Saint-Pierre-Toirac

Saint-Pierre-Toirac
Saint-Pierre-Toirac
L'église Saint-Pierre.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Occitanie
Département Lot
Arrondissement Figeac
Intercommunalité Communauté de communes Grand-Figeac
Maire
Mandat
Fernand Tapie
2020-2026
Code postal 46160
Code commune 46289
Démographie
Gentilé Toiracois
Population
municipale
162 hab. (2021 en évolution de +12,5 % par rapport à 2015)
Densité 28 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 31′ 42″ nord, 1° 57′ 17″ est
Altitude Min. 153 m
Max. 375 m
Superficie 5,83 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Figeac
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Causse et Vallées
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Liens
Site web http://www.st-pierre-toirac.com/

Saint-Pierre-Toirac est une commune française, située dans l'est du département du Lot en région Occitanie.
Elle est également dans le causse de Cajarc, le plus petit des quatre causses du Quercy, enserré dans les méandres du Lot et du Célé.

Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par le Lot, le ruisseau des Encastrades et par un autre cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable composé de trois zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.

Saint-Pierre-Toirac est une commune rurale qui compte 162 habitants en 2021, après avoir connu un pic de population de 504 habitants en 1806. Elle fait partie de l'aire d'attraction de Figeac. Ses habitants sont appelés les Toiracois ou Toiracoises.

Géographie

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Commune du Quercy située sur l'ancienne route nationale 662 entre Larroque-Toirac et Frontenac.

Communes limitrophes

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La commune est limitrophe du département de l'Aveyron.

Communes limitrophes de Saint-Pierre-Toirac[1]
Béduer Faycelles
Carayac Saint-Pierre-Toirac[1] Frontenac
Larroque-Toirac Balaguier-d'Olt
(Aveyron)

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique altéré, selon une étude s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est dans une zone de transition entre le climat océanique altéré et le climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Ouest et nord-ouest du Massif Central, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 900 à 1 500 mm, maximale en automne et en hiver[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12,7 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,5 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 952 mm, avec 11,1 jours de précipitations en janvier et 6,3 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Faycelles à 5 km à vol d'oiseau[4], est de 13,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 806,2 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Milieux naturels et biodiversité

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L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Deux ZNIEFF de type 1[Note 1] sont recensées sur la commune[8] : le « cours moyen du Lot » (1 543 ha), couvrant 33 communes dont huit dans l'Aveyron et 25 dans le Lot[9] et le « puech boisé de Pierre Grosse » (401 ha), couvrant 4 communes du département[10]et une ZNIEFF de type 2[Note 2],[8] : la « Moyenne vallée du Lot » (7 893 ha), couvrant 36 communes dont huit dans l'Aveyron et 28 dans le Lot[11].

Au , Saint-Pierre-Toirac est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[I 1]. Elle est située hors unité urbaine[I 2]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Figeac, dont elle est une commune de la couronne[Note 3],[I 2]. Cette aire, qui regroupe 59 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[I 3],[I 4].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (66,5 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (66,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (66,5 %), zones agricoles hétérogènes (16,1 %), prairies (14,8 %), eaux continentales[Note 4] (2,6 %)[12]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs

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Le territoire de la commune de Saint-Pierre-Toirac est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque technologique, la rupture d'un barrage[13]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[14].

Risques naturels

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Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment le Lot. La cartographie des zones inondables en ex-Midi-Pyrénées réalisée dans le cadre du XIe Contrat de plan État-région, visant à informer les citoyens et les décideurs sur le risque d’inondation, est accessible sur le site de la DREAL Occitanie[15]. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1988, 1999 et 2003[16],[13].

Saint-Pierre-Toirac est exposée au risque de feu de forêt. Un plan départemental de protection des forêts contre les incendies a été approuvé par arrêté préfectoral le pour la période 2015-2025. Les propriétaires doivent ainsi couper les broussailles, les arbustes et les branches basses sur une profondeur de 50 mètres, aux abords des constructions, chantiers, travaux et installations de toute nature, situées à moins de 200 mètres de terrains en nature de bois, forêts, plantations, reboisements, landes ou friches. Le brûlage des déchets issus de l’entretien des parcs et jardins des ménages et des collectivités est interdit. L’écobuage est également interdit, ainsi que les feux de type méchouis et barbecues, à l’exception de ceux prévus dans des installations fixes (non situées sous couvert d'arbres) constituant une dépendance d'habitation[17].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Saint-Pierre-Toirac.

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des affaissements et effondrements liés aux cavités souterraines (hors mines), des éboulements, chutes de pierres et de blocs et des glissements de terrain[18]. Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[19].

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 79,8 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (67,7 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 137 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 135 sont en aléa moyen ou fort, soit 99 %, à comparer aux 72 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[20],[Carte 2].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[19].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[13].

Risques technologiques

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La commune est en outre située en aval des barrages de Grandval et de Sarrans, des ouvrages de classe A[Note 5] disposant d'une retenue de respectivement 270,6 millions[22] et 296 millions de mètres cubes[23],. À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture d'un de ces ouvrages[24].

Le toponyme Saint-Pierre-Toirac, en occitan Sent Peire Toirac, est basé sur l'hagiotoponyme chrétien qui fait référence à l'apôtre Pierre ou à un autre Saint Pierre. Toirac a pour origine un anthroponyme : Turturius. La terminaison -ac est issue du suffixe gaulois -acon (lui-même du celtique commun *-āko-), souvent latinisé en -acum dans les textes. Toirac désignait donc le domaine de Turturius[25].

Saint-Pierre-Toirac est le lieu d'un ancien prieuré bénédictin de la vallée du Lot. On ne connaît pas très bien l'origine de ce prieuré. Il aurait été donné par l'évêque de Rodez à l'abbaye Saint-Sauveur de Figeac en 889[26]. Il apparaît comme dépendance de Saint-Sauveur dans une bulle de 1146.

Politique et administration

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
mars 2014 En cours Fernand Tapie    
mars 2008 2014 Anne-Marie Brehault    
mars 2001 2008 Philippe Uguen    
avant 1995 ? Jean Fabriol    
avant 1981 ? Roger Durand DVG  
1912 1929 Théophile Larnaudie (1865-1929)[29] radical socialiste conseiller général du canton de Cajarc
Les données manquantes sont à compléter.

Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[30]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[31].

En 2021, la commune comptait 162 habitants[Note 6], en évolution de +12,5 % par rapport à 2015 (Lot : +0,89 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
429500504454398428418392408
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
388397394360340353358348315
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
287307295221228221184194188
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
170171160155145121138143142
2018 2021 - - - - - - -
158162-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[32] puis Insee à partir de 2006[33].)
Histogramme de l'évolution démographique

En 2018, la commune compte 72 ménages fiscaux[Note 7], regroupant 151 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 20 260 [I 5] (20 740  dans le département[I 6]).

Taux de chômage
2008 2013 2018
Commune[I 7] 7,9 % 8,7 % 12,2 %
Département[I 8] 7,3 % 8,9 % 9,6 %
France entière[I 9] 8,3 % 10 % 10 %

En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 90 personnes, parmi lesquelles on compte 77,8 % d'actifs (65,6 % ayant un emploi et 12,2 % de chômeurs) et 22,2 % d'inactifs[Note 8],[I 7]. En 2018, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est supérieur à celui de la France et du département, alors qu'il était inférieur à celui de la France en 2008.

La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Figeac, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 3],[I 10]. Elle compte 20 emplois en 2018, contre 21 en 2013 et 15 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 60, soit un indicateur de concentration d'emploi de 33,5 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 50,4 %[I 11].

Sur ces 60 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 16 travaillent dans la commune, soit 27 % des habitants[I 12]. Pour se rendre au travail, 80 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 1,7 % les transports en commun, 1,7 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 16,7 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 13].

Activités hors agriculture

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14 établissements[Note 9] sont implantés à Saint-Pierre-Toirac au [I 14]. Le secteur du commerce de gros et de détail, des transports, de l'hébergement et de la restauration est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 57,1 % du nombre total d'établissements de la commune (8 sur les 14 entreprises implantées à Saint-Pierre-Toirac), contre 29,9 % au niveau départemental[I 15].

Agriculture

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1988 2000 2010 2020
Exploitations 9 4 2 3
SAU[Note 10] (ha) 87 72 70 86

La commune est dans la vallée du Lot », une petite région agricole s'étendant d'est en ouest et de part et d'autre du cours du Lot, particulièrement réputée pour ses vignes, celles du vignoble de Cahors plus précisément[34]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 11] sur la commune est la polyculture et/ou le polyélevage[Carte 4]. Trois exploitations agricoles ayant leur siège dans la commune sont dénombrées lors du recensement agricole de 2020[Note 12] (neuf en 1988). La superficie agricole utilisée est de 86 ha[36],[Carte 5],[Carte 6].

Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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Chapiteaux de l'église Saint-Pierre

L'église Saint-Pierre date du XIIe siècle[37],[38],[39]. L'édifice a été classé au titre des monuments historiques en 1903[40]. Plusieurs objets sont référencés dans la base Palissy[40].

C'est pendant la guerre de Cent Ans que l'église va prendre un aspect militaire avec l'élévation d'une tour au-dessus de l'absidiole nord. Le , le prieur, Bertrand de Ruppe, et les consuls de la ville donnent le marché de surélévation des murs sur tout le pourtour de l'édifice, de construction de créneaux et de couverture de l'ensemble à deux charpentiers de Figeac. La nef est rallongée en 1827[26]. L'église Saint-Pierre contient des chapiteaux ornés.

  • Dolmen des Cazelles Longues.
  • Dolmen de Pierre Grosse.

Personnalités liées à la commune

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Notes et références

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Notes et cartes

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  • Notes
  1. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
  2. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  5. Le classement des barrages est fonction de deux paramètres : hauteur et volume retenu[21].
  6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  7. Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
  8. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
  9. L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
  10. Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
  11. L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
  12. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[35].
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).
  3. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
  4. « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  5. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  6. « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

Références

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Site de l'Insee

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  1. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  2. a et b Insee, « Métadonnées de la commune de Saint-Pierre-Toirac ».
  3. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Figeac », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  4. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  5. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Saint-Pierre-Toirac » (consulté le ).
  6. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans le Lot » (consulté le ).
  7. a et b « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Saint-Pierre-Toirac » (consulté le ).
  8. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans le Lot » (consulté le ).
  9. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
  10. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
  11. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Saint-Pierre-Toirac » (consulté le ).
  12. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
  13. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
  14. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Saint-Pierre-Toirac » (consulté le ).
  15. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans le Lot » (consulté le ).

Autres sources

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  1. Carte IGN sous Géoportail
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  4. « Orthodromie entre Saint-Pierre-Toirac et Faycelles », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Faycelles » (commune de Faycelles) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Faycelles » (commune de Faycelles) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  8. a et b « Liste des ZNIEFF de la commune de Saint-Pierre-Toirac », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  9. « ZNIEFF le « cours moyen du Lot » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  10. « ZNIEFF le « puech boisé de Pierre Grosse » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  11. « ZNIEFF la « Moyenne vallée du Lot » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  12. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  13. a b et c « Les risques près de chez moi - commune de Saint-Pierre-Toirac », sur Géorisques (consulté le ).
  14. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  15. DREAL Occitanie, « CIZI », sur occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  16. « Dossier départemental des risques majeurs dans le Lot », sur lot.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Risque inondation.
  17. « Dossier départemental des risques majeurs dans le Lot », sur lot.gouv.fr (consulté le ).
  18. « Dossier départemental des risques majeurs dans le Lot », sur lot.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
  19. a et b « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Saint-Pierre-Toirac », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
  20. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  21. Article R214-112 du code de l’environnement
  22. « barrage de Grandval », sur barrages-cfbr.eu (consulté le ).
  23. « barrage de Sarrans », sur barrages-cfbr.eu (consulté le ).
  24. « Dossier départemental des risques majeurs dans le Lot », sur lot.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque rupture de barrage.
  25. Gaston Bazalgues, À la découverte des noms de lieux du Quercy : Toponymie lotoise, Gourdon, Éditions de la Bouriane et du Quercy, , 127 p. (ISBN 2-910540-16-2), p. 123.
  26. a et b Lot - L'art et la nature de ses 340 communes, Michel de la Torre, Nathan, 1985
  27. « Mort du docteur Larnaudie », Journal du Lot, no 123 (69e année),‎ (lire en ligne [PDF], consulté le )
  28. a et b Maurice Bézagu, « Le vernissage Edmée Larnaudie », Journal du Lot, no 55 (81e année),‎ (lire en ligne [PDF], consulté le )
  29. Théophile Larnaudie (1865-1929)[27], Docteur en médecine, Vice-Président du Conseil général, père de l'artiste quercynoise Edmée Larnaudie[28]
  30. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  31. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  32. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  33. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  34. « Les régions agricoles (RA), petites régions agricoles(PRA) - Année de référence : 2017 », sur agreste.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  35. Présentation des premiers résultats du recensement agricole 2020, Ministère de l’agriculture et de l’alimentation, 10 décembre 2021
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  37. Jean-Claude Fau - L'Église de Saint-Pierre-Toirac - p. 467-479, dans Congrès archéologique de France. 147e session. Quercy. 1989 - Société française d'archéologie - Paris - 1993
  38. Marguerite Vidal, Jean Maury et Jean Porcher, Quercy roman, La Pierre-qui-vire, Éditions Zodiaque, coll. « La nuit des temps » (no 10), , 3e éd. (1re éd. 1959), 336 p. (ISBN 2-7369-0143-6, ISSN 0768-0937, OCLC 489892065, SUDOC 011528664), p. 29.
  39. Patrimoine archéologique du Lot : Saint-Pierre-Toirac, à la redécouverte d'une église romane
  40. a et b « Eglise », sur pop.culture.gouv.fr (consulté le ).

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Articles connexes

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