Saint-Quentin-en-Tourmont est un village balnéaire et touristique située au sein de la région naturelle du Marquenterre et du Ponthieu. Elle est située à 5,6 km à l'ouest de Rue[3], à 26 km au nord-ouest d'Abbeville[4] et à 66,2 km au nord-ouest d'Amiens[5] à vol d'oiseau.
Le territoire de la commune est limitrophe de ceux de trois communes:
Les limites communales de Saint-Quentin-en-Tourmont et celles de ses communes adjacentes.
Entre le village et la mer s'élèvent des collines de sable : les dunes. Les monts séparés s'appellent les « crocs »[6] mot parfois écrit " les crocqs ", dérivé du flamand " crinc " = " obstacle ".
La commune est située dans le bassin Artois-Picardie. Elle est drainée par le canal du Marquenterre, la Course de froise[7], la Course du village[8], le Bout des Crocs[9], le canal du marquenterre[10], le canal jeanson[11] et divers autres petits cours d'eau[Carte 1].
La Maye, d'une longueur de 38 km, prend sa source dans la commune de Fontaine-sur-Maye,à l'altitude de 40 mètres, et se jette dans la baie de Somme en limite des communes de sur la commune et du Crotoy, après avoir traversé dix communes[12]. Les caractéristiques hydrologiques de la Maye sont données par la station hydrologique située sur la commune. Le débit moyen mensuel est de 1,01 m3/s[Note 1]. Le débit moyen journalier maximum est de 5,17 m3/s, atteint lors de la crue du . Le débit instantané maximal est quant à lui de 7,3 m3/s, atteint le [13].
Le canal du Marquenterre, d'une longueur de 11 km, prend sa source dans la commune de Quend et se jette dans le canal de la Maye au niveau du port de plaisance du Crotoy, après avoir traversé quatre communes[14].
La Maye.
Réseau hydrographique de Saint-Quentin-en-Tourmont.
Deux plans d'eau complètent le réseau hydrographique : la mare Blanche (0,4 ha) et Trou Noyé (0 ha)[Carte 1],[15].
Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Somme aval et Cours d'eau côtiers ». Ce document de planification concerne un territoire de 1 835 km2 de superficie, délimité par le bassin versant de la Somme canalisée. Le périmètre a été arrêté le et le SAGE proprement dit a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est le syndicat mixte d'aménagement hydraulique du bassin versant de la Somme (AMEVA)[16].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 793 mm, avec 12,5 jours de précipitations en janvier et 8,1 jours en juillet[17]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Cayeux-sur-Mer à 13 km à vol d'oiseau[19], est de 11,4 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 761,1 mm[20],[21]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[22].
Au , Saint-Quentin-en-Tourmont est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[23].
Elle est située hors unité urbaine[I 1] et hors attraction des villes[24],[25].
La commune, bordée par la Manche, est également une commune littorale au sens de la loi du , dite loi littoral[26]. Des dispositions spécifiques d'urbanisme s'y appliquent dès lors afin de préserver les espaces naturels, les sites, les paysages et l'équilibre écologique du littoral, comme par exemple le principe d'inconstructibilité, en dehors des espaces urbanisés, sur la bande littorale des 100 mètres, ou plus si le plan local d'urbanisme le prévoit[27].
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnéeseuropéenne d'occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (57,8 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (57,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante :
forêts (30,6 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (23,6 %), terres arables (18,1 %), prairies (13,9 %), zones humides intérieures (4,2 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (3,7 %), zones agricoles hétérogènes (3,2 %), eaux maritimes (2,2 %), zones humides côtières (0,6 %)[28]. L'évolution de l'occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].
Pendant les années 1960, le territoire communal s'est vu augmenter de 200 hectares par la poldérisation d'une partie de la baie de Somme à l'initiative d'un grand propriétaire foncier[29],[30]. Le conservatoire du littoral a acquis 180 ha de cette renclôture sur le domaine public maritime en 1986 pour environ 1 500 000 euros[31]. Le site est géré par le syndicat Mixte Baie de Somme Grand Littoral Picard.
Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Saint-Quentin-en-Tourmont en 2019 en comparaison avec celle de la Somme et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (38,3 %) supérieure à celle du département (8,3 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 70,6 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (66,4 % en 2014), contre 60,2 % pour la Somme et 57,5 pour la France entière[I 4].
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %)
38,3
8,3
9,7
Logements vacants (en %)
9,2
8,5
8,2
L'importance du parc de résidences secondaires de la commune rend difficile pour les jeunes locaux de se loger, ainsi que le note en 2022 le maire de la commune : « Les jeunes ne peuvent plus s'installer dans la région. Ils partent car les prix de l'immobilier deviennent beaucoup trop chers. La taxation des résidences secondaires ne peut être qu'un atout pour les communes[32] ».
La commune présente un risque de submersion marine[34].
Elle est également confrontée à l'érosion du littoral, aggravée par le réchauffement climatique et la pression humaine, et est soumise depuis 2022 à l'obligation de prendre des mesures pour lutter contre les conséquences du retrait du trait de côte, bien que la commune, qui compte 14 km de trait de côte, dispose de digues de sables de 80 mètres de largeur et 30 mètres de hauteur, qui protègent le village situé à 3 km de la mer. La commune est ainsi astreinte à faire réaliser des cartes du risque de recul du littoral à 30 ans (où les constructions nouvelles seront interdites, avec des exceptions pour l'extension de bâtiments existants ou l'installation de services publics et de nouvelles activités économiques nécessitant la «proximité immédiate» de la mer) et à 100 ans[35],[36].
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Le nom de la localité est attesté sous les formes Tauri mons juxta mare (986) ; S. Quintinus (1100) ; Horsmer (1190) ; Tormunt (1197) ; Tormont (1210) ; S. Quintinus de Tormont (1217) ; Tormont en Marquenterre (1251) ; Tourmont (1595) ; S. Quentin en Tourmond (1698) ; S. Quintin (1710) ; S. Quentin (1733) ; Tormont S. Quentin (1736) ; S. Quentin en Tourmont (1757) ; S. Quentin en Turmont (1764) ; S. Quentin près Quend (1766) ; S. Quentin en Tournemont (1771)[37].
Le village est désigné par les expressions latines Tauri mons juxta mare en 986[37] (« Mont Taurus au bord de la mer ») et Villa de Torto Monte en 1257[39] (« Montagne plate »).
Au IXe siècle, le village est plus près de la mer et a un port. La mer s'est retirée peu à peu et l'envahissement des sables a forcé le village à reculer[6].
En 1199, Guillaume III, comte du Ponthieu remet par lettre faite à Rue, la charte de commune du Marquenterre[40].
Lors du désastre que connait « l'Invincible Armada » en 1588 lors de la guerre anglo-espagnole de 1585-1604, un navire s'échoue dans la région des dunes de Saint-Quentin. Son épave rejoint celles d'autres embarcations de différentes époques dont le secteur est très parsemé[43].
Le curé indique en 1728 que le tiers de sa dîme est perdu par suite de l'invasion des champs par le sable[44].
En 1786, les habitants en sont déjà à leur troisième église et le village avait été chassé par les sables et reconstruit plus loin[44].
1791. La commune médiévale du Marquenterre, créée par une charte communale de 1190 est dissoute et donne naissance aux communes actuelles de Quend et de Saint-Quentin-en-Tourmont[45].
À la fin du XVIIIe siècle, un navire chargé de lingots d'or s'ensable et s'enfonce à la pointe de Saint-Quentin. Il disparaît sous plusieurs mètres de sable. Il y est encore[46].
Le , une baleine s'échoue à la pointe de Saint-Quentin. Plus de trente chariots, attelés chacun de quatre chevaux, emportent les morceaux découpés. On tire environ 4 000 litres d'huile de la graisse fondue[42].
Pour la défense côtière et le contrôle de l'entrée de la baie, côté nord, une batterie était installée à la pointe dite de Saint-Quentin-Vieille église (mentionnée sur les cartes d'époque[47]).
1849. Comme dans toutes les communes de France, la totalité de la population masculine majeure peut, pour la première fois, voter grâce à l'instauration du suffrage universel par la Deuxième République. Néanmoins, les femmes ne se voient reconnaitre leur droit de vote qu'en 1945, après la Libération de la France. Voici la répartition (en nombre) de quelques patronymes des 94 électeurs[48] :
Caron
Courtois
Dufour
Granger
Lœillet
Réveillon
Milan
Nicolé
Vagogne
Thiébault
Vignol
3
2
9
1
2
3
2
2
3
1
1
En 1860 et depuis 40 ans, des oyats sont arrachés en bord de mer. Ils sont envoyés à Rue pour la fabrication de paillassons par plusieurs dizaines de personnes sous la direction d'un dénommé Jaspert, ouvrier belge[49].
Au début du XXe siècle, l'industrie n'était représentée que par un moulin à vent, à peine utilisé[6].
Pendant l'occupation allemande durant la Deuxième Guerre mondiale, une « piste en ciment » est réalisée de manière à faciliter l'accès à la mer pour les véhicules. Des blockhaus et des éléments de défense contre une éventuelle offensive alliée sont construits dans les dunes[29].
Dans les années 1950, l'apparition de la myxomatose détruit le lapin de garenne qui freinait grandement les tentatives de fixation des dunes. Les plantations de pins modifient alors le paysage de manière importante[31].
Elle faisait partie depuis 1793 du canton de Rue[50]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.
Classement au concours des villes et villages fleuris : une fleur récompense en 2015 les efforts locaux en faveur de l'environnement[57]. En 2022, la commune est reconnue par le département pour son fleurissement remarquable, et espère obtenir à nouveau une Première fleur au concours national en 2023[58].
En 2022, la commune a également obtenu le prix de la biodiversité[58]
Les enfants sont accueillis au Crotoy où un regroupement pédagogique concentré a été construit. La suite de la scolarité peut se faire au collège de Rue et au lycée d'Abbeville.
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[59]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[60].
En 2021, la commune comptait 288 habitants[Note 2], en évolution de −3,36 % par rapport à 2015 (Somme : −0,98 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
La transhumance des chevaux Henson en Baie de Somme, organisée par les Cavaliers de la Baie de Somme et d'Authie et l'Association du cheval Henson, habituellement appelée « Trans'Henson », constitue le plus grand rassemblement de cavaliers et de chevaux en liberté en France. Sa 32e édition a lieu le [62],[63].
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En 2009, la population de Saint-Quentin se répartissait ainsi : 69,2 % d'actifs et 30,8 % d'inactifs dont 8,2 % de retraités et 8,2 % d'élèves, d'étudiants et de stagiaires non rémunérés[65].
Le taux de chômage était de 11,6 %, inférieur à celui de 1999 (16,4 %)[66].
L'activité économique du village est principalement orientée vers le tourisme, avec plus de trois mille lits (hôtels, gîtes, chambres d'hôtes…), un restaurant, des producteurs et artisans locaux, ainsi que la présence du parc ornithologique du Marquenterre qui constitue le premier site touristique de la côte picarde, ainsi que du centre équestre Henson Marquenterre[67].
On note ainsi :
création d'équipements extérieurs en bois, solutions végétales pour l'aménagement de milieux humides, aménagement d'espaces naturels pour le public ;
chasse privée au gibier de plaine, gros gibier (sanglier, mouflon...) ;
équitation (balades en attelage, randonnées en groupe avec des chevaux de race Henson) ;
campings, gîtes, restauration ;
vente de produits de la baie de Somme, tels que les escargots du Marquenterre[68]...
Église Saint-Quentin en brique et pierre, entourée du cimetière.
Nombreuses voies douces pour les cyclistes, les piétons et les cavaliers. La liaison à Rue par une voie douce, le vélomaritime, est prévue en 2023[58].
Le parc ornithologique du Marquenterre est situé sur la commune : 200 hectares auxquels doivent s'ajouter les 3 000 hectares de la baie, en réserve. Créé en 1973, le parc a accueilli 170 478 visiteurs en 2011, année record. En 2012, c'est le pôle touristique payant le plus fréquenté de la Somme : plus de 150 000 entrées. Sur le site, 307 espèces d'oiseaux ont été recensées, presque la moitié des espèces européennes[31].
Le sentier d'accès à la mer (3,6 km) débouche sur les parcs à moules de bouchots. Il peut être le point de départ d'une boucle de randonnée pédestre sur 16 km.
L'église paroissiale
Église, panneau d'informations.
La partie supérieure du monument aux morts, devant l'église.
Michel Jeanson (1913-2013), à l'origine de la renclôture (polder sur le domaine public maritime) qui l'a conduit ultérieurement (1973) à la création du parc ornithologique du Marquenterre[69],[30].
François Sueur (1953-), ornithologue picard, auteur de plusieurs ouvrages et co-auteur du projet de réserve naturelle nationale de la baie de Somme[70].
Claude Jeanson, La face cachée des dunes, Le domaine du Marquenterre, souvenirs et documents 1923-1993... avec l'étonnante aventure du Parc ornithologique racontée par ses fondateurs, édit. Marcanterra, Sarl domaine du Marquenterre, 48, chemin des garennes, Saint-Quentin-en-Tourmont, , (ASINB0063RV7J2).
Myriam Durand-Jeanson, Les vertus oubliées d'une plante répandue sur le littoral picard : l'argousier (Hippophae rhamnoïdes L.). Étude d'un échantillon du massif dunaire du Marquenterre, Université de Picardie Jules-Verne, Amiens, (thèse de pharmacie), 2002, 97 p.
« Saint-Quentin-en-Tourmont », Ma commune, Ministère de la cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales (consulté le ).
↑Les moyennes interannuelles (écoulements mensuels) ont été calculées le 28/07/2024 à 02:04 TU à partir des 352 QmM (débits moyens mensuels) les plus valides du 01/07/1993 au 01/06/2024.
↑Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
↑ a et bDaniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
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↑ a et bPascal Mureau, « Marquenterre : une saga familiale nommée Jeanson : Disparu cette semaine, Michel Jeanson était le fondateur du Parc du Marquenterre. Une fierté picarde qui est aussi le fruit d'une longue histoire familiale », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
↑Vincent Héry et Benjamin Radeau, « Surtaxer les résidences secondaires? Les maires du littoral picard sont divisés : La loi pourrait permettre aux maires des communes littorales de surtaxer les propriétaires de résidences secondaires. Mais la mesure est loin de faire l'unanimité chez les élus », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
↑Alexandra Mauviel et Jérémy Hébras, « Menace de l'érosion côtière: les maires de Saint-Quentin-en-Tourmont, Ault, Criel-sur-Mer réagissent : Le gouvernement a publié les noms des 126 communes françaises qui auront l'obligation de s'adapter en priorité à l'érosion du littoral aggravée par le réchauffement climatique et la pression humaine. Trois communes du littoral normand-picard y figurent », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
↑ a et bJacques Garnier, Dictionnaire topographique de la Somme, t. 1, Paris / Amiens 1867 - 1878, p. 282 (lire en ligne sur DicoTopo) [1].
↑« À plus rien n'y comprendre aux élections municipales de Saint-Quentin-en-Tourmont », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le )« Le maire de Saint-Quentin-en-Tourmont, Emile Riquet, avait annoncé de longue date que 2014-2020 serait son dernier mandat. Aussi, les portes de la mairie étaient grandes ouvertes pour la succession. Beaucoup de questions se posaient au sein même du conseil municipal jusqu'à le faire exploser et voir arriver 3 listes. Depuis dimanche, il y en a même 4. Et un candidat solo ».
↑« Deux élus et l'agent médaillés », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le )« Émile Riquet est élu depuis mars 1977. Il a effectué deux mandats au côté du maire, Roger Fauchatre, puis, en 1989, est devenu le 1 e adjoint de Jean-Marie Demets, avant d'être élu maire en 1995 ».
↑Réélu pour le mandat 2014-2020 : Le Courrier picard, édition d'Abbeville, 12 avril 2014, p. 13.
↑Claude Cailly, « Francis Gouesbier élu maire », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le )« Francis Gouesbier, seul candidat à la succession d'Émile Riquet, maire sortant ne se représentant pas, a été élu avec 11 voix ».
↑Vincent Beny, « Saint-Quentin-en-Tourmont labellisée station verte : Ce mercredi 4 mai 2022, la commune de Saint-Quentin-en-Tourmont va recevoir son label station verte. Une manière pour la municipalité de se démarquer des villes aux alentours », Le Journal d'Abbeville, (lire en ligne, consulté le ).
↑ ab et cVincent Beny, « C'est quoi ces deux récompenses attribuées à la commune de Saint-Quentin-en-Tourmont ? : Depuis 2020, les élus de Saint-Quentin-en-Tourmont multiplient les initiatives en faveur du développement durables. Des efforts récompensés par deux nouveaux prix », Le Journal d'Abbeville, (lire en ligne, consulté le ).
↑Vincent Beny, « Venez assister à l'incroyable transhumance de 250 chevaux Henson en Baie de Somme : La transhumance des chevaux Henson en Baie de Somme, plus communément appelée Trans'Henson, se déroulera dimanche 23 octobre 2022 à Saint-Quentin-en-Tourmont (Somme) », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
↑Vincent Beny, « 32e Trans'Henson. Des milliers de personnes au rendez-vous de Saint-Quentin-en-Tourmont : Cette année encore, la Trans'Henson a attiré des milliers de personnes en Baie de Somme et au parc ornithologique du Marquenterre. », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
↑EMP T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité sur la fiche Insee de la commune, [lire en ligne](consulté le 2 décembre 2014).
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↑Johann Rauch, « Saint-Quentin-en-Tourmont : Francis Gouesbier : « On a tout pour incarner la station verte de baie de Somme » : Le conseil vote pour l'obtention du label "Station verte" dont les principes deviendront la clé de voûte de ses futures décisions », Le Journal d'Abbeville, (lire en ligne, consulté le ).
↑Dominique Delannoy, « Baie de Somme. Les escargots du Marquenterre sur vos tables de fête : Au même titre que le foie gras, les huîtres... les escargots appartiennent à nos menus de fête. Dominique Bremer, de l'Escargotière du Marquenterre, en élève en Baie de Somme », Le Journal d'Abbeville, (lire en ligne, consulté le ).
↑Sueur F. (1987) Étude préalable du projet de réserve naturelle en baie de Somme. Conseil Régional Picardie, Ministère Environnement, DRAE Picardie, GEMEL, 70 p.