Siorac-de-Ribérac

Siorac-de-Ribérac
Siorac-de-Ribérac
L'église de Siorac-de-Ribérac.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Dordogne
Arrondissement Périgueux
Intercommunalité Communauté de communes du Périgord Ribéracois
Maire
Mandat
Jean-Pierre Chaumette
2020-2026
Code postal 24600
Code commune 24537
Démographie
Population
municipale
254 hab. (2021 en évolution de −1,93 % par rapport à 2015)
Densité 12 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 11′ 54″ nord, 0° 21′ 32″ est
Altitude Min. 73 m
Max. 195 m
Superficie 20,86 km2
Type Commune rurale à habitat très dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Ribérac
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Ribérac
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Siorac-de-Ribérac
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Liens
Site web www.sioracderiberac.fr

Siorac-de-Ribérac est une commune française située dans le département de la Dordogne, en région Nouvelle-Aquitaine.

Géographie

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Généralités

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Dans l'ouest du département de la Dordogne, la commune de Siorac-de-Ribérac est située en forêt de la Double. C'est une commune rurale[1] qui fait partie de l'aire d'attraction de Ribérac[2], zonage d’étude défini par l'Insee, qui a remplacé en 2020 l'aire urbaine de Ribérac qui n'incluait pas la commune. Elle est majoritairement située en rive droite de la Rizonne, avec une zone d'environ deux kilomètres carrés en rive gauche, au sud-ouest, autour du lieu-dit Courbarieux. Elle est également arrosée par son affluent le ruisseau des Écluses.

La commune est desservie par la route départementale (RD) 44 au sud, la RD 13 à l'ouest, la RD 43 au nord et la RD 709 à l'est. Le bourg est établi à moins d'un kilomètre de ces deux dernières. Il est situé en distances orthodromiques six kilomètres au sud-sud-est de Ribérac et quatorze kilomètres au nord-ouest de Saint-Astier.

Communes limitrophes

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Siorac-de-Ribérac est limitrophe de six autres communes.


Communes limitrophes de Siorac-de-Ribérac
Saint-Martin-de-Ribérac Saint-Sulpice-de-Roumagnac
Vanxains Siorac-de-Ribérac
La Jemaye-Ponteyraud Saint-André-de-Double Saint-Vincent-de-Connezac

Géologie et relief

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Situé sur la plaque nord du bassin aquitain et bordé à son extrémité nord-est par une frange du Massif central, le département de la Dordogne présente une grande diversité géologique. Les terrains sont disposés en profondeur en strates régulières, témoins d'une sédimentation sur cette ancienne plate-forme marine. Le département peut ainsi être découpé sur le plan géologique en quatre gradins différenciés selon leur âge géologique. Siorac-de-Ribérac est située dans le troisième gradin à partir du nord-est, un plateau formé de calcaires hétérogènes du Crétacé[3].

Les couches affleurantes sur le territoire communal sont constituées de formations superficielles du Quaternaire et de roches sédimentaires datant pour certaines du Cénozoïque, et pour d'autres du Mésozoïque. La formation la plus ancienne, notée c5d, date du Campanien 4, des calcaires crayo-marneux grisâtres et des calcaires graveleux bioclastiques à orbitoides. La formation la plus récente, notée CFvs, fait partie des formations superficielles de type colluvions carbonatées de vallons secs : sable limoneux à débris calcaires et argile sableuse à débris. Le descriptif de ces couches est détaillé dans les feuilles « no 757 - Ribérac » et « no 758 - Périgueux (ouest) » de la carte géologique au 1/50 000 de la France métropolitaine[4],[5] et leurs notices associées[6],[7].

Carte géologique de Siorac-de-Ribérac.

Relief et paysages

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Le département de la Dordogne se présente comme un vaste plateau incliné du nord-est (491 m, à la forêt de Vieillecour dans le Nontronnais, à Saint-Pierre-de-Frugie) au sud-ouest (2 m à Lamothe-Montravel). L'altitude du territoire communal varie quant à elle entre 73 mètres[8] au sud-ouest, là où la Rizonne quitte le territoire communal et devient limite entre Vanxains et La Jemaye-Ponteyraud (territoire de l'ancienne commune de La Jemaye), et 195 mètres[8] au nord-est, au lieu-dit le Temple, en limite de Saint-Martin-de-Ribérac[9].

Dans le cadre de la Convention européenne du paysage entrée en vigueur en France le , renforcée par la loi du 8 août 2016 pour la reconquête de la biodiversité, de la nature et des paysages, un atlas des paysages de la Dordogne a été élaboré sous maîtrise d’ouvrage de l’État et publié en [10]. Les paysages du département s'organisent en huit unités paysagères[Note 1],[11]. La commune fait partie de la Double, au sein de l'unité de paysage « La Double et le Landais », deux plateaux ondulés, dont la pente générale descend de l'est vers l'ouest. À l'est, les altitudes atteignent ainsi les 200 m pour les plus élevées (233 m au sud de Tocane-Saint-Apre). Vers l'ouest, le relief s’adoucit et les altitudes maximales culminent autour des 100 mètres[12]. Les paysages sont forestiers aux horizons limités, avec peu de repères, ponctués de clairières agricoles habitées[13].

La superficie cadastrale de la commune publiée par l'Insee, qui sert de référence dans toutes les statistiques, est de 20,86 km2[8],[14],[Note 2]. La superficie géographique, issue de la BD Topo, composante du référentiel à grande échelle produit par l'IGN, est quant à elle de 20,93 km2[5].

Hydrographie

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Réseau hydrographique

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La commune est située dans le bassin de la Dordogne au sein du Bassin Adour-Garonne[17]. Elle est drainée par la Rizonne, le ruisseau du Boulanger, le ruisseau de Courbarieux, le ruisseau des Écluses et par divers petits cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de 23 km de longueur totale[18],[Carte 1].

La Rizonne, d'une longueur totale de 26,73 km, prend sa source dans la commune de Saint-Vincent-de-Connezac et se jette dans la Dronne en rive gauche en limite de Saint Aulaye-Puymangou et de Bonnes, un kilomètre et demi au nord du centre bourg de Saint-Aulaye[19],[20]. Elle traverse le sud de la commune d'est en ouest sur six kilomètres et demi, servant de limite naturelle sur plus de cinq kilomètres face à Saint-Vincent-de-Connezac et Saint-André-de-Double.

Affluent de rive droite de la Rizonne, le ruisseau des Écluses prend sa source au sud du bourg et arrose le territoire communal sur quatre kilomètres.

Le ruisseau de Courbarieux, affluent de rive gauche de la Rizonne, marque la limite communale au sud-ouest sur près de deux kilomètres et demi, face à La Jemaye-Ponteyraud.

Le ruisseau du Boulanger, affluent de rive gauche de la Dronne, prend sa source dans le nord-ouest de la commune qu'il baigne sur plus de 500 mètres.

Gestion et qualité des eaux

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Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Isle - Dronne ». Ce document de planification, dont le territoire regroupe les bassins versants de l'Isle et de la Dronne, d'une superficie de 7 500 km2, a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'établissement public territorial de bassin de la Dordogne (EPIDOR)[21]. Il définit sur son territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du bassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le [22].

La qualité des eaux de baignade et des cours d’eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversité[Carte 2].

Historiquement, la commune est exposée à un climat océanique aquitain[23]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est dans une zone de transition entre le climat océanique et le climat océanique altéré et est dans la région climatique Aquitaine, Gascogne, caractérisée par une pluviométrie abondante au printemps, modérée en automne, un faible ensoleillement au printemps, un été chaud (19,5 °C), des vents faibles, des brouillards fréquents en automne et en hiver et des orages fréquents en été (15 à 20 jours)[24].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12,3 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,7 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 952 mm, avec 11,8 jours de précipitations en janvier et 7 jours en juillet[25]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Saint-Martin-de-Ribérac à 4 km à vol d'oiseau[26], est de 13,5 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 916,6 mm[27],[28]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[29].

Au , Siorac-de-Ribérac est catégorisée commune rurale à habitat très dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[30]. Elle est située hors unité urbaine[31]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Ribérac, dont elle est une commune de la couronne[Note 3],[31]. Cette aire, qui regroupe 24 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[32],[33].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (70,4 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (69,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (63,4 %), zones agricoles hétérogènes (23,4 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (7 %), prairies (5,8 %), terres arables (0,4 %)[34]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Prévention des risques

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Le territoire de la commune de Siorac-de-Ribérac est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible)[35]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[36].

Siorac-de-Ribérac est exposée au risque de feu de forêt. L’arrêté préfectoral du fixe les conditions de pratique des incinérations et de brûlage dans un objectif de réduire le risque de départs d’incendie. À ce titre, des périodes sont déterminées : interdiction totale du 15 février au 15 mai et du 15 juin au 15 octobre, utilisation réglementée du 16 mai au 14 juin et du 16 octobre au 14 février[37]. En septembre 2020, un plan inter-départemental de protection des forêts contre les incendies (PidPFCI) a été adopté pour la période 2019-2029[38],[39].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Siorac-de-Ribérac.

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[40]. Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[41]. 94,6 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (58,6 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national métropolitain)[Carte 4]. Depuis le , en application de la loi ÉLAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 4],[42].

La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983, 1986 et 1999, par la sécheresse en 1989, 1992, 2003 et 2009 et par des mouvements de terrain en 1999[35].

En occitan, la commune porte le nom de Sieurac de Rabairac[43].

Sur la planète Mars, en , l'une des cibles d'analyses poussées effectuées sur un affleurement rocheux par l'astromobile Curiosity de la NASA, est baptisée d'après la commune[44].

En 2005, plusieurs fours superposés datant du Ier au IIIe siècle, des zones d'extraction d'argile et de nombreux tessons de céramique furent découverts dans un secteur de la forêt de la Double situé sur la commune[45].

Politique et administration

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Rattachements administratifs

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Dès 1790, la commune de Siorac-de-Ribérac a été rattachée au canton de Saint Vincent qui dépendait du district de Ribérac jusqu'en 1795, date de suppression des districts. Lorsque ce canton est supprimé par la loi du 8 pluviôse an IX () portant sur la « réduction du nombre de justices de paix », la commune est rattachée au canton de Ribérac dépendant de l'arrondissement de Ribérac jusqu'en 1926 puis de l'arrondissement de Périgueux[8].

Dans le cadre de la réforme de 2014 définie par le décret du , la commune reste rattachée à ce canton qui s'élargit, passant de 13 à 35 communes lors des élections départementales de mars 2015[46].

Intercommunalité

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Fin 1998, Siorac-de-Ribérac intègre dès sa création la communauté de communes du Ribéracois. Celle-ci est dissoute au et remplacée au par la communauté de communes du Pays Ribéracois, renommée en 2019 communauté de communes du Périgord Ribéracois.

Administration municipale

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La population de la commune étant comprise entre 100 et 499 habitants au recensement de 2017, onze conseillers municipaux ont été élus en 2020[47],[48].

Liste des maires

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
         
avant 1851 après 1851 Lebas-de-Lacour    
         
1870 1897 Sabrier    
         
1953 1985 Léopold Dignac    
         
1989 mars 2001 Armand Benoît   Expert foncier et agricole retraité
mars 2001
(réélu en mai 2020)
En cours Jean-Pierre Chaumette SE[49] Voyagiste

Politique environnementale

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Dans son palmarès 2023, le Conseil national de villes et villages fleuris de France a attribué deux fleurs à la commune[50].

Équipements et services publics

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En 2023, dans le domaine judiciaire, Siorac-de-Ribérac relève[51] :

Population et société

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Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[52]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[53].

En 2021, la commune comptait 254 habitants[Note 5], en évolution de −1,93 % par rapport à 2015 (Dordogne : −0,41 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
707774750801845780778727755
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
718726682613619638606587569
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
566534538505471461425382315
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
291270226228227265260258257
2018 2021 - - - - - - -
248254-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[8] puis Insee à partir de 2006[54].)
Histogramme de l'évolution démographique

En 2015[55], parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs représentent 108 personnes, soit 41,7 % de la population municipale. Le nombre de chômeurs (dix) a augmenté par rapport à 2010 (cinq) et le taux de chômage de cette population active s'établit à 9,3 %.

Établissements

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Au , la commune compte trente-huit établissements[56], dont vingt-deux au niveau des commerces, transports ou services, neuf dans l'agriculture, la sylviculture ou la pêche, quatre dans la construction, deux dans l'industrie, et un relatif au secteur administratif[57].

Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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Église Saint-Pierre-ès-Liens

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Manoir de la Meynardie

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Sur une base du XIIIe siècle, le manoir de la Meynardie a été modifié du XVe au XVIIe siècle et amputé d'une tour au XXe siècle[58].

Personnalités liées à la commune

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Héraldique

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Blason de Siorac-de-Ribérac Blason
De gueules au lion d’argent armé, lampassé et couronné d’or, accompagné de dix besants aussi d’argent ordonnés en orle[59].
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Galerie de photos

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Pour approfondir

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Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie

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  • Léopold Dignac, Monographie de Siorac-de-Ribérac, Imprimerie périgourdine, (sans date, c. 1960), avec photos.

Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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Notes et cartes

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  • Notes
  1. Une unité paysagère est un pan de territoire qui présente des caractéristiques paysagères propres.
  2. La superficie publiée par l’Insee est la superficie évaluée en 1975 par le service du cadastre de la Direction Générale des Impôts, corrigée des modifications communales intervenues depuis 1975. Elle comprend toutes les surfaces du domaine public et privé, cadastrées ou non cadastrées, à l'exception des lacs, étangs et glaciers de plus d'un kilomètre carré ainsi que des estuaires et ne correspond pas obligatoirement à la surface géographique[15],[16]
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
    • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
    • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
    • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. « Réseau hydrographique de Siorac-de-Ribérac » sur Géoportail (consulté le 18 juillet 2022).
  2. « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le ).
  3. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  4. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références

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  1. [PDF] Arrêté fixant la liste des communes rurales 2023, Recueil des actes administratifs normal no 4, Préfecture de la Dordogne, , p. 126-140.
  2. « Aire d'attraction des villes 2020 de Ribérac », sur insee.fr (consulté le ).
  3. « Géologie de la Dordogne - Périgord », sur espritdepays.com (consulté le ).
  4. « Carte géologique de Siorac-de-Ribérac » sur Géoportail (consulté le 14 juin 2022).
  5. a et b « Caractéristiques géologiques et hydrogéologiques de la commune de Siorac-de-Ribérac », sur le Système d’information pour la gestion des eaux souterraines (SIGES) en Occitanie (consulté le ).
  6. « Notice associée à la feuille no 757 - Ribérac de la carte géologique harmonisée au 1/50 000 de la France métropolitaine », sur Infoterre, le site du BRGM (consulté le ).
  7. « Notice associée à la feuille no 758 - Périgueux (ouest) de la carte géologique harmonisée au 1/50 000 de la France métropolitaine », sur Infoterre, le site du BRGM (consulté le ).
  8. a b c d et e Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  9. IGN, « Répertoire géographique des communes (RGC) 2014 », sur drive.google.com.
  10. « Pourquoi un Atlas des paysages du Dordogne ? », sur atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
  11. « Unités paysagères de la Dordogne », sur atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
  12. « la Double et le Landais-repères géographiques », sur atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
  13. « Portrait de l'unité de paysage la Double et le Landais », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
  14. Insee, « Comparateur de territoire - Commune de Siorac-de-Ribérac », sur Insee (consulté le ).
  15. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Indicateurs en données ouvertes (superficie) », sur l'Observatoire des territoires (consulté le ).
  16. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Répertoire géographique des communes d'Île-de-France - définition de certains champs (dont la superficie) », sur data.iledefrance.fr (consulté le ).
  17. « Cartographie du bassin Adour-Garonne. », sur adour-garonne.eaufrance.fr (consulté le ).
  18. « Fiche communale de Siorac-de-Ribérac », sur système d'information pour la gestion des eaux souterraines en région Aquitaine (consulté le ).
  19. « Confluence Rizonne-Dronne au nord-est du lieu-dit Labinaud » sur Géoportail (consulté le 24 octobre 2022)..
  20. Sandre, « la Rizonne ».
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  29. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
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