Salon-la-Tour

Salon-la-Tour
Salon-la-Tour
Tour de Salon-la-Tour.
Blason de Salon-la-Tour
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Corrèze
Arrondissement Tulle
Intercommunalité Communauté de communes du pays d'Uzerche
Maire
Mandat
Jean Claude Chauffour
2020-2026
Code postal 19510
Code commune 19250
Démographie
Gentilé Salonnais, Salonnaises
Population
municipale
675 hab. (2021 en évolution de +4,49 % par rapport à 2015)
Densité 16 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 30′ 20″ nord, 1° 32′ 21″ est
Altitude Min. 335 m
Max. 492 m
Superficie 43,01 km2
Type Commune rurale à habitat très dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Uzerche
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Uzerche
Législatives Première circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Salon-la-Tour
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Salon-la-Tour
Géolocalisation sur la carte : Corrèze
Voir sur la carte topographique de la Corrèze
Salon-la-Tour
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Voir sur la carte administrative de Nouvelle-Aquitaine
Salon-la-Tour

Salon-la-Tour (Salom en occitan) est une commune française située dans le département de la Corrèze en région Nouvelle-Aquitaine. Dans le cartulaire de l'abbaye d'Uzerche, qui reçut en donation l'église vicomtale, le nom de la localité est Celom.

Géographie

[modifier | modifier le code]

Localisation

[modifier | modifier le code]

Salon-la-Tour se trouve dans le Massif central à 6 km au nord d'Uzerche, à quelques kilomètres seulement de l'A20, à équidistance entre Limoges et Brive-la-Gaillarde.

La commune est implantée sur le Pays d'Uzerche.

Communes limitrophes

[modifier | modifier le code]
Communes limitrophes de Salon-la-Tour
Benayes Masseret Lamongerie
Benayes Salon-la-Tour Condat-sur-Ganaveix
Saint-Ybard Saint-Ybard Condat-sur-Ganaveix

Géologie et relief

[modifier | modifier le code]

Commune du Massif central.

Hydrographie

[modifier | modifier le code]

Commune arrosée par le ruisseau des Forges.

Historiquement, la commune est exposée à un climat océanique limousin[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est dans une zone de transition entre le climat océanique altéré et le climat de montagne et est dans la région climatique Ouest et nord-ouest du Massif Central, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 900 à 1 500 mm, maximale en automne et en hiver[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,1 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 200 mm, avec 12,5 jours de précipitations en janvier et 8,1 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune d'Uzerche à 9 km à vol d'oiseau[4], est de 12,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 097,9 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Voies de communication et transports

[modifier | modifier le code]

La commune est accessible très facilement car elle est à toute proximité de l'autoroute A20, entre Limoges et Brive-la-Gaillarde, portion entièrement gratuite d'autoroute.

De même, l'axe A89 (Bordeaux - Clermont-Ferrand - Lyon) est accessible facilement de la commune.

Au , Salon-la-Tour est catégorisée commune rurale à habitat très dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[8]. Elle est située hors unité urbaine[9]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Uzerche, dont elle est une commune de la couronne[Note 1],[9]. Cette aire, qui regroupe 8 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[10],[11].

Occupation des sols

[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (72,2 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (71,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (36,6 %), prairies (35,7 %), forêts (26,4 %), zones urbanisées (0,7 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (0,6 %)[12].

L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs

[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Salon-la-Tour est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), feux de forêts et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses, et à un risque particulier : le risque de radon[13]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[14].

Risques naturels

[modifier | modifier le code]
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Salon-la-Tour.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 24,7 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (26,8 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 432 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 86 sont en aléa moyen ou fort, soit 20 %, à comparer aux 36 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[15],[Carte 2].

Concernant les feux de forêt, aucun plan de prévention des risques incendie de forêt (PPRIF) n’a été établi en Corrèze, néanmoins le code de l’urbanisme impose la prise en compte des risques dans les documents d’urbanisme. Le périmètre des servitudes d'utilité publique et des zones d'obligation légale de débroussaillement pour les particuliers est quant à lui défini pour la commune dans une carte dédiée[16].

Risques technologiques

[modifier | modifier le code]

Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par une route à fort trafic et une ligne de chemin de fer. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est susceptible d’avoir des effets graves sur les biens, les personnes ou l'environnement, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[17].

Risque particulier

[modifier | modifier le code]

Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Certaines communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon la classification de 2018, la commune de Salon-la-Tour est classée en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[18].

En , le réseau Buckmaster commence ses émissions à Uzerche et Salon-la-Tour. À la mi-novembre de la même année, le premier parachutage d'armes à lieu à Salon-la-Tour (échec) et Espartignac (succès)[19].

Salon la Tour - Celom au Moyen Âge - Les Vicomtes de Limoges

[modifier | modifier le code]
  • Cartulaire de l'abbaye d'Uzerche : l'église vicomtale.
  • Cuve baptismale dans l'église (au fond de l'église près d'un pilier).
  • Tour Vicomtale du XIIe siècle.

Pour l'histoire des familles Vicomtales, voir Château-Chervix et Masseret.

Au XVe siècle, sous le titre Instruction pour l'administration du comté de Périgord et de la Vicomté de Limoges (archives de la Vicomté, Fonds Bosvieux, ADHV87).

Dans le recensement de la châtellenie de Masseret, il n'est nullement question de la tour vicomtale de Salon. Rien n'est dit sur son état. Les tours vicomtales de Chervix, Masseret et Salon n'étaient pas des tours abritant une famille seigneuriale mais une maigre garnison. Voir la description faite au XVe siècle de la tour de Masseret :

« Dans la châtellenie de Masseret, il y a plusieurs seigneuries ressortissant de ladite châtellenie comme Saint-Germain, Salon, Saint-Vitte, Meilhards, Le Pin, le Verdier et autres... ». Salon est à cette époque partagée entre plusieurs seigneuries foncières. Elle relèvent du Vicomte en fondalité directe.

Ces seigneuries sont dans la fondalité directe du Vicomte de Limoges. Cependant, Salon n'est pas ou n'est plus une châtellenie au XVe siècle. Elle est rattachée à la châtellenie de Masseret. Ce qui est confirmé par M. Clement-Simon, historien corrézien du XIXe siècle ayant le titre académique de géographe, auteur d'une Histoire de la Vicomté.

Alain d'Albret, époux de Françoise de Châtillon, maison de Blois-Bretagne, héritière de la Vicomté de Limoges, est en procès avec sa belle-sœur Madame de Montrésor. Ce procès donne lieu à un recensement dans la Vicomté des châtellenies et des domaines relevant de la propriété du vicomte et aussi de tous les revenus dont les droits de justice, cens, fours banaux, etc.

En fondalité ou directe seigneurie à Salon

[modifier | modifier le code]

« Noble Jean du Breuilh, sieur de Fraixer, maison noble de Fraixe avec domaine y joignant. Métairie à La Porcherie, moulins, étangs, rentes en deniers, grains, gelines (poules), journaux, vinades, dîmes, fondalité directe seigneurie. »

« Noble Jehan homme Guy de Lebolies, sr de la Granerie-maison noble de La Granerie, avec un domaine et une métairie, autre métairie dans la paroisse de La Porcherie, rentes en fondalité directe. »

Extrait du Mémoire sur la châtellenie de Masseret (XVe siècle). Archives de la Vicomté de Limoges conservées à Pau. Fonds Bosvieux ADHV 87.

Politique et administration

[modifier | modifier le code]
Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
avant 1988 ? Charles Galetou    
mars 2001 2008 Jacques Risse    
mars 2008 En cours Jean-Claude Chauffour[20] DVD Agriculteur retraité

Démographie

[modifier | modifier le code]
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[21]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[22]. En 2021, la commune comptait 675 habitants[Note 2], en évolution de +4,49 % par rapport à 2015 (Corrèze : −0,86 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 9271 8421 8181 9831 9142 0152 0432 0511 980
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 8441 7701 8511 7091 8251 7901 9742 4272 040
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 9662 0641 9451 6291 5331 4461 3791 2611 167
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
1 0671 018926798729721707703659
2018 2021 - - - - - - -
664675-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[23] puis Insee à partir de 2006[24].)
Histogramme de l'évolution démographique

Lieux et monuments

[modifier | modifier le code]
  • La Tour[25] donnant son nom au bourg, est un donjon du XIe siècle, reste d'une ancienne forteresse ayant appartenu aux vicomtes de Limoges et détruite par Richard Cœur de Lion. L'association l'Étendard[26] la restaure désormais.
  • Église Saint-Hilaire.
  • Le château du Fraysset[27] fut construit par Jean de Breuil en 1430. À la limite du bourg sur les terres des Fraysse, il est également propriété de l'association l'Étendard.
  • À la suite de la restauration des vitraux de la tribune de l'église de Salon la Tour par le Maître verrier Jean Marie Basset "Atelier Vitrail du Chambon", les trois fenêtres de cette tribune présentaient une lacune en parties basses. C'est dans les décombres qu'il a retrouvé sur un fragment de vitrail le cartouche de saint Blancat daté de 1897.

Personnalités liées à la commune

[modifier | modifier le code]
  • Léonce de Sal, homme politique français né le à Salon-la-Tour et décédé le à Paris.
  • Violette Szabo (1921-1945), résistante et agent secret franco-britannique.
  • Varg Vikernes (1973- ), musicien norvégien du groupe Burzum, soupçonné d'être néo-nazi, y a été arrêté en 2013, alors qu'il y résidait[28].

Héraldique

[modifier | modifier le code]

D'azur à une tour d'argent maçonnée de sable, au franc-canton d'or à trois lionceaux d'azur, armés et lampassés de gueules.

Vie pratique

[modifier | modifier le code]

Service public

[modifier | modifier le code]

Enseignement

[modifier | modifier le code]

Activités sportives

[modifier | modifier le code]

Écologie et recyclage

[modifier | modifier le code]

Notes et références

[modifier | modifier le code]

Notes et cartes

[modifier | modifier le code]
  • Notes
  1. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )

Références

[modifier | modifier le code]
  1. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  3. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  4. « Orthodromie entre Salon-la-Tour et Uzerche », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Uzerche » (commune d'Uzerche) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Uzerche » (commune d'Uzerche) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  8. « La grille communale de densité », sur le site de l’Insee, (consulté le ).
  9. a et b Insee, « Métadonnées de la commune ».
  10. « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Uzerche », sur insee.fr (consulté le ).
  11. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  12. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  13. « Les risques près de chez moi - commune de Salon-la-Tour », sur Géorisques (consulté le )
  14. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le )
  15. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
  16. « Risque de feu de forêt près de chez moi, sur la commune de Salon-la-Tour », sur Géorisques (consulté le )
  17. « Dossier départemental des risques majeurs de la Corrèze », sur www.correze.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque transport de matières dangereuses.
  18. « Cartographie du risque radon en France. », sur le site de l’IRSN, (consulté le )
  19. Lemouzi N° 178 (avril 2006); Louis Bournazel : Uzerche et son pays du temps de l'occupation à la mondialisation (pages 31 à 60)
  20. Site de la préfecture, consulté le 20 août 2008
  21. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  22. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  23. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  24. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  25. Notice no PA00099884, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  26. « Restauration de la Tour », sur letendard.fr (consulté le ).
  27. « Le Fraysset », sur letendard.fr (consulté le ).
  28. Etienne VUILLAUME, « Néo-nazi interpellé en Corrèze : le voisinage de Kristian Vikernes parle d'une "famille normale" », La Montagne,‎ (lire en ligne, consulté le ).

Bibliographie

[modifier | modifier le code]

Articles connexes

[modifier | modifier le code]

Liens externes

[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :