Segonzac (Dordogne)

Segonzac
Segonzac (Dordogne)
À l'entrée du bourg de Segonzac, le château de la Martinie.
Blason de Segonzac
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Dordogne
Arrondissement Périgueux
Intercommunalité Communauté de communes du Périgord Ribéracois
Maire
Mandat
Christophe Rossard
2020-2026
Code postal 24600
Code commune 24529
Démographie
Gentilé Segonzacois
Population
municipale
202 hab. (2021 en évolution de −1,46 % par rapport à 2015)
Densité 52 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 12′ 23″ nord, 0° 26′ 57″ est
Altitude Min. 120 m
Max. 211 m
Superficie 3,88 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Ribérac
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Brantôme en Périgord
Législatives Troisième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Segonzac
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Segonzac
Géolocalisation sur la carte : Dordogne
Voir sur la carte topographique de la Dordogne
Segonzac
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Voir sur la carte administrative de Nouvelle-Aquitaine
Segonzac

Segonzac est une commune française située dans le département de la Dordogne, en région Nouvelle-Aquitaine.

Géographie

[modifier | modifier le code]

Généralités

[modifier | modifier le code]

Dans le quart nord-ouest du département de la Dordogne, la commune de Segonzac se trouve à l'extrémité nord-est de la forêt de la Double. C'est une commune rurale[1] qui fait partie de l'aire d'attraction de Ribérac[2], zonage d’étude défini par l'Insee, qui a remplacé en 2020 l'aire urbaine de Ribérac qui n'incluait pas la commune. La Peychay, affluent de la Dronne, prend sa source dans le sud-est de la commune.

Traversé par la route départementale (RD) 104, le petit bourg de Segonzac se situe, en distances orthodromiques, neuf kilomètres au nord-ouest de Saint-Astier et dix kilomètres au sud-est de Ribérac.

Le territoire communal est bordé à l'est par la RD 109.

Communes limitrophes

[modifier | modifier le code]

Segonzac est limitrophe de six autres communes. Au sud-ouest, son territoire est distant de moins de vingt mètres de celui de Saint-Vincent-de-Connezac.


Communes limitrophes de Segonzac
Saint-Pardoux-de-Drône Douchapt Tocane-Saint-Apre
Saint-Sulpice-de-Roumagnac Segonzac Saint-Aquilin
Chantérac

Géologie et relief

[modifier | modifier le code]

Situé sur la plaque nord du Bassin aquitain et bordé à son extrémité nord-est par une frange du Massif central, le département de la Dordogne présente une grande diversité géologique. Les terrains sont disposés en profondeur en strates régulières, témoins d'une sédimentation sur cette ancienne plate-forme marine. Le département peut ainsi être découpé sur le plan géologique en quatre gradins différenciés selon leur âge géologique. Segonzac est située dans le troisième gradin à partir du nord-est, un plateau formé de calcaires hétérogènes du Crétacé[3].

Les couches affleurantes sur le territoire communal sont constituées de formations superficielles du Quaternaire et de roches sédimentaires datant pour certaines du Cénozoïque, et pour d'autres du Mésozoïque. La formation la plus ancienne, notée c5c, date du Campanien 3, une alternance de marnes à glauconie et de calcaires crayo-marneux jaunâtres. La formation la plus récente, notée CFvs, fait partie des formations superficielles de type colluvions carbonatées de vallons secs : sable limoneux à débris calcaires et argile sableuse à débris. Le descriptif de ces couches est détaillé dans la feuille « no 758 - Périgueux (ouest) » de la carte géologique au 1/50 000 de la France métropolitaine[4],[5] et sa notice associée[6].

Carte géologique de Segonzac.

Relief et paysages

[modifier | modifier le code]

Le département de la Dordogne se présente comme un vaste plateau incliné du nord-est (491 m, à la forêt de Vieillecour dans le Nontronnais, à Saint-Pierre-de-Frugie) au sud-ouest (2 m à Lamothe-Montravel). L'altitude du territoire communal varie quant à elle entre 120 mètres et 211 mètres[7],[8].

Dans le cadre de la Convention européenne du paysage entrée en vigueur en France le , renforcée par la loi du 8 août 2016 pour la reconquête de la biodiversité, de la nature et des paysages, un atlas des paysages de la Dordogne a été élaboré sous maîtrise d’ouvrage de l’État et publié en [9]. Les paysages du département s'organisent en huit unités paysagères[Note 1],[10]. La commune est dans le Ribéracois, une région naturelle possédant un relief vallonné avec des altitudes moyennes comprises autour des 130-160 m, sculpté par la Dronne et ses nombreux affluents. Les paysages sont ondulés de grandes cultures dont les vastes horizons contrastent avec les paysages plus cloisonnés de la Dordogne[11],[12].

La superficie cadastrale de la commune publiée par l'Insee, qui sert de référence dans toutes les statistiques, est de 3,88 km2[7],[13],[Note 2]. La superficie géographique, issue de la BD Topo, composante du Référentiel à grande échelle produit par l'IGN, est quant à elle de 3,97 km2[5].

Hydrographie

[modifier | modifier le code]

Réseau hydrographique

[modifier | modifier le code]
Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseaux hydrographique et routier de Segonzac.

La commune est située dans le bassin de la Dordogne au sein du Bassin Adour-Garonne[16]. Elle est drainée par la Peychay et par deux petits cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de 4 km de longueur totale[17],[Carte 1].

La Peychay, d'une longueur totale de 10,55 km, prend sa source dans le sud-est de la commune et rejoint la Dronne en rive gauche à 60 mètres d'altitude, au sud-est du bourg de Villetoureix, en limite de Ribérac et Saint-Méard-de-Drône[18]. Elle traverse la commune du sud-est au nord-ouest sur plus de deux kilomètres.

Gestion et qualité des eaux

[modifier | modifier le code]

Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Isle - Dronne ». Ce document de planification, dont le territoire regroupe les bassins versants de l'Isle et de la Dronne, d'une superficie de 7 500 km2, a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'établissement public territorial de bassin de la Dordogne (EPIDOR)[19]. Il définit sur son territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le [20].

La qualité des eaux de baignade et des cours d’eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversité[Carte 2].

Historiquement, la commune est exposée à un climat océanique aquitain[21]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Aquitaine, Gascogne, caractérisée par une pluviométrie abondante au printemps, modérée en automne, un faible ensoleillement au printemps, un été chaud (19,5 °C), des vents faibles, des brouillards fréquents en automne et en hiver et des orages fréquents en été (15 à 20 jours)[22].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12,4 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,9 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 975 mm, avec 12,3 jours de précipitations en janvier et 7,2 jours en juillet[23]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Saint-Martin-de-Fressengeas à 7 km à vol d'oiseau[24], est de 12,4 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 050,4 mm[25],[26]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[27].

Au , Segonzac est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[28]. Elle est située hors unité urbaine[29]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Ribérac, dont elle est une commune de la couronne[Note 3],[29]. Cette aire, qui regroupe 24 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[30],[31].

Occupation des sols

[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (62,6 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (62,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (34,9 %), forêts (32,6 %), terres arables (27,7 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (4,8 %)[32]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Prévention des risques

[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Segonzac est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible)[33]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[34].

Segonzac est exposée au risque de feu de forêt. L’arrêté préfectoral du fixe les conditions de pratique des incinérations et de brûlage dans un objectif de réduire le risque de départs d’incendie. À ce titre, des périodes sont déterminées : interdiction totale du 15 février au 15 mai et du 15 juin au 15 octobre, utilisation réglementée du 16 mai au 14 juin et du 16 octobre au 14 février[35]. En septembre 2020, un plan inter-départemental de protection des forêts contre les incendies (PidPFCI) a été adopté pour la période 2019-2029[36],[37].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Segonzac.

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[38]. Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[39]. 99,5 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (58,6 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national métropolitain)[Carte 4]. Depuis le , en application de la loi ÉLAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 4],[40].

La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983 et 1999, par la sécheresse en 1989, 1992, 1997 et 2003 et par des mouvements de terrain en 1999[33].

Le nom est attesté par la forme ancienne Seguonzac en 1122[41].

L'origine du nom de Segonzac remonterait à un nom de personne gallo-romain Secundius auquel est apposé le suffixe -acum, ce qui correspondrait à Secundiacum, « domaine de Secundius »[41],[Note 5].

En français comme en occitan, la commune porte le même nom[42].

C'est en 1623 que la seigneurie de Segonzac fut érigée en baronnie par lettre patente du Roi Louis XIII, en faveur de François-Louis de Bardon, devenu 1er baron de Segonzac (famille toujours représentée sur la commune).

Politique et administration

[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs

[modifier | modifier le code]

Dès 1790, la commune de Segonzac a été rattachée au canton de Saint Vincent qui dépendait du district de Ribérac jusqu'en 1795, date de suppression des districts. Lorsque ce canton est supprimé par la loi du 8 pluviôse an IX () portant sur la « réduction du nombre de justices de paix », la commune est rattachée au canton de Montagrier dépendant de l'arrondissement de Ribérac jusqu'en 1926 puis de l'arrondissement de Périgueux[7].

Dans le cadre de la réforme de 2014 définie par le décret du , ce canton disparaît aux élections départementales de mars 2015[43]. La commune est alors rattachée au canton de Brantôme, renommé canton de Brantôme en Périgord en 2020.

Intercommunalité

[modifier | modifier le code]

En 1993, Segonzac intègre dès sa création la communauté de communes des Hauts de Dronne. Celle-ci est dissoute au et remplacée au par la communauté de communes du Pays Ribéracois, renommée en 2019 communauté de communes du Périgord Ribéracois.

Administration municipale

[modifier | modifier le code]

La population de la commune étant comprise entre 100 et 499 habitants au recensement de 2017, onze conseillers municipaux ont été élus en 2020[44],[45].

Liste des maires

[modifier | modifier le code]
Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
         
    André Mogear PCF Cultivateur
  13 juin 1877[46] Pierre Dumazeaud   Chevalier de la Légion d'honneur
         
1962 mars 2014 Pierre Aubert PS[47] Retraité de l'enseignement
mars 2014[48]
(réélu en mai 2020)
En cours Christophe Rossard DVG  

Équipements et services publics

[modifier | modifier le code]

En 2023, dans le domaine judiciaire, Segonzac relève[49] :

Population et société

[modifier | modifier le code]

Démographie

[modifier | modifier le code]

Les habitants de Segonzac se nomment les Segonzacois[50].

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[51]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[52].

En 2021, la commune comptait 202 habitants[Note 6], en évolution de −1,46 % par rapport à 2015 (Dordogne : −0,41 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
237249279293303334320298272
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
255309315245220221197191182
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
170165167134125117126135112
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
128124233217210217213222208
2015 2020 2021 - - - - - -
205200202------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[7] puis Insee à partir de 2006[53].)
Histogramme de l'évolution démographique

En 2015[54], parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs représentent 103 personnes, soit 50,2 % de la population municipale. Le nombre de chômeurs (vingt) a augmenté par rapport à 2010 (douze) et le taux de chômage de cette population active s'établit à 19,5 %.

Établissements

[modifier | modifier le code]

Au , la commune compte neuf établissements[55], dont quatre au niveau des commerces, transports ou services, deux relatifs au secteur administratif, à l'enseignement, à la santé ou à l'action sociale, deux dans l'industrie, et un dans la construction[56].

Culture locale et patrimoine

[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments

[modifier | modifier le code]

Personnalités liées à la commune

[modifier | modifier le code]
  • Famille de Bardon de Segonzac : famille des barons héréditaires de Segonzac depuis 1623.

Héraldique

[modifier | modifier le code]
Blason de Segonzac Blason
De gueules à une croix de Malte d'argent surmontée d'un lambel à cinq pendants du même[57].
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Pour approfondir

[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Articles connexes

[modifier | modifier le code]

Liens externes

[modifier | modifier le code]

Notes et références

[modifier | modifier le code]

Notes et cartes

[modifier | modifier le code]
  • Notes
  1. Une unité paysagère est un pan de territoire qui présente des caractéristiques paysagères propres.
  2. La superficie publiée par l’Insee est la superficie évaluée en 1975 par le service du cadastre de la Direction Générale des Impôts, corrigée des modifications communales intervenues depuis 1975. Elle comprend toutes les surfaces du domaine public et privé, cadastrées ou non cadastrées, à l'exception des lacs, étangs et glaciers de plus d'un kilomètre carré ainsi que des estuaires et ne correspond pas obligatoirement à la surface géographique[14],[15]
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
    • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
    • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
    • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
  5. Segonzac (Charente) et Segonzac (Corrèze) ont la même étymologie.
  6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. « Réseau hydrographique de Segonzac » sur Géoportail (consulté le 18 juillet 2022).
  2. « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le ).
  3. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  4. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références

[modifier | modifier le code]
  1. [PDF] Arrêté fixant la liste des communes rurales 2023, Recueil des actes administratifs normal no 4, Préfecture de la Dordogne, , p. 126-140.
  2. « Aire d'attraction des villes 2020 de Ribérac », sur insee.fr (consulté le ).
  3. « Géologie de la Dordogne - Périgord », sur espritdepays.com (consulté le ).
  4. « Carte géologique de Segonzac » sur Géoportail (consulté le 14 juin 2022).
  5. a et b « Caractéristiques géologiques et hydrogéologiques de la commune de Segonzac », sur le Système d’information pour la gestion des eaux souterraines (SIGES) en Occitanie (consulté le ).
  6. « Notice associée à la feuille no 758 - Périgueux (ouest) de la carte géologique harmonisée au 1/50 000 de la France métropolitaine », sur Infoterre, le site du BRGM (consulté le ).
  7. a b c et d Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  8. IGN, « Répertoire géographique des communes (RGC) 2014 », sur drive.google.com.
  9. « Pourquoi un Atlas des paysages du Dordogne ? », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
  10. « Unités paysagères de la Dordogne », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
  11. « Repères géographiques du Ribéracois », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
  12. « Portrait du Ribéracois », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
  13. Insee, « Comparateur de territoire - Commune de Segonzac », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  14. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Indicateurs en données ouvertes (superficie) », sur l'Observatoire des territoires (consulté le ).
  15. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Répertoire géographique des communes d'Île-de-France - définition de certains champs (dont la superficie) », sur data.iledefrance.fr (consulté le ).
  16. « Cartographie du bassin Adour-Garonne. », sur adour-garonne.eaufrance.fr (consulté le ).
  17. « Fiche communale de Segonzac », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en région Aquitaine (consulté le ).
  18. Sandre, « la Peychay »
  19. « SAGE Isle - Dronne », sur gesteau.fr (consulté le ).
  20. « Caractéristiques du SDAGE Adour-Garonne 2022-2027 », sur occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  21. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
  22. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  23. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  24. « Orthodromie entre Segonzac et Tocane-Saint-Apre », sur fr.distance.to (consulté le ).
  25. « Station Météo-France « Saint-Martin-de-Fressengeas » (commune de Saint-Martin-de-Fressengeas) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  26. « Station Météo-France « Saint-Martin-de-Fressengeas » (commune de Saint-Martin-de-Fressengeas) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  27. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  28. « La grille communale de densité », sur le site de l’Insee, (consulté le ).
  29. a et b Insee, « Métadonnées de la commune ».
  30. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Ribérac », sur insee.fr (consulté le ).
  31. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  32. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  33. a et b « Les risques près de chez moi - commune de Segonzac », sur Géorisques (consulté le ).
  34. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  35. « Dossier départemental des risques majeurs de la Dordogne », sur dordogne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Feux de forêts.
  36. « Protection de la forêt contre les incendies », sur le site de la DREAL de Nouvelle-Aquitaine, (consulté le ).
  37. « Plans Départementaux et Inter-Départementaux de Protection des Forêts Contre les Incendies », sur le site de la DREAL de Nouvelle-Aquitaine (consulté le ).
  38. « Dossier départemental des risques majeurs de la Dordogne », sur dordogne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
  39. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  40. « Sols argileux, sécheresse et construction », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
  41. a et b Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Librairie Guénégaud, (1re éd. 1963), 738 p. (ISBN 2-85023-076-6), p. 649..
  42. Le nom occitan des communes du Périgord - Segonzac sur le site du Conseil général de la Dordogne, consulté le 29 septembre 2021.
  43. Légifrance, « Décret no 2014-218 du 21 février 2014 portant délimitation des cantons dans le département de la Dordogne », sur legifrance.gouv.fr (consulté le ).
  44. Article L2121-2 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance, consulté le 14 septembre 2020.
  45. Résultats des élections municipales et communautaires 2020 sur le site du ministère de l'Intérieur, consulté le 25 novembre 2020.
  46. Mort en fonctions
  47. « Voici vos 557 maires », édition spéciale de Sud Ouest du 3 avril 2008, p. 15.
  48. Union départementale des maires de la Dordogne, consultée le 1er septembre 2014.
  49. « Annuaire des juridictions d'une commune », sur le site du ministère de la Justice (consulté le ).
  50. Nom des habitants des communes françaises sur le site habitants.fr, consulté le 24 novembre 2016.
  51. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  52. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  53. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  54. Dossier complet - Commune de Segonzac (24529) - Activités, emploi et chômage - tableaux EMP T2 et EMP T4 sur le site de l'Insee, consulté le 30 janvier 2019.
  55. « Établissement - Définition », sur Insee (consulté le ).
  56. Dossier complet - Commune de Segonzac (24529) - Établissements actifs par secteur d'activité - tableau CEN T1 sur le site de l'Insee, consulté le 30 janvier 2019.
  57. « 24529 Segonzac (Dordogne) », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).