Saint-Porquier | |||||
Le bourg de Saint-Porquier. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Occitanie | ||||
Département | Tarn-et-Garonne | ||||
Arrondissement | Montauban | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Terres des confluences | ||||
Maire Mandat |
Xavier Prevedello 2020-2026 |
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Code postal | 82700 | ||||
Code commune | 82171 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Saint-Porquiérains | ||||
Population municipale |
1 362 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 87 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 44° 00′ 20″ nord, 1° 10′ 41″ est | ||||
Altitude | Min. 73 m Max. 101 m |
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Superficie | 15,7 km2 | ||||
Type | Commune rurale à habitat dispersé | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Montauban (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Beaumont-de-Lomagne | ||||
Législatives | Deuxième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
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Géolocalisation sur la carte : Tarn-et-Garonne
Géolocalisation sur la carte : Occitanie (région administrative)
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Saint-Porquier, connu sous la Révolution sous le nom de Mont-Porquier[1], est une commune française située dans le centre du département de Tarn-et-Garonne, en région Occitanie. Sur le plan historique et culturel, la commune est dans le Pays Montalbanais, correspondant à la partie méridionale du Quercy.
Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par le canal latéral à la Garonne, la Garonne, le ruisseau de Larone, le ruisseau de Rafié, le ruisseau de Sanguinenc et par divers autres petits cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable : deux sites Natura 2000 (« Garonne, Ariège, Hers, Salat, Pique et Neste » et la « vallée de la Garonne de Muret à Moissac »), deux espaces protégés (le « bras mort de Cordes-Tolosannes » et le « cours de la Garonne, de l'Aveyron, du Viaur et du Tarn ») et trois zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.
Saint-Porquier est une commune rurale qui compte 1 362 habitants en 2021, après avoir connu une forte hausse de la population depuis 1975. Elle fait partie de l'aire d'attraction de Montauban. Ses habitants sont appelés les Saint-Porquiérains ou Saint-Porquiéraines.
La commune est située en Bas-Montauban sur l'ancienne route nationale 113, entre Grisolles et Castelsarrasin.
Saint-Porquier est limitrophe de quatre autres communes. Les communes limitrophes sont Castelsarrasin, Cordes-Tolosannes, Escatalens et La Ville-Dieu-du-Temple.
La superficie de la commune est de 1 570 hectares ; son altitude varie de 73 à 101 mètres[3].
La commune est dans le bassin versant de la Garonne, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne[4]. Elle est drainée par la Garonne, le ruisseau de Larone, le ruisseau de Rafié, le ruisseau de Sanguinenc, le ruisseau de Brouzidou, le ruisseau de la Forêt, le ruisseau de Majoureau, le ruisseau des Parcs et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 30 km de longueur totale[5],[Carte 1].
La Garonne est un fleuve principalement français prenant sa source en Espagne et qui coule sur 529 km avant de se jeter dans l’océan Atlantique[6].
Le ruisseau de Larone, d'une longueur totale de 23,6 km, prend sa source dans la commune de Montech et s'écoule du sud-est vers le nord-ouest. Il traverse la commune et se jette dans le Tarn à Castelsarrasin, après avoir traversé 8 communes[7].
En 2010, le climat de la commune est de type climat du Bassin du Sud-Ouest, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[8]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Aquitaine, Gascogne, caractérisée par une pluviométrie abondante au printemps, modérée en automne, un faible ensoleillement au printemps, un été chaud (19,5 °C), des vents faibles, des brouillards fréquents en automne et en hiver et des orages fréquents en été (15 à 20 jours)[9].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 13,4 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,7 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 744 mm, avec 9,4 jours de précipitations en janvier et 5,8 jours en juillet[8]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Castelsarrasin », sur la commune de Castelsarrasin à 7 km à vol d'oiseau[10], est de 13,6 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 698,6 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 43,1 °C, atteinte le ; la température minimale est de −13,8 °C, atteinte le [Note 1],[11],[12].
Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[13]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[14].
La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[15],[16].
Deux espaces protégés sont présents sur la commune :
Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 2]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la directive habitats[20] :
et un au titre de la directive oiseaux[20] :
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Deux ZNIEFF de type 1[Note 3] sont recensées sur la commune[23] : la « forêt d'Agre et d'Escatalens, bois de la Moutette, de la Barraque et de Fromissard » (671 ha), couvrant 6 communes du département[24], et « la Garonne de Montréjeau jusqu'à Lamagistère » (5 075 ha), couvrant 92 communes dont 63 dans la Haute-Garonne, trois dans le Lot-et-Garonne et 26 dans le Tarn-et-Garonne[25] et une ZNIEFF de type 2[Note 4],[23] : « la Garonne et milieux riverains, en aval de Montréjeau » (6 874 ha), couvrant 93 communes dont 64 dans la Haute-Garonne, trois dans le Lot-et-Garonne et 26 dans le Tarn-et-Garonne[26].
Au , Saint-Porquier est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[I 1]. Elle est située hors unité urbaine[I 2]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Montauban, dont elle est une commune de la couronne[Note 5],[I 2]. Cette aire, qui regroupe 50 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[I 3],[I 4].
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (77,9 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (81,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (66 %), forêts (11,6 %), zones agricoles hétérogènes (11,5 %), zones urbanisées (6,4 %), eaux continentales[Note 6] (2,5 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (1,7 %), prairies (0,4 %)[27]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].
Accès par la SNCF en gare de Castelsarrasin, par l'autoroute A62 et les ancienne route nationale 113 et route nationale 123.
Le territoire de la commune de Saint-Porquier est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[28]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[29].
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment la Garonne, le canal latéral à la Garonne, le ruisseau de Rafié et le ruisseau de Larone. La cartographie des zones inondables en ex-Midi-Pyrénées réalisée dans le cadre du XIe Contrat de plan État-région, visant à informer les citoyens et les décideurs sur le risque d’inondation, est accessible sur le site de la DREAL Occitanie[30]. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1996, 1999, 2000 et 2006[31],[28].
Saint-Porquier est exposée au risque de feu de forêt. Le département de Tarn-et-Garonne présentant toutefois globalement un niveau d’aléa moyen à faible très localisé, aucun Plan départemental de protection des forêts contre les risques d’incendie de forêt (PFCIF) n'a été élaboré. Le débroussaillement aux abords des maisons constitue l’une des meilleures protections pour les particuliers contre le feu[Note 7],[32].
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[33].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (92 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 526 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 526 sont en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 96 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[34],[Carte 3].
Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[35].
Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 1991, 1992, 1998, 2002, 2003 et 2011 et par des mouvements de terrain en 1999[28].
Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est susceptible d’avoir des effets graves sur les biens, les personnes ou l'environnement, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[36].
Durant la Révolution, la commune porte le nom de Mont-Porquier[37].
Ses habitants sont appelés les Saint-Porquiérains[38].
Le village de Saint-Porquier était muré en 1359, quand, de concert avec les bourgeois d'Escatalens et les moines gardiens du château abbatial, Jean Ayméric, chef des routiers de Cordes, pilla les maisons bâties en dehors des fossés de la place[39].
Le , le village a été concerné par un violent orage, causant la fermeture du canal du Midi pendant près de deux semaines, sur 7 km entre Montech et Saint-Porquier.
Le nombre d'habitants au recensement de 2011 étant compris entre 500 et 1 499 habitants, le nombre de membres du conseil municipal pour l'élection de 2014 est de quinze[40],[41].
La commune fait partie de la deuxième circonscription de Tarn-et-Garonne de la communauté de communes Terres des Confluences et du canton de Beaumont-de-Lomagne (avant le redécoupage départemental de 2014, Saint-Porquier faisait partie du canton de Montech) et avant le elle faisait partie de la communauté de communes des Terrasses et Plaines des deux cantons.
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[42]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[43].
En 2021, la commune comptait 1 362 habitants[Note 8], en évolution de −3,4 % par rapport à 2015 (Tarn-et-Garonne : +3,17 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
selon la population municipale des années : | 1968[45] | 1975[45] | 1982[45] | 1990[45] | 1999[45] | 2006[46] | 2009[47] | 2013[48] |
Rang de la commune dans le département | 33 | 41 | 37 | 39 | 40 | 32 | 35 | 34 |
Nombre de communes du département | 195 | 195 | 195 | 195 | 195 | 195 | 195 | 195 |
En 2018, la commune compte 514 ménages fiscaux[Note 9], regroupant 1 328 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 20 010 €[I 5] (20 140 € dans le département[I 6]).
2008 | 2013 | 2018 | |
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Commune[I 7] | 6,4 % | 7,1 % | 11,8 % |
Département[I 8] | 8,4 % | 10,2 % | 10,3 % |
France entière[I 9] | 8,3 % | 10 % | 10 % |
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 879 personnes, parmi lesquelles on compte 74,2 % d'actifs (62,3 % ayant un emploi et 11,8 % de chômeurs) et 25,8 % d'inactifs[Note 10],[I 7]. En 2018, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est supérieur à celui du département et de la France, alors qu'en 2008 la situation était inverse.
La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Montauban, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 4],[I 10]. Elle compte 161 emplois en 2018, contre 144 en 2013 et 157 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 562, soit un indicateur de concentration d'emploi de 28,6 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 60,7 %[I 11].
Sur ces 562 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 91 travaillent dans la commune, soit 16 % des habitants[I 12]. Pour se rendre au travail, 91,8 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 0,9 % les transports en commun, 2,8 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 4,5 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 13].
82 établissements[Note 11] sont implantés à Saint-Porquier au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 12],[I 14].
Secteur d'activité | Commune | Département | |
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Nombre | % | % | |
Ensemble | 82 | 100 % | (100 %) |
Industrie manufacturière, industries extractives et autres |
6 | 7,3 % | (9,6 %) |
Construction | 19 | 23,2 % | (14,9 %) |
Commerce de gros et de détail, transports, hébergement et restauration |
21 | 25,6 % | (29,7 %) |
Information et communication | 3 | 3,7 % | (1,9 %) |
Activités financières et d'assurance | 3 | 3,7 % | (3,4 %) |
Activités immobilières | 1 | 1,2 % | (3,3 %) |
Activités spécialisées, scientifiques et techniques et activités de services administratifs et de soutien |
14 | 17,1 % | (14,1 %) |
Administration publique, enseignement, santé humaine et action sociale |
6 | 7,3 % | (13,6 %) |
Autres activités de services | 9 | 11 % | (9,3 %) |
Le secteur du commerce de gros et de détail, des transports, de l'hébergement et de la restauration est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 25,6 % du nombre total d'établissements de la commune (21 sur les 82 entreprises implantées à Saint-Porquier), contre 29,7 % au niveau départemental[I 15].
Les cinq entreprises ayant leur siège social sur le territoire communal qui génèrent le plus de chiffre d'affaires en 2020 sont[49] :
Viticulture : Lavilledieu (IGP).
La commune est dans les « Vallées et Terrasses », une petite région agricole occupant le centre et une bande d'est en ouest du département de Tarn-et-Garonne[50]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 13] sur la commune est la polyculture et/ou le polyélevage[Carte 5].
1988 | 2000 | 2010 | 2020 | |
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Exploitations | 61 | 35 | 30 | 18 |
SAU[Note 14] (ha) | 853 | 667 | 872 | 648 |
Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 61 lors du recensement agricole de 1988[Note 15] à 35 en 2000 puis à 30 en 2010[52] et enfin à 18 en 2020[Carte 6], soit une baisse de 70 % en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 57 % de ses exploitations[53],[Carte 7]. La surface agricole utilisée sur la commune a également diminué, passant de 853 ha en 1988 à 648 ha en 2020[Carte 8]. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 14 à 36 ha[52].
Saint-Porquier fait partie de l'académie de Toulouse.
Blason | D'argent au chêne terrassé de sinople, à la laie accompagnée de deux marcassins, de sable, contournés et brochant sur le tout[55]. |
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Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |