Schinhorn
Ne doit pas être confondu avec Gross Schinhorn.
Cet article est une ébauche concernant la montagne et le canton du Valais.
Vous pouvez partager vos connaissances en l’améliorant (comment ?) selon les recommandations des projets correspondants.
| Schinhorn | |||
.jpg) Vue du Schinhorn, à droite, avec l'Aletschhorn, à gauche. | |||
| Géographie | |||
|---|---|---|---|
| Altitude | 3 797 m[1] | ||
| Massif | Alpes bernoises (Alpes) | ||
| Coordonnées | 46° 27′ 06″ nord, 7° 56′ 48″ est[1] | ||
| Administration | |||
| Pays |  Suisse |
||
| Canton | Valais | ||
| Districts | Rarogne occidental, Brigue | ||
| Ascension | |||
| Première | par Ernst Justus Häberlin, Andreas von Weissenfluh et Johann von Weissenfluh[2] | ||
| Voie la plus facile | versant sud | ||
| Géolocalisation sur la carte : Suisse
Géolocalisation sur la carte : canton du Valais
| |||
modifier  |
|||
Le Schinhorn est un sommet des Alpes bernoises qui culmine à 3 797 m d'altitude.
Il se trouve au nord-est du Lötschental et au sud-ouest du Grosser Aletschfirn (névé de la partie nord-ouest du glacier d'Aletsch), dont il est séparé par le Sattelhorn.
Premières ascensions
[modifier | modifier le code]- : arête sud-est par Ernst Justus Häberlin, Andreas von Weissenfluh et Johann von Weissenfluh.
- : face sud par Christian Almer père et fils et W. A. B. Coolidge.
- : traversée Distlighorn - Schinhorn par Julien Gallet, Joseph Kalbermatten et Abraham Müller.
- : arête est par Aldo Bonacossa, Miss Rosamond Botsford et le comte Ugo di Vallepiana.
Alpinisme
[modifier | modifier le code]Le Schinhorn est accessible par le glacier de l'Oberaletschfirn et la cabane de l'Oberaletsch.
Le Schinhorn dispose de plusieurs itinéraires d'ascension de difficulté modérée à moyenne :
- Éperon est : D- ;
- Traversée Distlighorn - Schinhorn : AD+.
Références
[modifier | modifier le code]- Visualisation sur Swisstopo.
- « Schinhorn », sur www.camptocamp.org (consulté le ).
Voir aussi
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]- Hans Grossen, L'Oberland bernois, Paris, Denoël, 1982, 253 p., éperon est et traversée Distlighorn-Schinhorn (fiche 35).
