurent-du-Verdon est en zone 1b (sismicité faible) selon la classification déterministe de 1991, basée sur les séismes historiques[7], et en zone 3 (risque modéré) selon la classification probabiliste EC8 de 2011[8]. La commune de Saint-Laurent-du-Verdon est également exposée à trois autres risques naturels[8] :

  • feu de forêt ;
  • inondation ;
  • mouvement de terrain : la commune est presque entièrement concernée par un aléa moyen à fort[9].

La commune de Saint-Laurent-du-Verdon est de plus exposée à deux risques d’origine technologique[10] :

  • celui de transport de matières dangereuses par route. La départementale RD 11 qui passe en bordure de la commune peut être empruntée par les transports routiers de marchandises dangereuses[11] ;
  • et celui de rupture de barrage. Saint-Laurent-du-Verdon fait partie de la zone d’inondation spécifique en cas de rupture du barrage de Castillon[12],[13]. Si cette rupture advenait, l’onde de submersion passerait en crête au-dessus du barrage de Chaudanne[14] et ne serait retenue que quelques minutes par le barrage de Sainte-Croix[15]. Les 64 kilomètres de vallée du Verdon qui séparent le barrage de Castillon de la commune serait parcourus en 1 h 38 minutes[15]. L’onde arriverait déjà considérablement affaiblie, provoquant une hausse du cours du Verdon d’une dizaine de mètres environ. Elle atteindrait la sortie de la commune six minutes plus tard, progressant à une vitesse de 60 km/h[16].

Aucun plan de prévention des risques naturels prévisibles (PPR) n’existe pour la commune[10] et le Dicrim n’existe pas non plus[17]. L’incendie du détruit 820 ha de forêt, en touchant également les communes de Quinson et Esparron-de-Verdon ; le , un nouvel incendie détruit 2 013 ha de forêt, en touchant également les communes de Quinson et Saint-Martin-de-Brômes[18].

Le nom du village apparaît pour la première fois en 1274 (vicarius sancti Laurentii), sa forme occitane (sant plus le nom du saint) a été francisée par la suite[19],[20]. Elle rend hommage à saint Laurent, martyr du IIIe siècle[20].

La commune se nomme Sant Laurenç en occitan provençal.

En 2010, le climat de la commune est de type climat méditerranéen altéré, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[21]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat méditerranéen et est dans la région climatique Provence, Languedoc-Roussillon, caractérisée par une pluviométrie faible en été, un très bon ensoleillement (2 600 h/an), un été chaud (21,5 °C), un air très sec en été, sec en toutes saisons, des vents forts (fréquence de 40 à 50 % de vents > 5 m/s) et peu de brouillards[22].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12,8 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 778 mm, avec 6,4 jours de précipitations en janvier et 3 jours en juillet[21]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Regusse », sur la commune de Régusse à 9 km à vol d'oiseau[23], est de 13,5 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 717,9 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 40,9 °C, atteinte le  ; la température minimale est de −10,3 °C, atteinte le [Note 1],[24],[25].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[26]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[27].

Au , Saint-Laurent-du-Verdon est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[28]. Elle est située hors unité urbaine[29] et hors attraction des villes[30],[31].

Occupation des sols

[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (49,9 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (49 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (28 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (27,6 %), terres arables (21,9 %), forêts (19,1 %), eaux continentales[Note 2] (3,4 %)[32].

L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Le territoire de la commune est fréquenté au paléolithique et au néolithique [33].

Quelques vestiges gallo-romains ont été retrouvés sur la commune (conduites de plomb, fondations) ainsi que des tombes en tegulae, au Plan Pelissier [34]. Devant le château et à proximité de l’église, d’autres tombes du IVe siècle ont été mises au jour en 1961 [35].

La localité apparaît pour la première fois dans les chartes au XIIIe siècle (Sanctus Laurentius)[36]. Les seigneurs principaux du village sont les Vintimille (XIIIe-XVe), puis les Barras (XVIe-XVIIIe)[36]. Au XIIe siècle, les Esparron sont seigneurs du lieu, jusqu’à ce que le comte de Provence Raimond Béranger V confisque le château à Guillaume d’Esparron dans la première moitié du XIIIe siècle. Il donne alors la moitié de la seigneurie plus la seigneurie majeure aux évêques de Riez[37] qui sont donc coseigneurs de 1234 à 1631. Les autres détenteurs d’une partie du fief sont les Pontevès, les d’Agoult, les Castellane, les Villeneuve, et enfin les Mazenod (XVIIIe, derniers titulaires).

De cette division, Saint-Laurent tire des armoiries compliquées, écartelées et portant un château en cœur[38].

Durant la Révolution, la commune compte une société patriotique, créée après la fin de 1792[39]. Pour suivre le décret de la Convention du 25 vendémiaire an II qui invite les communes, dont les noms peuvent rappeler les souvenirs de la royauté, de la féodalité ou des superstitions, à les remplacer par d'autres dénominations, la commune change de nom pour Laurent[40] ou Saluber[41].

Le coup d'État du 2 décembre 1851 commis par Louis-Napoléon Bonaparte contre la Deuxième République provoque un soulèvement armé dans les Basses-Alpes, en défense de la Constitution. Après l’échec de l’insurrection, une sévère répression poursuit ceux qui se sont levés pour défendre la République : 6 habitants de Saint-Laurent-du-Verdon sont traduits devant la commission mixte[42].

Au XIXe siècle, Saint-Laurent-du-Verdon est l’une des dernières communes de la région à ne pas posséder d’école : lors de l’enquête de 1863, elle est parmi les 17 communes du département (sur 245) à ne pas en posséder[43]. Ce n’est qu’avec les lois Jules Ferry qu’elle s’équipe[44].

Héraldique

[modifier | modifier le code]
Blason de Saint-Laurent-du-Verdon Blason
Écartelé : au 1er d'or à un loup ravissant d'azur ; au 2e fascé d'or et d'azur de six pièces ; au 3e d'argent à quatre pals de gueules, et une bande d'azur brochante sur le tout chargée de trois besants d'or ; au 4e de gueules à deux lions affrontés d'argent, supportant d'une de leur patte un demi-vol d'or ; et sur le tout un écusson de gueules à un château donjonné de trois tours d'or [45].
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Politique et administration

[modifier | modifier le code]

Intercommunalité

[modifier | modifier le code]

Saint-Laurent-du-Verdon fait partie :

Municipalité

[modifier | modifier le code]
Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
mai 1945   Joachim Jauffret[46]    
         
1977 (?) 1983 (?) Marcel Pourchet[47]    
1985 octobre 2020 Jean-Albert Bondil[48],[49],[50] DVG Fonctionnaire
novembre 2020 En cours Nadine Grillon    
Les données manquantes sont à compléter.

Budget et fiscalité 2015

[modifier | modifier le code]

En 2015, le budget de la commune était constitué ainsi[51] :

  • total des produits de fonctionnement : 259 000 , soit 2 811  par habitant ;
  • total des charges de fonctionnement : 184 000 , soit 1 996  par habitant ;
  • total des ressources d’investissement : 92 000 , soit 1 001  par habitant ;
  • total des emplois d’investissement : 137 000 , soit 1 492  par habitant.
  • endettement : 2 000 , soit 25  par habitant.

Avec les taux de fiscalité suivants :

  • taxe d’habitation : 3,35 % ;
  • taxe foncière sur les propriétés bâties : 20,57 % ;
  • taxe foncière sur les propriétés non bâties : 60,16 % ;
  • taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties : 0,00 % ;
  • cotisation foncière des entreprises : 0,00 %.

Environnement et recyclage

[modifier | modifier le code]

La collecte et traitement des déchets des ménages et déchets assimilés et la protection et mise en valeur de l'environnement se font dans le cadre de la communauté d'agglomération Durance Luberon Verdon.

Démographie

[modifier | modifier le code]


L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1765. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[52]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[53].

En 2021, la commune comptait 92 habitants[Note 3], en évolution de −2,13 % par rapport à 2015 (Alpes-de-Haute-Provence : +2,64 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1765 1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846
208188205182186206216159162
1851 1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891
169137145162159143139131111
1896 1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946
1141051021117575614948
1954 1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011
584652535971749291
2016 2021 - - - - - - -
9792-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[41] puis Insee à partir de 2006[54].)
Histogramme de l'évolution démographique

L’histoire démographique de Saint-Laurent est marquée par une période d’« étale » où la population reste assez stable à un niveau élevé. Cette période dure de 1800 à 1836. Elle est suivie d’un mouvement de diminution assez rapide. En 1901, la commune enregistre la perte de la moitié de sa population de 1836[55], le mouvement de baisse se poursuivant jusqu’aux années 1970. Si la population s’est remis à croître depuis, elle reste en dessous du niveau de 1901.

Évolution démographique avant 1765
1315 1471
26 feux2 feux

La culture de l’olivier est importante dans la commune. Elle se développe du XVIe siècle jusqu’au début du XXe, avec une oliveraie de 6 000 pieds. Elle perd les 3/4 de son effectif en un demi-siècle (1 500 pieds en 1994)[56],[57]. La production de la commune bénéficie du label Huile d'olive de Provence AOC[58].

La vigne, autre composante de la triade méditerranéenne, est aussi présente anciennement. Au XIXe siècle, le vin produit est destiné à l’autoconsommation, sa qualité permettant de le vendre sur les marchés régionaux. Actuellement, le vin est toujours d’assez bonne qualité et inclus dans le périmètre du Pierrevert (AOC), mais les surfaces cultivées sont restreintes[59].

Un camp naturiste se trouve sur la commune, au domaine d’Enriou[60].

Lieux et monuments

[modifier | modifier le code]
Le Château

Deux dolmens en très mauvais état ont été retrouvés sur la commune [61], aux lieux-dits Enriou et au Pont.

Les ruines du château fort construit au milieu du village sont du XVe siècle [62].

Le Château est l'âme du village. Les fenêtres des deux étages sont cintrées [63]. La cheminée monumentale, en gypserie, est de style Louis XIV[64]. C'est une propriété privée.

Quelques maisons du village datent des environs de 1500 [65].

L’église est placée sous le vocable et le patronage de saint Laurent, date du XIXe siècle. Son mobilier date de l’édifice précédent[38].

Personnalités liées à la commune

[modifier | modifier le code]

Notes et références

[modifier | modifier le code]
  1. Les records sont établis sur la période du au .
  2. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

[modifier | modifier le code]
  1. a et b Roger Brunet, « Canton de Riez », sur Le Trésor des régions (consulté le ).
  2. Michel de La Torre, Alpes-de-Haute-Provence : le guide complet des 200 communes, Paris, Deslogis-Lacoste, coll. « Villes et villages de France », 1989, Relié, 72 p. (non-paginé) (ISBN 2-7399-5004-7)
  3. Site de DLVA Mobilité.
  4. Fiche de vallon des grignolets sur le site du SANDRE
  5. Fiche du ravin d'enriou sur le site du SANDRE
  6. Fiche du Vallon de long camps
  7. Dossier départemental sur les risques majeurs dans les Alpes-de-Haute-Provence, Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, (lire en ligne), p.39.
  8. a et b Ministère de l’Écologie, du développement durable, des transports et du logement, Notice communale sur la base de données Gaspar, mise à jour le 27 mai 2011, consultée le 15 août 2012
  9. Dossier départemental sur les risques majeurs 2008, p. 37.
  10. a et b Dossier départemental sur les risques majeurs 2008, p. 97.
  11. Dossier départemental sur les risques majeurs 2008, p. 80.
  12. Dossier départemental sur les risques majeurs 2008, p. 88.
  13. Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, Plan particulier d'intervention des barrages de Castillon et Chaudanne, version du 4 juillet 2012, p. 14
  14. DREAL, « Cartographie de l’onde de submersion des grands barrages », Région PACA, consulté le 9 août 2012
  15. a et b Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, PPI de Castillon-Chaudanne, p. 27
  16. Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, PPI de Castillon-Chaudanne, p. 28
  17. Formulaire de recherche, base Dicrim, consultée le 15 août 2012
  18. Dossier départemental sur les risques majeurs 2008, p. 52.
  19. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France : étymologie de 35 000 noms de lieux, vol. 3 : Formations dialectales (suite) ; formations françaises, Genève, Librairie Droz, coll. « Publications romanes et françaises » (no 195), , 1852 p. (lire en ligne)., § 28450, p 1625
  20. a et b Bénédicte et Jean-Jacques Fénié, Toponymie provençale, Éditions Sud-Ouest, coll. « Sud Ouest Université », , 128 p. (ISBN 978-2-87901-442-5), p. 61.
  21. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  22. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  23. « Orthodromie entre Saint-Laurent-du-Verdon et Régusse », sur fr.distance.to (consulté le ).
  24. « Station Météo-France « Regusse », sur la commune de Régusse - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  25. « Station Météo-France « Regusse », sur la commune de Régusse - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  26. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le ).
  27. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le ).
  28. « La grille communale de densité », sur le site de l’Insee, (consulté le ).
  29. Insee, « Métadonnées de la commune ».
  30. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  31. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  32. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  33. Collier 1986, p. 8.
  34. Collier 1986, p. 20.
  35. Collier 1986, p. 21.
  36. a et b Sous la direction d'Édouard Baratier, Georges Duby et Ernest Hildesheimer, Atlas historique. Provence, Comtat Venaissin, principauté d’Orange, comté de Nice, principauté de Monaco, Paris, Librairie Armand Colin, (BNF 35450017), p. 196.
  37. a et b Daniel Thiery, « Curel- Aux origines des églises et chapelles rurales des Alpes-de-Haute-Provence », sur archeoprovence, (consulté le ).
  38. a et b « XVe journée archéologique », dans Annales de Haute-Provence no 308, 2e trimestre 1989, p. 13.
  39. Patrice Alphand, « Les Sociétés populaires », La Révolution dans les Basses-Alpes, Annales de Haute-Provence, bulletin de la société scientifique et littéraire des Alpes-de-Haute-Provence, no 307, 1er trimestre 1989, 108e année, p. 296-298.
  40. Jean-Bernard Lacroix, « Naissance du département », in La Révolution dans les Basses-Alpes, Annales de Haute-Provence, bulletin de la société scientifique et littéraire des Alpes-de-Haute-Provence, no 307, 1er trimestre 1989, 108e année, p. 113.
  41. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  42. Henri Joannet, Jean-Pierre Pinatel, « Arrestations-condamnations », 1851-Pour mémoire, Les Mées : Les Amis des Mées, 2001, p. 71.
  43. Jean-Christophe Labadie (dir.), Les Maisons d’école, Digne-les-Bains, Archives départementales des Alpes-de-Haute-Provence, (ISBN 978-2-86-004-015-0), p.9.
  44. Labadie 2013, p. 11.
  45. Louis de Bresc, Armorial des communes de Provence, Raphèle-lès-Arles, Marcel Petit CPM, (1re éd. 1866).
  46. [Sébastien Thébault, Thérèse Dumont], « La Libération », Basses-Alpes 39-45, publié le 31 mars 2014, consulté le 2 avril 2014.
  47. Marcel Pourchet est l’un des 500 élus qui ont parrainé la candidature d’Arlette Laguiller (LO) à l’élection présidentielle de 1981, cf Conseil constitutionnel, liste des élus ayant présenté les candidats à l’élection du Président de la République, Journal officiel de la République française du 15 avril 1981, page 1047, disponible en ligne, consulté le 29 juillet 2010
  48. Jean-Albert Bondil est l’un des 500 élus qui ont parrainé la candidature de Daniel Gluckstein à l’élection présidentielle de 2002, cf Parrainages élection présidentielle 2002, consulté le 28 juillet 2010 et Liste des citoyens ayant présenté les candidats à l'élection du Président de la République de 2002
  49. Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, De Saint-Jurs à Soleihas (sic) (liste 7), consulté le 10 mars 2013
  50. Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, « Liste des maires », 2014, consultée le 20 octobre 2014.
  51. Les comptes de la commune « Copie archivée » (version du sur Internet Archive)
  52. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  53. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  54. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  55. Christiane Vidal, « [Chronologie et rythmes du dépeuplement dans le département des Alpes-de-Haute-Provence depuis le début du XIXe siècle.] », Provence historique, tome 21, no 85, 1971, p. 287.
  56. Claudine Durbiano, « L'oliveraie provençale, production de qualité et requalification territoriale », Méditerranée, Tome 95, 3-4- 2000. « Dynamiques spatiales des cultures spéciales ». p. 19.
  57. Réparaz 2007, p. 58.
  58. « Liste des appellations AOC et IGP à Aubignosc », sur INAO.
  59. André de Réparaz, « Terroirs perdus, terroirs constants, terroirs conquis : vigne et olivier en Haute-Provence XIXe – XXIe siècles », Méditerranée, no 109,‎ , p.56 et 59 (lire en ligne).
  60. site officiel, référencé notamment par Naturisme en France
  61. Collier 1986, p. 9.
  62. Collier 1986, p. 251.
  63. Collier et 1986 p262.
  64. Comtesse du Chaffaut, Gypseries en Haute-Provence : cheminées et escaliers (XVIe – XVIIe siècles), Turriers, Naturalia publications, (ISBN 2-909717-22-4), p. 122-123.
  65. Collier 1986, p. 359.
  66. Le moulin du château

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie

[modifier | modifier le code]

Articles connexes

[modifier | modifier le code]

Liens externes

[modifier | modifier le code]