Saint-Nicolas-de-la-Balerme

Saint-Nicolas-de-la-Balerme
Saint-Nicolas-de-la-Balerme
La mairie de Saint-Nicolas-de-la-Balerme.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Lot-et-Garonne
Arrondissement Agen
Intercommunalité Agglomération d'Agen
Maire
Mandat
Jean-Marie Robert
2020-2026
Code postal 47220
Code commune 47262
Démographie
Gentilé Nicolaïtes
Population
municipale
424 hab. (2021 en évolution de +6,27 % par rapport à 2015)
Densité 90 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 08′ 15″ nord, 0° 45′ 51″ est
Altitude Min. 45 m
Max. 73 m
Superficie 4,72 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Agen
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton du Sud-Est agenais
Législatives Première circonscription
Localisation
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Saint-Nicolas-de-la-Balerme
Liens
Site web http://www.saint-nicolas-de-la-balerme.fr

Saint-Nicolas-de-la-Balerme est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de Lot-et-Garonne (région Nouvelle-Aquitaine).

Géographie

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Localisation

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Commune de l'aire d'attraction d'Agen située dans son agglomération en Brulhois au confluent de l'Auroue et de la Garonne.

Communes limitrophes

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Les communes limitrophes sont Saint-Romain-le-Noble, Caudecoste, Saint-Jean-de-Thurac et Saint-Sixte.

Communes limitrophes de Saint-Nicolas-de-la-Balerme[1]
Saint-Jean-de-Thurac Saint-Romain-le-Noble
Saint-Nicolas-de-la-Balerme Saint-Sixte
Caudecoste

Historiquement, la commune est exposée à un climat océanique aquitain[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Aquitaine, Gascogne, caractérisée par une pluviométrie abondante au printemps, modérée en automne, un faible ensoleillement au printemps, un été chaud (19,5 °C), des vents faibles, des brouillards fréquents en automne et en hiver et des orages fréquents en été (15 à 20 jours)[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 13,8 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,5 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 758 mm, avec 10,5 jours de précipitations en janvier et 6,4 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Valence à 10 km à vol d'oiseau[5], est de 14,3 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 747,3 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Au , Saint-Nicolas-de-la-Balerme est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[9]. Elle est située hors unité urbaine[10]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Agen, dont elle est une commune de la couronne[Note 1],[10]. Cette aire, qui regroupe 81 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[11],[12].

Occupation des sols

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Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (96,4 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (96,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (50,8 %), cultures permanentes (25,8 %), terres arables (19,8 %), eaux continentales[Note 2] (3,6 %), zones urbanisées (0,1 %)[13]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Voies de communication et transports

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Transports urbains

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Le réseau Tempo exploité par la société Keolis Agen dessert les 29 communes de l'agglomération d'Agen, soit un total de 92 042 habitants depuis le . Il remplace l'ancien réseau Transbus.

Risques majeurs

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Le territoire de la commune de Saint-Nicolas-de-la-Balerme est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à deux risques technologiques, le transport de matières dangereuses et le risque nucléaire[14]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[15].

Risques naturels

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La commune fait partie du territoire à risques importants d'inondation (TRI) d’Agen, regroupant 20 communes concernées par un risque de débordement de la Garonne, un des 18 TRI qui ont été arrêtés fin 2012 sur le bassin Adour-Garonne[16]. Les événements antérieurs à 2014 les plus significatifs sont les crues de 1435, 1875, 1930, 1712, 1770 et 1952. Des cartes des surfaces inondables ont été établies pour trois scénarios : fréquent (crue de temps de retour de 10 ans à 30 ans), moyen (temps de retour de 100 ans à 300 ans) et extrême (temps de retour de l'ordre de 1 000 ans, qui met en défaut tout système de protection)[17]. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1993, 1999 et 2009[18],[14].

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[19].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Saint-Nicolas-de-la-Balerme.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[20]. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (91,8 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 2]. Depuis le , en application de la loi ELAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 3],[21].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2011 et par des mouvements de terrain en 1999[14].

Risque technologique

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La commune étant située dans le périmètre du plan particulier d'intervention (PPI) de 20 km autour de la centrale nucléaire de Golfech, elle est exposée au risque nucléaire. En cas d'accident nucléaire, une alerte est donnée par différents médias (sirène, sms, radio, véhicules). Dès l'alerte, les personnes habitant dans le périmètre de 2 km se mettent à l'abri[Note 4]. Les personnes habitant dans le périmètre de 20 km peuvent être amenées, sur ordre du préfet, à évacuer et ingérer des comprimés d’iode stable[Note 5],[22],[23].

Différentes légendes se rapportent à l'étymologie de la ville. Dans l'une d'elles, l’empereur Constantin convertit des Celtes, qui abandonnent le paganisme pour la religion chrétienne.

Les Celtes adoraient plusieurs dieux ou déesses, dont une "Belisma", que l’on pourrait comparer à Minerve (dont le culte fut introduit à Rome par les Étrusques).

Le lieu où les Celtes vouaient un culte farouche à Belisma se situait à Saint-Nicolas. L’église chrétienne préféra substituer en douceur le nouveau culte à l’ancien, plutôt que de le faire disparaître brutalement.

Ainsi, "saint Niedas", qui devait devenir par la suite saint Nicolas, subsistait avec "Belisma". Au fil des ans, Saint-Nicolas-de-Belisma devint Saint-Nicolas-de-la-Balerme.

Selon la version de l’abbé Dubourg, auteur de nombreux ouvrages sur l’histoire du département, Saint-Nicolas devrait son nom à saint Niedas (un saint italien), que les bateliers, nombreux à cette époque, auraient pris pour patron et à un ermitage qui aurait existé en des temps forts reculés sur les rives de la rivière l’Auroue, peu avant sa jonction avec la Garonne. Cet ermitage aurait disparu par la suite, emporté sans doute par une de ces crues dont la Garonne était coutumière. L’endroit serait devenu le Val des Ermites, et par déformation successives "Valerme". Comme le V occitan se prononce B, nous avons donc : Saint-Nicolas-de-la-Balerme.

Notons toutefois que la première explication semble plus plausible (de Belisma à Balerme), car le nom "Balerme" se retrouve dans le nord du département, et notamment à Monpezat-d’Agenais où on trouve l’église Saint-Jean de Balerme.

Le village a changé plusieurs fois de nom :

-En 1621, nous trouvons "La Balerme-sur-Garonne".

-En 1689, il devient "Saint-Nicolas-de-Lamothe-Mongascon", nom qu’il gardera jusqu’en 1725, date à laquelle il prendra définitivement celui de "Saint-Nicolas-de-la-Balerme".

XXe siècle

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Inondations de 1977 en Gascogne.

Politique et administration

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
juin 1995 2018 Espérance Julien   Secrétaire comptable
2018 En cours Jean-Marie Robert    

Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1800. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[24]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[25].

En 2021, la commune comptait 424 habitants[Note 6], en évolution de +6,27 % par rapport à 2015 (Lot-et-Garonne : −0,66 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851 1856
551566616651657605603594511
1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
454435417416448431416360312
1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
321307299302286294298323333
1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016 2021
333325324365354401391406424
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[26] puis Insee à partir de 2006[27].)
Histogramme de l'évolution démographique

Lieux et monuments

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L'église de Saint-Nicolas-de-la-Balerme

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Reconstruite vers la fin du XVIe siècle (car détruite par les guerres de religion), elle est un mélange d’art roman et gothique, sans grand caractère. Elle abrite une statue en bois de saint Roch, devenu entre-temps le saint patron de la paroisse et réalisée par un artisan local dans le courant du XVe (statue classée). L’église, qui possédait une cloche datée de 1763, est enrichie d’une seconde cloche en 1861 (dite « grosse cloche »).

Le château Saint-Philip

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Datant du XVe siècle, construit sur le modèle des castels gascons, avec corps de logis et pavillon coiffé d’un toit pointu, il a été modernisé et agrandi avant la Première Guerre mondiale. Le toit du pavillon remplacé par une terrasse et un second pavillon, également avec terrasse, a été ajouté pour donner plus de symétrie. Cet ensemble de fort belle allure occupe une situation privilégiée et non inondable sur la rive gauche de la Garonne.

Il appartenait à la famille de Dampierre. On en trouve une trace dans les archives nationales en ces termes: "Aymar de Dampierre fut mêlé à l'expédition de Marie-Caroline, duchesse de Berry (1798-1870), en 1832-1833. Débarquée en Provence en et déçue par l'échec de sa tentative de soulèvement des villes du Midi de la France, la duchesse voulut, en dépit de tous les avis contraires, gagner la Vendée. Les Dampierre se partageant entre leurs châteaux de Plassac (Charente-Maritime), du Vignau-en-Marsan (Landes) et du Saumon-en-Gascogne (Lot-et-Garonne), Marie-Caroline de Berry se rendit d'abord au Saumon, mais constatant l'absence des Dampierre, elle se rendit au château de Saint-Philip, à Saint-Nicolas de La Balerme (Lot-et-Garonne), chez Guy de Dampierre (1773-1862), cousin du marquis Aymar, afin de savoir où joindre ce dernier" (http://www.archivesnationales.culture.gouv.fr/chan/chan/pdf/ap/289AP/d0e105.html ).

Acheté à la famille de Dampierre dans les années 1960 par Rose et Pierre Gardeil après leur succès à L'Auberge des Bouviers à Lectoure, il devient alors un château-hôtel-restaurant réputé, célèbre notamment pour son canard à l'orange et son canard aux pêches. Fermé durant quelques années, il a été racheté en 2006 et rouvert en par Nadine Laroque.

Personnalités liées à la commune

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Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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Notes et cartes

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  • Notes
  1. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  2. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  3. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
    • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
    • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
    • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
  4. Le périmètre de 2 km correspond au périmètre de mise à l'abri réflexe. Alertés par les sirènes et/ou par un appel automatique sur le téléphone du domicile, les habitants concernés doivent se mettre à l’abri dès l’alerte et suivre les consignes.
  5. Les comprimés d’iode stable protègent efficacement la thyroïde contre les effets des rejets d’iode radioactif qui pourraient survenir en cas d’accident nucléaire.
  6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références

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  1. Carte IGN sous Géoportail
  2. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  4. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  5. « Orthodromie entre Saint-Nicolas-de-la-Balerme et Valence », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Valence » (commune de Valence) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Valence » (commune de Valence) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  9. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  10. a et b Insee, « Métadonnées de la commune de Saint-Nicolas-de-la-Balerme ».
  11. « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Agen », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  13. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  14. a b et c « Les risques près de chez moi - commune de Saint-Nicolas-de-la-Balerme », sur Géorisques (consulté le ).
  15. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  16. « Liste des territoires à risque important d'inondation (TRI) de 2012 sur le bassin Adour-Garonne »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  17. « Cartographie des risques d'inondations du TRI d’Agen », sur nouvelle-aquitaine.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  18. « Dossier départemental des risques majeurs de Lot-et-Garonne », sur lot-et-garonne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
  19. « Dossier départemental des risques majeurs de Lot-et-Garonne », sur lot-et-garonne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
  20. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  21. « Sols argileux, sécheresse et construction », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
  22. « Plan Particulier d'Intervention du CNPE de Golfech - plaquette de présentation. »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur edf.fr (consulté le ).
  23. « Dossier départemental des risques majeurs de Lot-et-Garonne », sur lot-et-garonne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque nucléaire.
  24. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  25. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  26. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  27. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.