Saint-Médard-de-Mussidan

Saint-Médard-de-Mussidan
Saint-Médard-de-Mussidan
Le château de Bassy à Saint-Médard-de-Mussidan.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Dordogne
Arrondissement Périgueux
Intercommunalité Communauté de communes Isle et Crempse en Périgord
Maire
Mandat
Michel Florenty
2020-2026
Code postal 24400
Code commune 24462
Démographie
Gentilé Mussidanais de Saint-Médard
Population
municipale
1 648 hab. (2021 en évolution de −4,13 % par rapport à 2015)
Densité 67 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 02′ 40″ nord, 0° 20′ 49″ est
Altitude Min. 37 m
Max. 150 m
Superficie 24,45 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Mussidan
(ville-centre)
Aire d'attraction Hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de la Vallée de l'Isle
Législatives Première circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Saint-Médard-de-Mussidan
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Saint-Médard-de-Mussidan
Géolocalisation sur la carte : Dordogne
Voir sur la carte topographique de la Dordogne
Saint-Médard-de-Mussidan
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Voir sur la carte administrative de Nouvelle-Aquitaine
Saint-Médard-de-Mussidan
Liens
Site web stmedarddemussidan.fr

Saint-Médard-de-Mussidan est une commune française située dans le département de la Dordogne, en région Nouvelle-Aquitaine.

Géographie

[modifier | modifier le code]

Généralités

[modifier | modifier le code]

Dans l'ouest du département de la Dordogne, la commune de Saint-Médard-de-Mussidan est située dans le Landais pour sa partie sud, et en vallée de l'Isle au nord. C'est une commune rurale[1] qui fait partie de l'unité urbaine de Mussidan[2] et qui était incluse jusqu'en 2019 dans l'aire urbaine de Mussidan[3].

En rive gauche de l'Isle, elle est bordée au nord par cette rivière et à l'ouest par son affluent le Martarieux et arrosée par son autre affluent, la Beauronne.

À proximité de la route départementale (RD) 6089, le bourg de Saint-Médard-de-Mussidan se situe, en distances orthodromiques, deux kilomètres à l'ouest-nord-ouest de Mussidan et douze kilomètres au sud-ouest de Neuvic.

La commune est également desservie par les RD 20, 709 et 709E. Elle est aussi traversée par l'autoroute A89 dont l'échangeur-péage le plus proche (no 13) est celui de Mussidan[Note 1], à six kilomètres du bourg par la route, et par la ligne ferroviaire Bordeaux - Périgueux dont la gare la plus proche est celle de Mussidan, à deux kilomètres par la route.

Communes limitrophes

[modifier | modifier le code]

Saint-Médard-de-Mussidan est limitrophe de sept autres communes.


Communes limitrophes de Saint-Médard-de-Mussidan
Saint-Martin-l'Astier Saint-Front-de-Pradoux
Saint-Laurent-des-Hommes Saint-Médard-de-Mussidan Mussidan
Beaupouyet Saint-Géry Les Lèches

Géologie et relief

[modifier | modifier le code]

Situé sur la plaque nord du Bassin aquitain et bordé à son extrémité nord-est par une frange du Massif central, le département de la Dordogne présente une grande diversité géologique. Les terrains sont disposés en profondeur en strates régulières, témoins d'une sédimentation sur cette ancienne plate-forme marine. Le département peut ainsi être découpé sur le plan géologique en quatre gradins différenciés selon leur âge géologique. Saint-Médard-de-Mussidan est située dans le quatrième gradin à partir du nord-est, un plateau formé de dépôts siliceux-gréseux et de calcaires lacustres de l'ère tertiaire[4].

Les couches affleurantes sur le territoire communal sont constituées de formations superficielles du Quaternaire et de roches sédimentaires datant pour certaines du Cénozoïque, et pour d'autres du Mésozoïque. La formation la plus ancienne, notée c5e, date du Campanien 5, des calcaires bioclastiques jaunâtres à rudistes, orbitoides media, Larrazetia, calcaires gréseux jaunes à grands silex versicolores, lumachelles à huîtres. La formation la plus récente, notée CFp, fait partie des formations superficielles de type colluvions indifférenciées de versant, de vallon et plateaux issues d'alluvions, molasses, altérites. Le descriptif de ces couches est détaillé dans les feuilles « no 781 - Montpon-Ménestérol » et « no 782 - Mussidan » de la carte géologique au 1/50 000 de la France métropolitaine[5],[6] et leurs notices associées[7],[8].

Carte géologique de Saint-Médard-de-Mussidan.

Relief et paysages

[modifier | modifier le code]

Le département de la Dordogne se présente comme un vaste plateau incliné du nord-est (491 m, à la forêt de Vieillecour dans le Nontronnais, à Saint-Pierre-de-Frugie) au sud-ouest (2 m à Lamothe-Montravel). L'altitude du territoire communal varie quant à elle entre 37 mètres et 150 mètres[9],[10].

Dans le cadre de la Convention européenne du paysage entrée en vigueur en France le , renforcée par la loi du 8 août 2016 pour la reconquête de la biodiversité, de la nature et des paysages, un atlas des paysages de la Dordogne a été élaboré sous maîtrise d’ouvrage de l’État et publié en [11]. Les paysages du département s'organisent en huit unités paysagères[Note 2],[12]. La commune est dans l'unité paysagère de la « Vallée de l'Isle », qui présente un profil contrasté : une vallée relativement encaissée, aux coteaux affirmés, dominant le fond de vallée de 60 à 80 m en amont de Mussidan, une vallée plus élargie en aval avec un fond de vallée plat, large de 1,5 à 2 km. À la fois agricole et urbanisée, elle est parcourue par de nombreuses voies de communication[13],[14].

La superficie cadastrale de la commune publiée par l'Insee, qui sert de référence dans toutes les statistiques, est de 24,45 km2[9],[15],[Note 3]. La superficie géographique, issue de la BD Topo, composante du Référentiel à grande échelle produit par l'IGN, est quant à elle de 23,68 km2[6].

Hydrographie

[modifier | modifier le code]

Réseau hydrographique

[modifier | modifier le code]

La commune est située dans le bassin de la Dordogne au sein du Bassin Adour-Garonne[18]. Elle est drainée par l'Isle, la Beauronne, le Martarieux, et par divers petits cours d'eau[Note 4], qui constituent un réseau hydrographique de 35 km de longueur totale[19],[Carte 1].

L'Isle, d'une longueur totale de 255,29 km, prend sa source dans la Haute-Vienne dans la commune de Janailhac et se jette dans la Dordogne — dont elle est le principal affluent — en rive droite face à Arveyres, en limite de Fronsac et de Libourne[20],[21]. Elle borde la commune au nord sur dix kilomètres, la séparant de Saint-Front-de-Pradoux au nord-est, de Saint-Martin-l'Astier au nord et de Saint-Laurent-des-Hommes au nord-ouest.

La Beauronne, d'une longueur totale de 15,22 km, prend sa source dans la commune d'Église-Neuve-d'Issac et se jette dans l'Isle en rive gauche à Saint-Médard-de-Mussidan, face à Saint-Laurent-des-Hommes[22],[23]. Elle traverse le territoire communal du sud-est au nord-ouest sur près de sept kilomètres et demi

Le Martarieux, d'une longueur totale de 13,57 km, prend sa source dans la commune de Fraisse et se jette dans l'Isle en rive gauche à Saint-Laurent-des-Hommes[24],[25]. Il limite le territoire communal à l'ouest sur cinq kilomètres, en trois tronçons, face à Beaupouyet et Saint-Laurent-des-Hommes.

Gestion et qualité des eaux

[modifier | modifier le code]

Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Isle - Dronne ». Ce document de planification, dont le territoire regroupe les bassins versants de l'Isle et de la Dronne, d'une superficie de 7 500 km2, a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'établissement public territorial de bassin de la Dordogne (EPIDOR)[26]. Il définit sur son territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le [27].

La qualité des eaux de baignade et des cours d’eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversité[Carte 2].

Historiquement, la commune est exposée à un climat océanique aquitain[28]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Aquitaine, Gascogne, caractérisée par une pluviométrie abondante au printemps, modérée en automne, un faible ensoleillement au printemps, un été chaud (19,5 °C), des vents faibles, des brouillards fréquents en automne et en hiver et des orages fréquents en été (15 à 20 jours)[29].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12,8 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,2 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 832 mm, avec 11,3 jours de précipitations en janvier et 6,8 jours en juillet[30]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Saint-Martin-de-Ribérac à 21 km à vol d'oiseau[31], est de 13,5 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 916,6 mm[32],[33]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[34].

Au , Saint-Médard-de-Mussidan est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[35]. Elle appartient à l'unité urbaine de Mussidan, une agglomération intra-départementale dont elle est ville-centre[36],[37]. La commune est en outre hors attraction des villes[38],[39].

Occupation des sols

[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (67,1 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (69,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (47,4 %), forêts (23,2 %), terres arables (15 %), zones urbanisées (5,4 %), prairies (4,7 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (3,1 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (1,2 %)[40]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Prévention des risques

[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Saint-Médard-de-Mussidan est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[41]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[42].

Risques naturels

[modifier | modifier le code]
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Saint-Médard-de-Mussidan.

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment l'Isle, le Grolet, la Beauronne et le Martarieux. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1986, 1993, 1999 et 2003[43],[41]. Le risque inondation est pris en compte dans l'aménagement du territoire de la commune par le biais du plan de prévention des risques inondation (PPRI) de la « vallée de l'Isle - Mussidanais » prescrit le et approuvé le , pour les crues de l'Isle[44],[45].

Saint-Médard-de-Mussidan est exposée au risque de feu de forêt. L’arrêté préfectoral du fixe les conditions de pratique des incinérations et de brûlage dans un objectif de réduire le risque de départs d’incendie. À ce titre, des périodes sont déterminées : interdiction totale du 15 février au 15 mai et du 15 juin au 15 octobre, utilisation réglementée du 16 mai au 14 juin et du 16 octobre au 14 février[46]. En septembre 2020, un plan inter-départemental de protection des forêts contre les incendies (PidPFCI) a été adopté pour la période 2019-2029[47],[48].

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[49]. Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[50]. 87,6 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (58,6 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national métropolitain)[Carte 4]. Depuis le , en application de la loi ÉLAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 5],[51].

La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 1992, 1997, 2005 et 2011 et par des mouvements de terrain en 1999[41].

Panneau bilingue fen rançais et occitan.

En occitan, la commune se nomme Sent Meard de Moissídan[52],[53]..

Des vestiges de présence humaine datant de l'Aurignacien et du Moustérien, ainsi que d'anciens silos à grain médiévaux, ont été mis en évidence entre 2008 et 2013 lors de fouilles archéologiques au lieu-dit les Chauzeys[54]. Des éclats de silex remontant au Moustérien ont aussi été révélés en 2012 au lieu-dit les Bessinaudes[55].

Saint-Médard-de-Mussidan s'appelait autrefois Saint Médard de Limeuil[56].

Sur la carte de Cassini représentant la France entre 1756 et 1789, on trouve également la graphie Saint Medard de Mucidan.

Politique et administration

[modifier | modifier le code]

Intercommunalité

[modifier | modifier le code]

Fin 2002, Saint-Médard-de-Mussidan intègre dès sa création la communauté de communes du Mussidanais en Périgord. Celle-ci disparaît au , remplacée au par la communauté de communes Isle et Crempse en Périgord.

Administration municipale

[modifier | modifier le code]

La population de la commune étant comprise entre 1 500 et 2 499 habitants au recensement de 2017, dix-neuf conseillers municipaux ont été élus en 2020[57],[58].

Liste des maires

[modifier | modifier le code]
La mairie en 2008.
Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
         
mai 1945 1963 Henri Feytou PCF Propriétaire exploitant
Conseiller général du canton de Mussidan (1945-1951)
1963 mars 1965 Maurice Marty    
mars 1965 1979 Roger Peyrefiche    
1979 juin 1995 Henri Marcel Guillot PCF  
juin 1995
(réélu en mai 2020[59])
En cours Michel Florenty PCF[60] Agriculteur
Président de la CC du Mussidanais en Périgord (2014-2016)

Équipements et services publics

[modifier | modifier le code]

Depuis , la commune dispose d'un centre départemental de santé dans lequel exercent des médecins salariés par la collectivité[61]. Début 2023, trois médecins généralistes y officient, et un cabinet d'infirmiers s'est installé à l'arrière, en attendant l'installation d'un proche cabinet paramédical[62].

En 2023, dans le domaine judiciaire, Saint-Médard-de-Mussidan relève[63] :

Population et société

[modifier | modifier le code]

Démographie

[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[64]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[65].

En 2021, la commune comptait 1 648 habitants[Note 6], en évolution de −4,13 % par rapport à 2015 (Dordogne : −0,41 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
795811780803840858897939984
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
9881 0029539259279859439621 019
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
9919599229429649581 0041 0421 150
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
1 1531 3271 5401 6441 6001 5121 6361 7041 715
2021 - - - - - - - -
1 648--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[9] puis Insee à partir de 2006[66].)
Histogramme de l'évolution démographique
  • Football : l'Union sportive Mussidan/Saint-Médard évolue en Régional 2 pour la saison 2023-2024[67].

En 2015[68], parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs représentent 653 personnes, soit 38,0 % de la population municipale. Le nombre de chômeurs (93) a augmenté par rapport à 2010 (78) et le taux de chômage de cette population active s'établit à 14,3 %.

Établissements

[modifier | modifier le code]

Au , la commune compte 129 établissements[69], dont 78 au niveau des commerces, transports ou services, dix-huit dans l'agriculture, la sylviculture ou la pêche, douze dans l'industrie, douze dans la construction, et neuf relatifs au secteur administratif, à l'enseignement, à la santé ou à l'action sociale[70].

Entreprises

[modifier | modifier le code]

Dans le secteur du commerce, parmi les entreprises dont le siège social est en Dordogne, la société « Mussidan distribution » implantée à Saint-Médard-de-Mussidan se classe en 34e position quant au chiffre d'affaires hors taxes en 2015-2016, avec 18 946 k€[71].

Culture locale et patrimoine

[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments

[modifier | modifier le code]

Personnalités liées à la commune

[modifier | modifier le code]

Pour approfondir

[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie

[modifier | modifier le code]

Articles connexes

[modifier | modifier le code]

Liens externes

[modifier | modifier le code]

Notes et références

[modifier | modifier le code]

Notes et cartes

[modifier | modifier le code]
  • Notes
  1. Bien que situé sur la commune des Lèches, l'échangeur-péage no 13 est dit « de Mussidan ».
  2. Une unité paysagère est un pan de territoire qui présente des caractéristiques paysagères propres.
  3. La superficie publiée par l’Insee est la superficie évaluée en 1975 par le service du cadastre de la Direction Générale des Impôts, corrigée des modifications communales intervenues depuis 1975. Elle comprend toutes les surfaces du domaine public et privé, cadastrées ou non cadastrées, à l'exception des lacs, étangs et glaciers de plus d'un kilomètre carré ainsi que des estuaires et ne correspond pas obligatoirement à la surface géographique[16],[17]
  4. Contrairement à ce qu'indique le Sandre, le Grolet, affluent de rive droite de l'Isle, n'arrose pas la commune de Saint-Médard-de-Mussidan située entièrement en rive gauche.
  5. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
    • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
    • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
    • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
  6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. « Réseau hydrographique de Saint-Médard-de-Mussidan » sur Géoportail (consulté le 18 juillet 2022).
  2. « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le ).
  3. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  4. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références

[modifier | modifier le code]
  1. [PDF] Arrêté fixant la liste des communes rurales 2023, Recueil des actes administratifs normal no 4, Préfecture de la Dordogne, , p. 126-140.
  2. Unité urbaine 2020 de Mussidan, Insee, consulté le .
  3. Aire urbaine 2010 de Mussidan, Insee, consulté le .
  4. « Géologie de la Dordogne - Périgord », sur espritdepays.com (consulté le ).
  5. « Carte géologique de Saint-Médard-de-Mussidan » sur Géoportail (consulté le 14 juin 2022).
  6. a et b « Caractéristiques géologiques et hydrogéologiques de la commune de Saint-Médard-de-Mussidan », sur le Système d’information pour la gestion des eaux souterraines (SIGES) en Occitanie (consulté le ).
  7. « Notice associée à la feuille no 781 - Montpon-Ménestérol de la carte géologique harmonisée au 1/50 000 de la France métropolitaine », sur Infoterre, le site du BRGM (consulté le ).
  8. « Notice associée à la feuille no 782 - Mussidan de la carte géologique harmonisée au 1/50 000 de la France métropolitaine », sur Infoterre, le site du BRGM (consulté le ).
  9. a b et c Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  10. IGN, « Répertoire géographique des communes (RGC) 2014 », sur drive.google.com.
  11. « Pourquoi un Atlas des paysages du Dordogne ? », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
  12. « Unités paysagères de la Dordogne », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
  13. « Repères géographiques de la Vallée de l'Isle », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
  14. « Portrait de la Vallée de l'Isle », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
  15. Insee, « Comparateur de territoire - Commune de Saint-Médard-de-Mussidan », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  16. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Indicateurs en données ouvertes (superficie) », sur l'Observatoire des territoires (consulté le ).
  17. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Répertoire géographique des communes d'Île-de-France - définition de certains champs (dont la superficie) », sur data.iledefrance.fr (consulté le ).
  18. « Cartographie du bassin Adour-Garonne. », sur adour-garonne.eaufrance.fr (consulté le ).
  19. « Fiche communale de Saint-Médard-de-Mussidan », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en région Aquitaine (consulté le ).
  20. « Confluence Isle-Dordogne face à la Pêcherie » sur Géoportail (consulté le 3 octobre 2022)..
  21. Sandre, « l'Isle »
  22. « Confluence Beauronne-Isle à l'ouest de Chandos » sur Géoportail (consulté le 3 octobre 2022)..
  23. Sandre, « la Beauronne »
  24. « Confluence Martarieux-Isle au sud de Bigoussias » sur Géoportail (consulté le 3 octobre 2022)..
  25. Sandre, « le Martarieux »
  26. « SAGE Isle - Dronne », sur gesteau.fr (consulté le ).
  27. « Caractéristiques du SDAGE Adour-Garonne 2022-2027 », sur occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  28. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
  29. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  30. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  31. « Orthodromie entre Saint-Médard-de-Mussidan et Saint-Martin-de-Ribérac », sur fr.distance.to (consulté le ).
  32. « Station Météo-France « Saint-Martin Rib. » (commune de Saint-Martin-de-Ribérac) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  33. « Station Météo-France « Saint-Martin Rib. » (commune de Saint-Martin-de-Ribérac) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  34. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  35. « La grille communale de densité », sur le site de l’Insee, (consulté le ).
  36. « Unité urbaine 2020 de Mussidan », sur insee.fr (consulté le ).
  37. Insee, « Métadonnées de la commune ».
  38. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  39. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  40. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  41. a b et c « Les risques près de chez moi - commune de Saint-Médard-de-Mussidan », sur Géorisques (consulté le ).
  42. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  43. « Dossier départemental des risques majeurs de la Dordogne », sur dordogne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
  44. « Dossier départemental des risques majeurs de la Dordogne », sur dordogne.gouv.fr (consulté le ), liste des risques par communes, pages 111-133.
  45. [PDF]« Plan de prévention du risque inondation de la « vallée de l'Isle - Mussidanais » », sur le site de la préfecture de la Dordogne, (consulté le ).
  46. « Dossier départemental des risques majeurs de la Dordogne », sur dordogne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Feux de forêts.
  47. « Protection de la forêt contre les incendies », sur le site de la DREAL de Nouvelle-Aquitaine, (consulté le ).
  48. « Plans Départementaux et Inter-Départementaux de Protection des Forêts Contre les Incendies », sur le site de la DREAL de Nouvelle-Aquitaine (consulté le ).
  49. « Dossier départemental des risques majeurs de la Dordogne », sur dordogne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
  50. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  51. « Sols argileux, sécheresse et construction », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
  52. Le nom occitan des communes du Périgord - Sent Meard de Moissídan sur le site du Conseil général de la Dordogne, consulté le .
  53. Jean Roux, Dictionnaire toponymique des communes de Dordogne, Périgueux, Novelum IEO, , 735 p. (ISBN 978-2-917451-35-9), p. 595.
  54. Bruno Boucharel, Traces d'occupation vieilles de 80 000 ans, Sud Ouest édition Périgueux du 13 août 2013, p. 18.
  55. Bruno Boucharel, Fouilles fructueuses aux Bessinaudes, Sud Ouest édition Périgueux du 7 avril 2012.
  56. Chantal Tanet et Tristan Hordé, Dictionnaire des noms de lieux du Périgord, p. 349, éditions Fanlac, 2000, (ISBN 2-86577-215-2).
  57. Article L2121-2 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance, consulté le 11 septembre 2020.
  58. Résultats des élections municipales et communautaires 2020 sur le site du ministère de l'Intérieur, consulté le 18 novembre 2020.
  59. « Ils ont aussi été élus », Sud Ouest édition Dordogne/Lot-et-Garonne, , p. 16.
  60. « Voici vos 557 maires », édition spéciale de Sud Ouest du 3 avril 2008, p. 16.
  61. Benoît Martin, « Un troisième centre départemental de santé à Ribérac ? », Sud Ouest édition Dordogne, , p. 14-15.
  62. « Le centre départemental de santé a trouvé son public », Sud Ouest édition Dordogne, , p. 15.
  63. « Annuaire des juridictions d'une commune », sur le site du ministère de la Justice (consulté le ).
  64. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  65. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  66. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  67. Sylvain Desgroppes, « Mussidan/Saint-Médard veut retrouver de l'allant », Sud Ouest édition Dordogne, , p. 16.
  68. Dossier complet - Commune de Saint-Médard-de-Mussidan (24462) - Activités, emploi et chômage - tableaux EMP T2 et EMP T4 sur le site de l'Insee, consulté le 21 janvier 2019.
  69. « Établissement - Définition », sur Insee (consulté le ).
  70. Dossier complet - Commune de Saint-Médard-de-Mussidan (24462) - Établissements actifs par secteur d'activité - tableau CEN T1 sur le site de l'Insee, consulté le 21 janvier 2019.
  71. « Commerce », Sud Ouest éco & entreprises édition Dordogne, novembre 2017, p. 40.
  72. « Château de Longua », notice no PA00082874, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  73. Guy Penaud, Dictionnaire des châteaux du Périgord, éditions Sud Ouest, 1996, (ISBN 2-87901-221-X), p. 23.
  74. Journées du patrimoine - Ballade au bord de l'eau, au fil du temps... sur le site de Saint-Médard-de-Mussidan, consulté le 8 juin 2015.
  75. Jean-Marie Bélingard, Dominique Audrerie, Emmanuel du Chazaud, préface d'André Chastel, Le Périgord des chartreuses, Pilote 24 édition, Périgueux, mai 2000, (ISBN 2-912347-11-4), p. 305.
  76. Sébastien Noël et Luc Stevens, Souterrains et mottes castrales : Émergence et liens entre deux architectures de la France médiévale, Paris, Éditions L'Harmattan, , 422 p. (ISBN 978-2-343-07867-0), p. 330.
  77. Abbé Carles, Dictionnaire des paroisses du Périgord, éditions du Roc de Bourzac, Bayac, 2004, (réédition à l'identique de celle de 1884 : Les titulaires et patrons du diocèse de Périgueux et de Sarlat), (ISBN 2-87624-125-0), p. 269.
  78. a et b Francis A. Boddart, « Une demeure de la distinction disparue ; le chalet de Bassy (1875-1908) à Saint-Médard-de-Mussidan », Bulletin de la Société historique et archéologique du Périgord, t. CXLIII,‎ , p. 329-348..