Seti Kiole

Seti Kiole

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Fiche d'identité
Naissance (44 ans)
Holopeka (Tonga)
Taille 1,98 m (6 6)
Poste Ailier
Carrière en senior
PériodeÉquipeM (Pts)a
2001-2004
2004-2005
2005-2007
2007-2008
South Canterbury
Gloucester
ASM Clermont
US Montauban
18 (75)[1]
16 (10)[2]
6 (5)[2]
1 (0)[2]
Carrière en équipe nationale
PériodeÉquipeM (Pts)b
2005-2008 Tonga 9 (10)[3]

a Compétitions nationales et continentales officielles uniquement.
b Matchs officiels uniquement.
Dernière mise à jour le 5 février 2024.

Seti Kiole, né le à Holopeka (Tonga), est un joueur de rugby à XV tongien. Il évolue en équipe des Tonga et joue au poste d'ailier (1,98 m pour 118 kg).

Seti Kiole est né à Holopeka sur l'île de Lifuka aux Tonga[3]. Il est le cousin de l'international néo-zélandais Jonah Lomu[4]. En 2000, il participe avec l'équipe de rugby à XV de son lycée à une tournée en Nouvelle-Zélande[5].

En 2001, il commence sa carrière avec la province néo-zélandaise de South Canterbury en National Provincial Championship[1],[6]. Il joue quatre saisons avec cette équipe, inscrivant quinze essais en dix-huit matchs[1]. Jouant également avec le club amateur de Mackenzie dans le championnat provincial, il détient le record d'essai marqués en une saison, avec trente-cinq unités en 2003[7].

En , il est mis à l'essai par le club anglais de Gloucester[8]. Convaincant lors d'un match avec l'équipe réserve, où il marque deux essais, il obtient un contrat professionnel pour le restant de la saison[8]. Il joue seize matchs avec les Cherry and whites, pour deux essais marqués[2].

Après une saison en Angleterre, il s'engage avec l'ASM Clermont en Top 14[2],[9]. Il ne joue que six matchs lors de sa première saison en Auvergne[2]. Lors de sa deuxième saison, il ne joue aucune rencontre à cause d'une blessure au pied[2],[10].

En 2007, il rejoint l'US Montauban au sein du même championnat[11]. Il ne joue qu'un seul match avec sa nouvelle équipe, en en Challenge européen[12]. Par la suite, une nouvelle blessure au pied l'écarte des terrains pour le restant de la saison[13]. Il quitte le club au terme de la saison[2].

En équipe nationale

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Seti Kiole est sélectionné pour la première fois avec l'équipe des Tonga en pour participer à une tournée en Europe[14]. S'il ne connaît aucune sélection officielle, il joue plusieurs matchs, dont un face à l'Écosse[15].

Il honore finalement sa première cape internationale le contre les Fidji[3].

Il fait partie du groupe tongien sélectionné pour la Coupe du monde 2007 en France[16]. Toutefois, il ne joue aucun match à cause d'une blessure[17].

Notes et références

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  1. a b et c (en) « Seti Kiole », sur www.rugbyhistory.co.nz (consulté le )
  2. a b c d e f g et h « Seti Kiole », sur www.itsrugby.fr (consulté le )
  3. a b et c (en) « Seti Kiole », sur en.espn.co.uk (consulté le )
  4. (en) « Gloucester unveil Tonga giant to add size to their wings », sur www.thetimes.co.uk, (consulté le )
  5. « School Sports: Powerful Tongan boys impress local coaches », sur www.nzherald.co.nz, (consulté le )
  6. (en) « Southern battlers have lots to play for », sur www.nzherald.co.nz, (consulté le )
  7. (en) « South Canterbury senior club rugby's top scorers for 2019 », sur www.stuff.co.nz, (consulté le )
  8. a et b (en) « Gloucester and Exiles add to squads », sur en.espn.co.uk, (consulté le )
  9. « Rugby. La mode est aux ailiers polynésiens », sur www.ladepeche.fr, (consulté le )
  10. « Top 14. Esterhuizen à Clermont », sur www.ladepeche.fr, (consulté le )
  11. « Deux arrivées à Montauban », sur www.rugbyrama.fr, (consulté le )
  12. « Europe. Le MTG doit jouer plus fortissimo », sur www.ladepeche.fr, (consulté le )
  13. « Montauban: Reprise pour Kiole », sur www.rugbyrama.fr, (consulté le )
  14. (en) « Tonga select touring party », sur africa.espn.com, (consulté le )
  15. (en) « Scotland would be ill-advised to risk top internationalists », sur www.heraldscotland.com, (consulté le )
  16. « Tonga L'île de la tentative », sur www.liberation.fr, (consulté le )
  17. (en) « Vainikolo options open as neck injury rules out Tonga call-up », sur www.theguardian.com, (consulté le )

Liens externes

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