La commune est située dans le bassin Artois-Picardie. Elle est drainée par la Selle ou Somme et divers autres petits cours d'eau[Carte 1].
La Selle, d'une longueur de 39 km, prend sa source dans la commune de Catheux et se jette dans la Somme canalisée à Amiens, après avoir traversé 16 communes[2]. Les caractéristiques hydrologiques de la Selle sont données par la station hydrologique située sur la commune. Le débit moyen mensuel est de 3,96 m3/s[Note 1]. Le débit moyen journalier maximum est de 10,5 m3/s, atteint lors de la crue du . Le débit instantané maximal est quant à lui de 10,7 m3/s, atteint le même jour[3].
Quatre moulins étaient en activité dans les années 1730[4].
La Selle à Saleux
Saleux - filature Cosserat
La Selle, source d'énergie hydraulique au XIXe siècle
Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Somme aval et Cours d'eau côtiers ». Ce document de planification concerne un territoire de 1 835 km2 de superficie, délimité par le bassin versant de la Somme canalisée. Le périmètre a été arrêté le et le SAGE proprement dit a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est le syndicat mixte d'aménagement hydraulique du bassin versant de la Somme (AMEVA)[5].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 685 mm, avec 11,4 jours de précipitations en janvier et 8,5 jours en juillet[6]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Glisy à 12 km à vol d'oiseau[8], est de 11,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 646,6 mm[9],[10]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[11].
Au , Saleux est catégorisée ceinture urbaine, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[12].
Elle appartient à l'unité urbaine d'Amiens[Note 3], une agglomération intra-départementale regroupant onze communes, dont elle est une commune de la banlieue[Note 4],[13],[14]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Amiens, dont elle est une commune de la couronne[Note 5],[14]. Cette aire, qui regroupe 369 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[15],[16].
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnéeseuropéenne d'occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (67,3 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (68,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante :
terres arables (57,5 %), forêts (17,1 %), zones urbanisées (12,7 %), zones agricoles hétérogènes (8,9 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (3 %), prairies (0,9 %)[17]. L'évolution de l'occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].
À la suite de la fermeture en 2014/2015 de l'entreprise Sapsa Bedding, qui utilisait les locaux de l'ancienne filature Cosserat du XIXe siècle, le site de près de 9 ha traversé par la Selle est devenu une friche rachetée en 2017 par un investisseur qui prévoit d'y réaliser un nouveau quartier qui pourrait comprendre à terme environ 300 logements. Le promoteur ne prévoit pas de conserver les anciens bâtiments industriels, qu'il juge trop dégradés. Le projet a nécessité une révision du plan local d'urbanisme menée en 2019/2020. Il prévoit la construction de logements semi-collectifs, de maisons individuelles et de locaux d'activités[19],[20],[21]. Touefois, en 2021; l'opposition municipale s'inquiète de la pollution du site où ont été relevés la présence d'hydrocarbures, de métaux lourds (plomb, zinc, mercure) et de composés organiques volatils toxiques[22]
L'axe routier principal de la ville est la RD 8 qui la relie à Amiens. L'ex-route nationale 29 passe au nord du territoire communal, hors du tissu urbanisé.
Deux autoroutes traversent le territoire communal : l'A29 et l'A16. La sortie 18 Salouël donne un accès aisé à la commune.
La localité est desservie par la ligne d'autocars no 29 (Crévecœur-le-Grand - Conty - Amiens) du réseau interurbain Trans'80 Hauts-de-France[23], qui est un lointain successeur de la ligne de Saint-Omer-en-Chaussée à Vers, la petite ligne de chemin de fer qui reliait Beauvais à Amiens.
Elle est traversée par la ligne d'Amiens à Rouen, mais la gare est fermée au trafic voyageurs, tout en ayant un important trafic fret généré par des silos agricoles disposant d'un embranchement particulier.
Le nom de la localité est attesté sous les formes Salcosi (1105) ; Salocus (1147) ; Saleu (1139) ; Salotum (1147) ; Saletum (12..) ; Salle (1470) ; Salocz (1579) ; Salea (1592) ; Salleu (1648) ; Salleux (1696) ; Saleux (1707)[24].
Il est couramment admis que la commune tient son nom de Salla, le nom latin de la Selle (la rivière qui traverse la localité)[25], et de leu, terme rappelant l'eau en picard[26].
En 2006, lors de la construction de logements, des fouilles ont permis de découvrir des sites mésolithiques[28] sur des positions d'anciennes berges de la Somme et de la Selle[29],[1].
Dans les premières décennies du XIXe siècle, le village, essentiellement agricole, se transforme et accueille les industries, qui utilisent l'énergie hydraulique de la Selle et conduisent à son développement. En 1839, Eugène Cosserat implante une filature à lin sur les bords de la rivière[26],[31],[19].
En 1827, le cadastre napoléonien mentionne sur le site qui deviendra la filature Cossera figurent plusieurs bâtiments (moulin, maison et dépendances) distribués par une cour, situés sur un îlot déterminé par divers bras de la Selle (à l'est) et un canal de dérivation non cadastré (à l'ouest)[32]
La filature de lin Cosserat , agrandie vers 1848, par l'architecte Marest, est remplacée par une construction nouvelle en 1855 réalisée pour Eugène Cosserat ; elle est agrandie en 1862, 1865 et 1878[32]
En 1850, l'usine Poiret, qui emploie 150 ouvriers, comprend 1 moulin, 18 métiers, 40 machines et 1 forge[33]. L'usine Cosserat dispose d'un moulin à eau, une machine à vapeur, 23 métiers, 2880 broches utilisés par 200 ouvriers[32].
En 1854 est fermé l'ancien cimetière communal, proche de la Selle et de l'ancienne église[34],[35]. Le cimetière actuel est aménagé sur un terrain acquis en 1853, agrandi en 1901 après la scission d'avec Salouël[36]. Le terrain de l'ancien cimetière est utilisé pour y agrandir l'usine d'Ulysse Joly, blanchisseur[37]
En 1864, Salouel, qui jusqu'alors faisait partie de Saleux, est érigé en commune autonome[38].
En 1865, Charles Poiret-Trépagne installe une fabrique de savons à l'ouest de la Selle, à l'emplacement d'un ancien moulin à blé et dotée d'un magasin construit en 1876[33].
« En 1866, lors de l'épidémie de choléra, la qualité des sources alimentant les fontaines d'Amiens est mise en doute. Un usinier de Petit-Saint-Jean démontrera à partir de documents et de témoignages, qu'en fait, les eaux de la Basse-Selle qui alimentent ces fontaines sont altérées par les usines de Saleux et par la papeterie de Prouzel qui y jettent lessives et acides utilisés pour le blanchiment des chiffons[1] ».
En 1868, les plans cadastraux montrent les installations du Tissage Yvose, réalisées par le manufacturier parisien Laurent Yvose. Le site de production s'étend sur les deux rives de la Selle et sur les deux communes de Saleux et Salouël et se développe progressivement[39],[40].
En 1869 débute la construction de l'église paroissiale, sur les plans de Victor Delefortrie et de son fils. Elle est terminée en 1878 et témoigne de la prosp^érité d'une commune industrielle de la vallée de la Selle. Après un ouragan de 1876, l´église fait l´objet d´une reconstruction partielle, en 1878[41]
En 1870/71, l'usine Poiret emploie 152 ouvriers, dont 22 moins de 16 ans et dispose d'une force hydraulique de 30 ch et d'une machine à vapeur de 3 ch[33]. L'usine Cosserat se diversifie et traite le chanvre et l'étoupe. Elle emploie 378 ouvriers dont 38 moins de 16 ans[32].
L'usine Cosserat est agrandie en 1922 (matériel fixe), en 1923 (matériel fixe, maison et peignerie, peignerie, magasin, maison du directeur), en 1924 (peignage et buanderie), puis en 1926 (forge et ferblanterie, magasins, bâtiment abritant la machine à vapeur, filature à sec, bascule, atelier de menuiserie, atelier de préparation, séchoir à air libre, hangar, cheminée, chute d'eau, voie ferrée et pont tournant). Une forge et un atelier de réparation sont construits en 1930[32].
En 1926, les Filatures de Saint-Epin déclarent la construction de nouveaux bâtiments à l'emplacement de l'ancienne filature Poiret, abritant noitamment une force hydraulique, deux corderies, une filature cardée, teinturerie et dégraissage, forge, turbine et essence, séchoir, cheminée, générateur, machine à vapeur, filature et machinerie, savonnerie, menuiserie, éclairage, bureau, magasin à huile, quatre magasins, emballage et pliage, hangar[33]....
En 1939, l'usine Cosserat emploie 320 ouvriers[32].
En 1962, plus de 100 salariés sont employés sur le site Poiret[33].
L'usine textile Cosserat et fils ferme en 1956 et ses installations ont reprises par Pirelli, transformée en usine d'articles de caoutchouc, avec une unité de literie construite au sud. En 1962, elle emploie plus de 100 salariés, et 235 en 1986[32].
En 2014 ferme l'entreprise Sapsa Bedding (ex Pirelli), une usine de matelas qui occupait le site de l'ancienne filature Cosserat[45], entraînant le licenciement de 143 salariés. Dans les années 1970, l'entreprise employait un millier de salariés[46].
Pendant les mandats d'Ernest Candela, maire de 2005 à 2020, Saleux a été pionnière sur le zéro pesticide, et, de 2018 à 2020, plus de 100 arbres ont été plantés[50].
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[53]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[54].
En 2021, la commune comptait 2 773 habitants[Note 7], en évolution de −2,87 % par rapport à 2015 (Somme : −0,98 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
La commune est située en zone B pour les vacances scolaires, dans l'académie d'Amiens[56]
L'école primaire Irène Joliot-Curie accueille les enfants d'âge scolaire élémentaire dans ses 7 classes en 2020-2021[57].
Avec ses quatre classes de maternelle en 20-21, l'école Louise Dégardin est située derrière la mairie[57]. Vétuste et énergivore, elle est destinée à être remplacée par un nouvel édifice[50],[51],[58]
L'école élémentaire (du CP au CM2) Joliot-Curie/Jean Catelas se trouve rue Roger Salengro. Un restaurant scolaire situé à proximité ainsi qu'une halte-garderie a été mis en service en 2016[50]
Nombreux bâtiments industriels anciens, rappelant l'histoire économique liée aux filatures sur la Selle.
Filature de lin dite filature Cosserat et Marest, puis Marest et Cie, puis Cosserat Fils et Cie ; puis usine d'articles en caoutchouc Pirelli France Latex, puis Sapsa Bedding, 2 rue Jean-Jaurès[62],[63], sinistrée par un incendie après la faillite de l'entreprise. Ses installations pourraient être détruites dans le cadre d'un projet d'urbanisme.
Filature Poiret, puis Poiret Frères et Neveu, puis S.A. Saint-Epin Poiret Frères Neveu ; puis tissage Vernier, puis usine de confection MCB Sérac[33],[64],[65], 11 route de Conty, réhabilitée.
Tissage dit tissage Cauvin Yvose, puis S.A. des anciens Ets Cauvin Yvose, puis scierie Fox Frères, 8 rue Ernest Cauvin[66].
Cité ouvrière Saint-Maurice, rue Saint-Maurice construite entre 1858 et 1883 par la filature Marest, Marest et Cie / Cosserat[67].
Cité ouvrière Cosserat, dite Cité Saint-Pierre, rue Saint-Pierre, construite en 1884[68].
Cité ouvrière Cosserat, 172-182 rue Jean-Catelas, construite de 1866 à 1923[69]
Monument aux morts réalisé par le marbrier Louis Cloquier, au cimetière[70],[71]
L'ancienne mairie-école.
La plaine de jeux, au bord de la Selle.
Bâtiment de direction de l'ancienne filature Cosserat.
D'argent à l'épi de blé tigé de sinople posé en barre, au marteau de gueules contourné et posé en pal, à la roue crantée du même, chaque figure sur-brochant la précédente, à la bande d'azur brochant sur le tout.
↑Les moyennes interannuelles (écoulements mensuels) ont été calculées le 28/07/2024 à 02:04 TU à partir des 520 QmM (débits moyens mensuels) les plus valides du 01/03/1981 au 01/06/2024.
↑Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
↑Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
↑Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l'agglomération ou de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine d'Amiens comprend une ville-centre et dix communes de banlieue.
↑Les logements vacants comprennent notamment les logements neufs qui ne sont pas encore habités, ceux que leurs propriétaires laissent libres ou dans lesquels ils font réaliser des travaux, ou ceux qui sont libres entre deux ventes ou deux locations
↑Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
↑ abcd et eBertrand Le Boudec, Hélène Izembart, Atlas des paysages de la Somme, t. II : Six structures paysagères, Amiens, Direction régionale de l'environnement, , 320 p. (lire en ligne [PDF]), p. 114, 126, 128-129.
↑ a et bDaniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
↑ a et b« Le site de l'ex usine Sapsa Bedding à Saleux racheté par des promoteurs : La friche Sapsa Bedding a été vendue à deux promoteurs. Les neuf hectares de cette ancienne usine de matelas devraient accueillir des logements d'ici quelques années », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
↑Jeanne Demilly, « Ancienne usine et futur quartier à Saleux : Des centaines de logements devraient être construits sur la friche Sapsa Bedding. De quoi attirer de nouveaux habitants dans cette commune en pleine expansion », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le )« Ce terrain de 9 hectares se compose de deux parties : celle de l'usine récente donnant sur la rue Jean-Catelas et celle de la vieille usine, côté rue Jean-Jaurès. Dans cette ancienne filature, on trouve plusieurs bâtiments en brique, derniers témoins de ce qui fut la première grande acquisition d'Eugène Cosserat. Ces bâtiments seront-ils conservés ? Pour l'heure, le promoteur Ladislas de Simencourt ne pense pas les intégrer dans le projet ».
↑Jeanne Demilly, « Un document important pour l'avenir de Saleux : Dans quelques jours, la commune de Saleux recevra le rapport du commissaire-enquêteur sur la révision du Plan local d'urbanisme. Ce document aura notamment un impact sur l'avenir de la friche Sapsa Bedding », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
↑Estelle Thiébault, « Des inquiétudes sur la dépollution de la friche Sapsa Bedding à Saleux : Des conseillers municipaux d'opposition à Saleux ont alerté les élues écologistes du Département et réclament la dépollution totale de cette friche industrielle vouée à la construction », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
↑Bakhti Zouad, « Saleux sous le choc après la fermeture de Sapsa Bedding : L'usine de matelas Sapsa Bedding (ex-Pirelli), installée à Saleux, vient de fermer ses portes. Au total, 143 personnes seront bientôt licenciées », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
↑Réélu pour le mandat 2014-2020 : « Ernest Candela réélu maire de Saleux », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le )« Réuni samedi matin à la mairie le nouveau conseil municipal a élu le maire et les cinq adjoints. Tous ont été élus à l'unanimité, 19 voix chacun ».
↑ abcd et eEstelle Thiebault, « Le dossier de la nouvelle école maternelle bouclé avant les élections à Saleux : À Saleux, Ernest Candela ne se représente pas en mars prochain. Il part avec trois dossiers bouclés : la construction d'une nouvelle école maternelle, l'extension de l'école de musique et le PLU révisé », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le )« Après deux mandats, Ernest Candela (73 ans, sans étiquette) ne se représente pas en mars. C'est une femme, Isabelle Rambour, jamais élue auparavant, qui mènera la liste « avec mon premier adjoint et 10 de mon équipe. » Sans opposition, Ernest Candela quitte son poste avec trois gros dossiers bouclés ».
↑ a et bEstelle Thiebault, « Ernest Candela, l'ancien maire de Saleux, est décédé : Maire de Saleux jusqu'en mai 2020, Ernest Candela est décédé mardi 14 juillet à l'âge de 73 ans », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
↑Estelle Thiebault, « Isabelle Rambour, première femme élue maire de Saleux : Élue le 15 mars avec 72,8 % des voix, Isabelle Rambour est officiellement devenue maire ce samedi 23 mai », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le )« Isabelle Rambour succède à Ernest Candela, qui ne se représentait pas après deux mandats (...) Élue maire avec 20 voix, les trois autres allant à Alain Desmarquet, qui menait la liste « Agir ensemble ».
↑ a et bBakhti Zouad, « Mobilisation générale contre la fermeture d'une classe à Saleux : Élus municipaux de tout bord, conseiller départemental du canton et parents d'élèves se sont mobilisés ce jeudi 11 février contre la fermeture envisagée par le rectorat d'une classe à Saleux », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
↑Bakhti Zouad, « À Saleux, l'école maternelle de la discorde : L'opposition et l'équipe municipale sont en désaccord total quant à la construction de la nouvelle école maternelle. En particulier au sujet de son coût, 2,4 millions d'euros », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
↑Alphonse d'Alais, « Nos biographies : Numa Auguez », La gazette artististique, no 6, , p. 2 (lire en ligne, consulté le ), lire en ligne sur Gallica.
André Chauvin, Saleux, une cité et son passé..., Amiens, Ansel Impr., [après 1975], 10 p.
100 ans d'école à Saleux, Saleux, Impr. municipale, , 64 p.
Inventaire général du Patrimoine culturel. Églises et chapelles des XIXe et XXe siècles (Amiens métropole). Textes : Isabelle Barbedor. Photographies : Thierry Lefébure (collection Parcours du Patrimoine no 331). Lyon : Lieux-Dits, 2008, 72 pages (ISBN978-2-914528-47-4)
Saleux : préhistoire de la vallée de la Selle, Amiens, Direction régionale des Affaires culturelles de Picardie, coll. « Archéologie en Picardie », , non paginé