Saint-Sauveur-sur-École | |||||
La mairie. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Île-de-France | ||||
Département | Seine-et-Marne (Melun) |
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Arrondissement | Fontainebleau | ||||
Intercommunalité | Communauté d'agglomération du Pays de Fontainebleau | ||||
Maire Mandat |
Christophe Baguet 2020-2026 |
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Code postal | 77930 | ||||
Code commune | 77435 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Saint-Salvatoriens | ||||
Population municipale |
1 103 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 151 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 48° 29′ 46″ nord, 2° 32′ 52″ est | ||||
Altitude | Min. 42 m Max. 83 m |
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Superficie | 7,32 km2 | ||||
Type | Commune rurale à habitat dispersé | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Paris (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Fontainebleau | ||||
Législatives | Première circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
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Géolocalisation sur la carte : Seine-et-Marne
Géolocalisation sur la carte : Île-de-France
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Liens | |||||
Site web | saintsauveursurecole.fr | ||||
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Saint-Sauveur-sur-École est une commune française située dans le département de Seine-et-Marne, en région Île-de-France.
En 2021, elle compte 1 103 habitants.
La commune de Saint-Sauveur-sur-École est située au sud-ouest du département de Seine-et-Marne, en région Île-de-France[1], et au nord-est de la région naturelle le Gâtinais.
Elle se situe à 11,54 km par la route[Note 1] de Melun[2], préfecture du département et à 18,14 km de Fontainebleau[3], sous-préfecture. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Paris[1].
Les communes les plus proches[Note 2] sont[4] : Perthes (2,2 km), Pringy (2,8 km), Saint-Germain-sur-École (3,7 km), Boissise-le-Roi (3,7 km), Villiers-en-Bière (3,8 km), Saint-Fargeau-Ponthierry (4,0 km), Nainville-les-Roches (4,1 km), Cély (4,3 km).
Le territoire de la commune se situe au nord de la plaine de la Bière qui constitue la partie nord-est de la région naturelle du Gâtinais et qui est délimitée au nord et à l'ouest par la rivière École ; à l'est, par la Seine et au sud par la forêt de Fontainebleau.
Géologiquement intégré au bassin parisien, qui est une région géologique sédimentaire, l'ensemble des terrains affleurants de la commune sont issus de l'ère géologique Cénozoïque (des périodes géologiques s'étageant du Paléogène au Quaternaire)[5],[6].
Ères | Périodes géologiques | Époques géologiques | Nature des sols | ||||||||||||||||||
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Cénozoïque | Quaternaire | Holocène |
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Pléistocène | |||||||||||||||||||||
Néogène | Pliocène | non présent. | |||||||||||||||||||
Miocène | non présent. | ||||||||||||||||||||
Paléogène | Oligocène |
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Éocène |
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Paléocène | non présent. |
Le réseau hydrographique de la commune se compose de trois cours d'eau référencés :
La longueur totale des cours d'eau sur la commune est de 3,99 km[10].
Afin d’atteindre le bon état des eaux imposé par la Directive-cadre sur l'eau du , plusieurs outils de gestion intégrée s’articulent à différentes échelles : le SDAGE, à l’échelle du bassin hydrographique, et le SAGE, à l’échelle locale. Ce dernier fixe les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine. Le département de Seine-et-Marne est couvert par six SAGE, au sein du bassin Seine-Normandie[11].
La commune fait partie du SAGE « Nappe de Beauce et milieux aquatiques associés », approuvé le . Le territoire de ce SAGE couvre deux régions, six départements et compte 681 communes, pour une superficie de 9 722 km2[12]. Le pilotage et l’animation du SAGE sont assurés par le Syndicat mixte du pays Beauce Gâtinais en Pithiverais, qualifié de « structure porteuse »[13].
En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[14]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Sud-ouest du bassin Parisien, caractérisée par une faible pluviométrie, notamment au printemps (120 à 150 mm) et un hiver froid (3,5 °C)[15].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,2 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,5 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 682 mm, avec 11 jours de précipitations en janvier et 7,6 jours en juillet[14]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Nainville-les-Roches à 4 km à vol d'oiseau[16], est de 11,5 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 702,3 mm[17],[18]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[19].
Mois | jan. | fév. | mars | avril | mai | juin | jui. | août | sep. | oct. | nov. | déc. | année |
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Température minimale moyenne (°C) | 1,4 | 1,3 | 3,4 | 4,9 | 8,7 | 11,6 | 14 | 13,5 | 10,2 | 7,7 | 3,8 | 2 | 6,9 |
Température moyenne (°C) | 4,1 | 4,8 | 8,1 | 10,2 | 14,3 | 17,5 | 20,1 | 19,7 | 15,7 | 11,8 | 7 | 4,6 | 11,5 |
Température maximale moyenne (°C) | 6,7 | 8,2 | 12,8 | 15,5 | 19,8 | 23,3 | 26,3 | 25,9 | 21,1 | 16 | 10,1 | 7,1 | 16,1 |
Record de froid (°C) date du record |
−20,5 17.01.1985 |
−13,3 26.02.1986 |
−12,4 01.03.05 |
−5 12.04.1986 |
−1,5 10.05.1980 |
1,8 04.06.01 |
4,5 17.07.1980 |
2,5 31.08.1986 |
2 29.09.1990 |
−4,5 30.10.1985 |
−11 24.11.1998 |
−11 31.12.1985 |
−20,5 1985 |
Record de chaleur (°C) date du record |
16,5 05.01.1999 |
21,5 24.02.1990 |
25,5 29.03.1989 |
29,3 30.04.05 |
33 27.05.05 |
35,1 20.06.05 |
37,4 19.07.06 |
39 04.08.1990 |
32 04.09.05 |
30,2 01.10.1985 |
20,5 11.11.1995 |
17,2 07.12.00 |
39 1990 |
Précipitations (mm) | 56,7 | 50,5 | 51,7 | 52,7 | 68,4 | 63,3 | 49,8 | 48,6 | 60,1 | 64,2 | 63,6 | 72,7 | 702,3 |
La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[20],[21]. Dans ce cadre, la commune fait partie d'un espace protégé, le Parc naturel régional du Gâtinais français, créé en 1999 et d'une superficie de 75 567 ha. D’une grande richesse en termes d’habitats naturels, de flore et de faune, il est un maillon essentiel de l’Arc sud-francilien des continuités écologiques (notamment pour les espaces naturels ouverts et la circulation de la grande faune)[22],[23].
Deux autres espaces protégés sont présents dans la commune :
Au , Saint-Sauveur-sur-École est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[27]. Elle est située hors unité urbaine[1]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 3],[1]. Cette aire regroupe 1 929 communes[28],[29].
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (62,8 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (57,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (57,15 %), forêts (25,04 %), zones urbanisées (12,15 %), zones agricoles hétérogènes (5,65 %)[30].
Type d’occupation | 1990 | 2018 | Bilan | ||
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Territoires artificialisés (zones urbanisées, zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication, mines, décharges et chantiers, espaces verts artificialisés ou non agricoles) |
126,81 ha | 17,29 % | 89,06 ha | 12,15 % | −37,75 ha |
Territoires agricoles (terres arables, cultures permanentes, prairies, zones agricoles hétérogènes) |
422,87 ha | 57,67 % | 460,62 ha | 62,82 % | 37,75 ha |
Forêts et milieux semi-naturels (forêts, milieux à végétation arbustive et/ou herbacée, espaces ouverts sans ou avec peu de végétation) |
183,58 ha | 25,04 % | 183,58 ha | 25,04 % | 0,00 ha |
Parallèlement, L'Institut Paris Région, agence d'urbanisme de la région Île-de-France, a mis en place un inventaire numérique de l'occupation du sol de l'Île-de-France, dénommé le MOS (Mode d'occupation du sol), actualisé régulièrement depuis sa première édition en 1982. Réalisé à partir de photos aériennes, le Mos distingue les espaces naturels, agricoles et forestiers mais aussi les espaces urbains (habitat, infrastructures, équipements, activités économiques, etc.) selon une classification pouvant aller jusqu'à 81 postes, différente de celle de Corine Land Cover[31],[32],[Carte 1]. L'Institut met également à disposition des outils permettant de visualiser par photo aérienne l'évolution de l'occupation des sols de la commune entre 1949 et 2018[Carte 2].
La loi SRU du a incité les communes à se regrouper au sein d’un établissement public, pour déterminer les partis d’aménagement de l’espace au sein d’un SCoT, un document d’orientation stratégique des politiques publiques à une grande échelle et à un horizon de 20 ans et s'imposant aux documents d'urbanisme locaux, les PLU (Plan local d'urbanisme). La commune est dans le territoire du SCOT Fontainebleau et sa région, approuvé le et porté par le syndicat mixte d’études et de programmation (SMEP) de Fontainebleau et sa région[33].
La commune, en 2019, avait engagé l'élaboration d'un plan local d'urbanisme. Un plan local d'urbanisme intercommunal couvrant le territoire de la communauté de communes de la Bassée - Montois était en élaboration[34],[35].
La commune compte 64 lieux-dits administratifs[Note 4] répertoriés consultables ici[36] dont Brinville, Étrelles.
En 2016, le nombre total de logements dans la commune était de 498 dont 97,7 % de maisons et 1,7 % d’appartements.
Parmi ces logements, 90,1 % étaient des résidences principales, 5,1 % des résidences secondaires et 4,9 % des logements vacants.
La part des ménages fiscaux propriétaires de leur résidence principale s’élevait à 93,5 % contre 5,6 % de locataires[37],[Note 5], et 0,9 % logés gratuitement.
L'extrémité sud-ouest du territoire de la commune est traversé par l'autoroute A6. Celle-ci est accessible par l'échangeur entre la D 372 et la route nationale 37, et par le diffuseur no 13 (Cély), ces deux accès étant situés à environ 6 km au sud-ouest de Saint-Sauveur-sur-École.
Deux routes départementales relient la commune à ses voisines :
La commune est desservie par trois lignes du réseau de bus Fontainebleau - Moret (23, 112, 113) et la ligne V du réseau de bus Grand Melun.
Le nom de la localité est mentionné sous les formes Sanctus Salvator super Scolam en 1285[38] ; Ecclesia parrochialis Sancti Salvatoris super Scolam en 1364[39] ; Le moulin Saint Sauveur au-dessous du Pont aux moulins de Melun en 1605[40] ; Le moulin de Saint Sauveur, rue de la rivière de Seine en 1646[41] ; Sainct Sauveur sur Escolles en 1669[42].
L'hagiotoponyme Saint-Sauveur est un nom de lieu qui tire son origine de l'attribut de sauveur du monde attaché à Jésus-Christ par les églises chrétiennes.
L'École est une rivière de la région et un affluent de la Seine.
L’organisation de la distribution de l’eau potable, de la collecte et du traitement des eaux usées et pluviales relève des communes. La loi NOTRe de 2015 a accru le rôle des EPCI à fiscalité propre en leur transférant cette compétence. Ce transfert devait en principe être effectif au , mais la loi Ferrand-Fesneau du a introduit la possibilité d’un report de ce transfert au [44],[45].
En 2020, la gestion du service d'assainissement collectif de la commune de Saint-Sauveur-sur-École est assurée par la communauté d'agglomération du Pays de Fontainebleau (CAPF) pour la collecte, le transport et la dépollution[46],[47],[48].
L’assainissement non collectif (ANC) désigne les installations individuelles de traitement des eaux domestiques qui ne sont pas desservies par un réseau public de collecte des eaux usées et qui doivent en conséquence traiter elles-mêmes leurs eaux usées avant de les rejeter dans le milieu naturel[49]. Le Parc naturel régional du Gâtinais français assure pour le compte de la commune le service public d'assainissement non collectif (SPANC), qui a pour mission de vérifier la bonne exécution des travaux de réalisation et de réhabilitation, ainsi que le bon fonctionnement et l’entretien des installations[46],[50].
En 2020, l'alimentation en eau potable est assurée par la communauté d'agglomération du Pays de Fontainebleau (CAPF) qui en a délégué la gestion à une entreprise privée, dont le contrat expire le [46],[51].
Les nappes de Beauce et du Champigny sont classées en zone de répartition des eaux (ZRE), signifiant un déséquilibre entre les besoins en eau et la ressource disponible. Le changement climatique est susceptible d’aggraver ce déséquilibre. Ainsi afin de renforcer la garantie d’une distribution d’une eau de qualité en permanence sur le territoire du département, le troisième Plan départemental de l’eau signé, le , contient un plan d’actions afin d’assurer avec priorisation la sécurisation de l’alimentation en eau potable des Seine-et-Marnais. À cette fin a été préparé et publié en décembre 2020 un schéma départemental d’alimentation en eau potable de secours dans lequel huit secteurs prioritaires sont définis. La commune fait partie du secteur Bière[52].
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[53]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[54].
En 2021, la commune comptait 1 103 habitants[Note 6], en évolution de −1,78 % par rapport à 2015 (Seine-et-Marne : +3,45 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
En 2018, le nombre de ménages fiscaux de la commune était de 446, représentant 1 137 personnes et la médiane du revenu disponible par unité de consommation de 31 980 euros[57].
En 2017 , le nombre total d’emplois dans la zone était de 144, occupant 489 actifs résidants. Le taux d'activité de la population (actifs ayant un emploi) âgée de 15 à 64 ans s'élevait à 69,8 % contre un taux de chômage de 4,8 %. Les 25,4 % d’inactifs se répartissent de la façon suivante : 8,6 % d’étudiants et stagiaires non rémunérés, 10,5 % de retraités ou préretraités et 6,3 % pour les autres inactifs[58].
En 2019, le nombre d’unités légales et d’établissements (activités marchandes hors agriculture. ) par secteur d'activité était de 91 dont 4 dans l’industrie manufacturière, industries extractives et autres, 17 dans la construction, 24 dans le commerce de gros et de détail, transports, hébergement et restauration, 4 dans l’Information et communication, 5 dans les activités financières et d'assurance, 4 dans les activités immobilières, 21 dans les activités spécialisées, scientifiques et techniques et activités de services administratifs et de soutien, 7 dans l’administration publique, enseignement, santé humaine et action sociale et 5 étaient relatifs aux autres activités de services[59].
En 2020, 13 entreprises ont été créées sur le territoire de la commune, dont 9 individuelles.
Au , la commune ne disposait pas d’hôtel et de terrain de camping[60].
Saint-Sauveur-sur-École est dans la petite région agricole dénommée le « Pays de Bière et Forêt de Fontainebleau », couvrant le Pays de Bière et la forêt de Fontainebleau[Carte 3]. En 2010, l'orientation technico-économique[Note 7] de l'agriculture sur la commune est la polyculture et le polyélevage[61].
Si la productivité agricole de la Seine-et-Marne se situe dans le peloton de tête des départements français, le département enregistre un double phénomène de disparition des terres cultivables (près de 2 000 ha par an dans les années 1980, moins dans les années 2000) et de réduction d'environ 30 % du nombre d'agriculteurs dans les années 2010[62]. Cette tendance n'est pas confirmée au niveau de la commune qui voit le nombre d'exploitations augmenter et passer de 7 en 1988 à 8 en 2010. Parallèlement, la taille de ces exploitations augmente, passant de 50 ha en 1988 à 65 ha en 2010[61]. Le tableau ci-dessous présente les principales caractéristiques des exploitations agricoles de Saint-Sauveur-sur-École, observées sur une période de 22 ans :
1988 | 2000 | 2010 | |
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Dimension économique[61],[Note 8] | |||
Nombre d’exploitations (u) | 7 | 7 | 8 |
Travail (UTA) | 13 | 11 | 18 |
Surface agricole utilisée (ha) | 348 | 312 | 516 |
Cultures[63] | |||
Terres labourables (ha) | 333 | 306 | 496 |
Céréales (ha) | 225 | 207 | 308 |
dont blé tendre (ha) | 146 | 122 | 209 |
dont maïs-grain et maïs-semence (ha) | 41 | s | s |
Tournesol (ha) | 42 | ||
Colza et navette (ha) | 36 | s | 85 |
Élevage[61] | |||
Cheptel (UGBTA[Note 9]) | 47 | 26 | 4 |
La commune ne compte pas de monument répertorié à l'inventaire des monuments historiques (Base Mérimée).
Blason | De gueules à la roue de moulin de sable posée sur une champagne ondée d'argent chargée de quatre burelles ondées d'azur ; au chef d'azur chargé de trois croissants contournés d'argent, soutenu d’une divise ondée d'or[70]. |
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Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |