Saint-Méry

Saint-Méry
Saint-Méry
La mairie.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Île-de-France
Département Seine-et-Marne
Arrondissement Melun
Intercommunalité Communauté de communes Brie des rivières et châteaux
Maire
Mandat
Françoise Kubiak
2020-2026
Code postal 77720
Code commune 77426
Démographie
Gentilé Médériciens
Population
municipale
333 hab. (2021 en évolution de −8,26 % par rapport à 2015)
Densité 34 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 34′ 41″ nord, 2° 49′ 37″ est
Altitude Min. 73 m
Max. 113 m
Superficie 9,94 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Nangis
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Saint-Méry
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Saint-Méry
Liens
Site web saint-mery.com

Saint-Méry est une commune française située dans le département de Seine-et-Marne en région Île-de-France.

Géographie

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Localisation

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La commune est située à environ 6,5 kilomètres au sud-ouest de Mormant.

Localisation de la commune de Saint-Méry dans le département de Seine-et-Marne

Communes limitrophes

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Communes limitrophes de Saint-Méry[1]
Mormant
Champeaux Saint-Méry[1] Bombon
Blandy
Châtillon-la-Borde
La Chapelle-Gauthier

Hydrographie

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Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Carte des réseaux hydrographique et routier de Saint-Méry.

Le réseau hydrographique de la commune se compose de cinq cours d'eau référencés :

  • la rivière l’Almont ou ru d'Ancoeuil, longue de 42,15 km[2], affluent de la Seine en rive droite ;
    • le ru de Bouisy, long de 11,66 km[3] ;
    • le ru d'Ancoeur ou ru de la Prée, 9,63 km[4], qui conflue avec l’Almont ;
      • le ru des Moines, 7,05[5], affluent du ru d'Ancoeur ;
  • le canal du Bois de Blandy, 1,67 km[6].

La longueur totale des cours d'eau sur la commune est de 6,05 km[7].

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[8]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l’année et un hiver froid (°C)[9].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,3 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 725 mm, avec 11,5 jours de précipitations en janvier et 7,7 jours en juillet[8]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Grandpuits-Bailly-Carrois à 10 km à vol d'oiseau[10], est de 11,3 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 704,0 mm[11],[12]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[13].

Milieux naturels et biodiversité

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Aucun espace naturel présentant un intérêt patrimonial n'est recensé sur la commune dans l'inventaire national du patrimoine naturel[14],[15],[16].

Au , Saint-Méry est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[17]. Elle est située hors unité urbaine[18]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 1],[18]. Cette aire regroupe 1 929 communes[19],[20].

Lieux-dits, écarts et quartiers

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La commune compte 62 voies[Note 2] dont 44 lieux-dits administratifs[Note 3] répertoriés[21].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (63,5 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (68,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (58,1% ), forêts (28,9% ), espaces verts artificialisés, non agricoles (5,1% ), zones agricoles hétérogènes (4,9% ), zones urbanisées (2,5% ), prairies (0,4 %)[22].

Parallèlement, L'Institut Paris Région, agence d'urbanisme de la région Île-de-France, a mis en place un inventaire numérique de l'occupation du sol de l'Île-de-France, dénommé le MOS (Mode d'occupation du sol), actualisé régulièrement depuis sa première édition en 1982. Réalisé à partir de photos aériennes, le Mos distingue les espaces naturels, agricoles et forestiers mais aussi les espaces urbains (habitat, infrastructures, équipements, activités économiques, etc.) selon une classification pouvant aller jusqu'à 81 postes, différente de celle de Corine Land Cover[23],[24],[Carte 1]. L'Institut met également à disposition des outils permettant de visualiser par photo aérienne l'évolution de l'occupation des sols de la commune entre 1949 et 2018[Carte 2].

Planification

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La commune disposait en 2019 d'un plan local d'urbanisme approuvé[25]. Le zonage réglementaire et le règlement associé peuvent être consultés sur le Géoportail de l'urbanisme[Carte 3].

En 2017, le nombre total de logements dans la commune était de 185 dont 88,6 % de maisons (maisons de ville, corps de ferme, pavillons, etc.) et 11,4 % d'appartements[Note 4].

Parmi ces logements, 78,9 % étaient des résidences principales, 5,4 % des résidences secondaires et 15,7 % des logements vacants.

La part des ménages fiscaux propriétaires de leur résidence principale s'élevait à 85,6 % contre 11,6 % de locataires[26] dont, 3,4 % de logements HLM loués vides (logements sociaux)[Note 5] et, 2,7 % logés gratuitement.

Voies de communication et transports

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Le sentier de grande randonnée GR 1 fait une incursion sur le territoire de la commune.

Le nom de la localité est mentionné sous les formes R. de Sancto Mederico en 1171[27],[28]; Sanctus Merri en 1209[29],[28] ; Sanctus Medericus vers 1250[30],[28] ; Ecclesia de Sancto Mederico juxta Campellos en 1287[31],[28] ; Saint Merry lez Champiaux en Brie en 1355[32],[28] ; Saint Marry emprez Champeaulx en 1384[33],[28] ; Saint Marry en 1446[34],[28] ; Saint Marri en Brie en 1496[35],[28] ; Le fief et seigneurie de Saint Mederic, autrement dit Saint Merry en 1564[36],[28] ; Saint Mery en Brie en 1598[37],[28].

La commune a été édifiée à partir d'une chapelle dédiée Saint Méry (Médéric)[38].

Vers la fin du VIIe siècle, saint Médéric, abbé de Saint-Martin d'Autun, partit en pèlerinage sur les tombeaux de saint Denis et saint Germain, à Paris, en compagnie d'un jeune moine du nom de Frodulphe. La route fut longue car l'abbé, vieillissant et fatigué, dut souvent s'arrêter pour prendre du repos. C'est ainsi que Médéric et Frodulphe firent halte en un endroit désert à proximité de Paris, où fut ensuite élevée une chapelle en souvenir de l'abbé pèlerin, dont la charité, la piété et les miracles avaient frappé les populations. Bientôt quelques maisons vinrent se grouper autour de l'édifice placé sous le vocable de Saint-Médéric dit Saint-Merry, Saint-Merri ou encore Saint-Méry[38].

Politique et administration

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
avant 1988 ? Liliane Glikson    
mars 2001 2014 Jacky Blondelot   informaticien
2014 En cours Françoise Kubiak    

Équipements et services

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Eau et assainissement

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L’organisation de la distribution de l’eau potable, de la collecte et du traitement des eaux usées et pluviales relève des communes. La loi NOTRe de 2015 a accru le rôle des EPCI à fiscalité propre en leur transférant cette compétence. Ce transfert devait en principe être effectif au , mais la loi Ferrand-Fesneau du a introduit la possibilité d’un report de ce transfert au [39],[40].

Assainissement des eaux usées

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En 2020, la gestion du service d'assainissement collectif de la commune de Saint-Méry est assurée par la communauté de communes Brie des Rivières et Châteaux (CCBRC) pour la collecte, le transport et la dépollution. Ce service est géré en délégation par une entreprise privée, dont le contrat arrive à échéance le [41],[42],[43].

L’assainissement non collectif (ANC) désigne les installations individuelles de traitement des eaux domestiques qui ne sont pas desservies par un réseau public de collecte des eaux usées et qui doivent en conséquence traiter elles-mêmes leurs eaux usées avant de les rejeter dans le milieu naturel[44]. La communauté de communes Brie des Rivières et Châteaux (CCBRC) assure pour le compte de la commune le service public d'assainissement non collectif (SPANC), qui a pour mission de vérifier la bonne exécution des travaux de réalisation et de réhabilitation, ainsi que le bon fonctionnement et l’entretien des installations[41],[45].

Eau potable

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En 2020, l'alimentation en eau potable est assurée par la communauté de communes Brie des Rivières et Châteaux (CCBRC) qui en a délégué la gestion à l'entreprise Veolia, dont le contrat expire le [41],[46].

Population et société

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[47]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[48].

En 2021, la commune comptait 333 habitants[Note 6], en évolution de −8,26 % par rapport à 2015 (Seine-et-Marne : +3,45 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
530550499573586554559555569
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
559535523471446427450455408
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
413335326305302292209262259
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
282255236278302366386389372
2017 2021 - - - - - - -
344333-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[49] puis Insee à partir de 2006[50].)
Histogramme de l'évolution démographique

Revenus de la population et fiscalité

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En 2017, le nombre de ménages fiscaux de la commune était de 143, représentant 340 personnes et la médiane du revenu disponible par unité de consommation de 26 730 euros[51].

En 2017 , le nombre total d’emplois dans la zone était de 79, occupant 182 actifs résidants. Le taux d'activité de la population (actifs ayant un emploi) âgée de 15 à 64 ans s'élevait à 78,3 % contre un taux de chômage de 3,5 %. Les 18,3 % d’inactifs se répartissent de la façon suivante : 8,3 % d’étudiants et stagiaires non rémunérés, 5,2 % de retraités ou préretraités et 4,8 % pour les autres inactifs[52].

Secteurs d'activité

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Entreprises et commerces

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En 2018, le nombre d'établissements actifs était de 13 dont 3 dans l’industrie manufacturière, industries extractives et autres, 1 dans la construction, 1 dans le commerce de gros et de détail, transports, hébergement et restauration, 2 dans les activités immobilières, 3 dans les activités spécialisées, scientifiques et techniques et activités de services administratifs et de soutien, 1 dans l’administration publique, enseignement, santé humaine et action sociale et 2 étaient relatifs aux autres activités de services[53].

En 2019, une entreprise individuelle a été créée sur le territoire de la commune.

Au 1er janvier 2020, la commune ne disposait pas d’hôtel et de terrain de camping[54].

Agriculture

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Saint-Méry est dans la petite région agricole dénommée la « Brie française », (ou Basse-Brie), une partie de la Brie autour de Brie-Comte-Robert[Carte 4]. En 2010, l'orientation technico-économique[Note 7] de l'agriculture sur la commune est la culture de céréales et d'oléoprotéagineux (COP)[55].

Si la productivité agricole de la Seine-et-Marne se situe dans le peloton de tête des départements français, le département enregistre un double phénomène de disparition des terres cultivables (près de 2 000 ha par an dans les années 1980, moins dans les années 2000) et de réduction d'environ 30 % du nombre d'agriculteurs dans les années 2010[56]. Cette tendance n'est pas confirmée au niveau de la commune qui voit le nombre d'exploitations rester constant entre 1988 et 2010. Parallèlement, la taille de ces exploitations augmente, passant de 113 ha en 1988 à 121 ha en 2010[55]. Le tableau ci-dessous présente les principales caractéristiques des exploitations agricoles de Saint-Méry, observées sur une période de 22 ans :

Évolution de l’agriculture à Saint-Méry entre 1988 et 2010.
1988 2000 2010
Dimension économique[55],[Note 8]
Nombre d’exploitations (u) 4 5 4
Travail (UTA) 12 6 7
Surface agricole utilisée (ha) 451 468 484
Cultures[57]
Terres labourables (ha) 445 464 484
Céréales (ha) 330 308 306
dont blé tendre (ha) 216 184 216
dont maïs-grain et maïs-semence (ha) 81 53 41
Tournesol (ha) s
Colza et navette (ha) s s s
Élevage[55]
Cheptel (UGBTA[Note 9]) 46 0 0

Culture locale et patrimoine

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L'église Saint-Méry, vue depuis l'ouest.

Lieux et monuments

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Personnalités liées à la commune

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Bibliographie

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  • Collectif d’historiens, Le patrimoine des communes de la Seine-et-Marne - tome 2, Paris, Éditions Flohic, , 1507 p. (ISBN 2-84234-100-7), « Saint-Méry », p. 1071–1073

Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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Notes et cartes

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  • Notes
  1. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  2. 47 annulations en 1991 et 2000 (importante restructuration).
  3. Contrairement au hameau ou écart qui est un groupe d’habitations , un lieu-dit n'est pas forcément un lieu habité, il peut être un champ, un carrefour ou un bois...
  4. En raison des arrondis, la somme des pourcentages n’est pas toujours égale à 100 %.
  5. Voir la Loi relative à la solidarité et au renouvellement urbains (loi SRU).
  6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  7. L'orientation technico-économique d'une exploitation est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
  8. L'indicateur s signifie que la donnée n'est pas diffusée par respect du secret statistique.
  9. L'Unité gros bétail alimentation totale (UGBTA) est une unité employée pour pouvoir comparer ou agréger des effectifs animaux d’espèces ou de catégories différentes (par exemple, une vache laitière = 1,45 UGBTA, une vache nourrice = 0,9 UGBTA, une truie-mère = 0,45 UGBTA).
  • Cartes
  1. « Saint-Méry - Occupation simplifiée 2017 », sur cartoviz.institutparisregion.fr (consulté le ).
  2. IAU Île-de-France, « Évolution de l'occupation des sols de la commune vue par photo aérienne (1949-2018) », sur cartoviz.institutparisregion.fr (consulté le ).
  3. « Géoportail de l’urbanisme », sur geoportail-urbanisme.gouv.fr (consulté le ).
  4. [PDF]« Carte des petites régions agricoles en Seine-et-Marne. », sur driaaf.ile-de-france.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

Références

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  1. « Communes limitrophes de Saint-Méry » sur Géoportail..
  2. Sandre, « Fiche cours d'eau - L’Almont (F44-0400) ».
  3. Sandre, « Fiche cours d'eau - Ru de Bouisy (F6614000) ».
  4. Sandre, « Fiche cours d'eau - Ru de la Prée (F4455000) ».
  5. Sandre, « Fiche cours d'eau - Ru des Moines (F4455600) ».
  6. Sandre, « Fiche cours d'eau - Canal 01 du Bois de Blandy (F4465202) ».
  7. Site SIGES – Seine-Normandie (Système d’information pour la gestion des eaux souterraines en Seine-Normandie), consulté le 11 septembre 2019
  8. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  9. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  10. « Orthodromie entre Saint-Méry et Grandpuits-Bailly-Carrois », sur fr.distance.to (consulté le ).
  11. « Station Météo-France « Nangis » (commune de Grandpuits-Bailly-Carrois) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  12. « Station Météo-France « Nangis » (commune de Grandpuits-Bailly-Carrois) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  13. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  14. « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Saint-Méry », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  15. « Liste des ZNIEFF de la commune de Saint-Méry », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  16. « Liste des espaces protégés sur la commune de Saint-Méry », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  17. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  18. a et b Insee, « Métadonnées de la commune de Saint-Méry ».
  19. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Paris », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  20. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  21. Annuaire des communes françaises
  22. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole) », sur statistiques.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  23. IAU Île-de-France, « Mode d'occupation du sol de l'Île-de-France », sur institutparisregion.fr (consulté le ).
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  25. « Etat d'avancement des documents d'urbanisme locaux au 01/11/2019 », sur /www.seine-et-marne.gouv.fr (consulté le ).
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  27. Bibl. nat., ms. latin 10942, fol. 8 v°.
  28. a b c d e f g h i et j STEIN (H.) HUBERT (J.) Dictionnaire topographique du département de Seine-et-Marne (1954), p. 507.
  29. Archives nationales, LL 1026, fol. 209.
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  31. Bibl. nat., ms. latin 10942, fol. 49 v°.
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  50. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  51. Statistiques officielles de l'Insee, section Revenus et pauvreté des ménages, consulté le 23 août 2020
  52. Statistiques officielles de l'Insee, section «Population active, emploi et chômage au sens du recensement en 2017», consultée le 16 février 2021
  53. Statistiques officielles de l'Insee, section «Démographie des entreprises en 2019», consultée le 16 février 2021
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