Siorac-en-Périgord est limitrophe de sept autres communes. Au sud, son territoire est distant d'environ 250 mètres de celui de Saint-Pardoux-et-Vielvic.
Les limites communales de Siorac-en-Périgord et celles de ses communes adjacentes.
Situé sur la plaque nord du Bassin aquitain et bordé à son extrémité nord-est par une frange du Massif central, le département de la Dordogne présente une grande diversité géologique. Les terrains sont disposés en profondeur en strates régulières, témoins d'une sédimentation sur cette ancienne plate-forme marine. Le département peut ainsi être découpé sur le plan géologique en quatre gradins différenciés selon leur âge géologique. Siorac-en-Périgord est située dans le troisième gradin à partir du nord-est, un plateau formé de calcaires hétérogènes du Crétacé[1].
Les couches affleurantes sur le territoire communal sont constituées de formations superficielles du Quaternaire et de roches sédimentaires datant pour certaines du Cénozoïque, et pour d'autres du Mésozoïque. La formation la plus ancienne, notée c4b-c, date du Santonien moyen à supérieur, composée de calcaire crayo-glauconieux avec niveaux à huîtres (P. vesicularis), devenant au sommet plus grossier à silex et rudistes (formation de Saint-Félix-de-Reillac), faciès pouvant évoluer vers des sables fins et grès carbonatés à rudistes. La formation la plus récente, notée CFp, fait partie des formations superficielles de type colluvions indifférenciées de versant, de vallon et plateaux issues d'alluvions, molasses, altérites. Le descriptif de ces couches est détaillé dans les feuilles « no 807 - Le Bugue » et « no 831 - Belvès » de la carte géologique au 1/50 000 de la France métropolitaine[2],[3] et leurs notices associées[4],[5].
terrasses sous-flandriennes indifférenciées : sables, graviers et galets localement de grande taille (Weichsélien - '-Wurm'-)
Fxb(b) :
Basses terrasses (RD Garonne) - Terrasse d'Izon (type 6) indifférenciée : limons et sables jaunes à graviers et galets siliceux et petits galets calcaires (Saalien - Riss)
Fwb(D) :
Moyennes terrasses - Terrasses de Malleret sup. indifférenciées (types 3 à 5) : argiles à graviers, galets à la base et sables fins à moyens au sommet (Elstérien - '-Mindel'-)
Campanien 3 : alternance de marnes à glauconie et calcaires crayo-marneux jaunâtres (formations de Biron et de Coursac), présence localement de niveaux de calcaires gréseux fins ocre à Larrazetia et tempestites (formation de Journiac)
Le département de la Dordogne se présente comme un vaste plateau incliné du nord-est (491 m, à la forêt de Vieillecour dans le Nontronnais, à Saint-Pierre-de-Frugie) au sud-ouest (2 m à Lamothe-Montravel). L'altitude du territoire communal varie quant à elle entre 46 mètres et 193 mètres[6],[7].
La superficie cadastrale de la commune publiée par l'Insee, qui sert de référence dans toutes les statistiques, est de 11,77 km2[6],[11],[Note 2]. La superficie géographique, issue de la BD Topo, composante du Référentiel à grande échelle produit par l'IGN, est quant à elle de 11,72 km2[3].
La commune est située dans le bassin de la Dordogne au sein du Bassin Adour-Garonne[14]. Elle est drainée par la Dordogne, la Nauze, la Vallée, le Raunel, le ruisseau de Brande, le ruisseau de Font Caude et par divers petits cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de 19 km de longueur totale[15],[Carte 1].
La Nauze, d'une longueur totale de 17,59 km, prend sa source dans la commune de Mazeyrolles et se jette dans la Dordogne en rive gauche à Siorac-en-Périgord, face à Coux et Bigaroque-Mouzens[18],[19]. Elle traverse le territoire communal du sud-est au nord sur plus de quatre kilomètres.
La Vallée, d'une longueur totale de 11,33 km, prend sa source dans la commune de Saint-Laurent-la-Vallée et se jette dans la Nauze en rive droite à Siorac-en-Périgord[20]. Elle arrose l'est de la commune sur plus d'un kilomètre dont la moitié sert de limite naturelle face à Sagelat.
Le Raunel, affluent de rive gauche de la Nauze, marque la limite territoriale au sud-est sur près de 500 mètres, en limite de Monplaisant.
Le ruisseau de Brande, affluent de rive gauche de la Dordogne borde brièvement la commune au nord-ouest sur 400 mètres, face à Urval et Le Buisson-de-Cadouin.
Son affluent de rive droite le ruisseau de Font Caude baigne le nord-ouest du territoire communal sur près de deux kilomètres.
Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Dordogne amont ». Ce document de planification, dont le territoire s'étend des sources de la Dordogne jusqu'à la confluence de la Vézère à Limeuil, d'une superficie de 9 700 km2 est en cours d'élaboration. La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'établissement public territorial de bassin de la Dordogne (EPIDOR)[21]. Il définit sur son territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le [22].
Historiquement, la commune est exposée à un climat océanique aquitain[23].
En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Aquitaine, Gascogne, caractérisée par une pluviométrie abondante au printemps, modérée en automne, un faible ensoleillement au printemps, un été chaud (19,5 °C), des vents faibles, des brouillards fréquents en automne et en hiver et des orages fréquents en été (15 à 20 jours)[24].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 13 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,3 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 862 mm, avec 11,5 jours de précipitations en janvier et 7,1 jours en juillet[25]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Pays de Belvès à 5 km à vol d'oiseau[26], est de 13,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 888,2 mm[27],[28]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[29].
La Dordogne est un site du réseau Natura 2000 limité aux départements de la Dordogne et de la Gironde, et qui concerne les 104 communes riveraines de la Dordogne, dont Siorac-en-Périgord[30],[31]. Seize espèces animales et une espèce végétale inscrites à l'annexe II de la directive 92/43/CEE de l'Union européenne y ont été répertoriées[32].
Siorac-en-Périgord fait partie des 102 communes concernées par la zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) de type II « La Dordogne »[33],[34], dans laquelle ont été répertoriées huit espèces animales déterminantes et cinquante-sept espèces végétales déterminantes, ainsi que quarante-trois autres espèces animales et trente-neuf autres espèces végétales[35].
Au , Siorac-en-Périgord est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[36].
Elle est située hors unité urbaine[37] et hors attraction des villes[38],[39].
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnéeseuropéenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (69,5 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (71,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante :
terres arables (32,3 %), zones agricoles hétérogènes (24 %), forêts (19,8 %), prairies (13,2 %), eaux continentales[Note 3] (6,1 %), zones urbanisées (4,5 %)[40]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment la Dordogne, la Nauze et la Vallée. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1990, 1993, 1996, 1999, 2008, 2011 et 2021[43],[41]. Le risque inondation est pris en compte dans l'aménagement du territoire de la commune par le biais du plan de prévention des risques inondation (PPRI) de la « vallée de la Dordogne amont » approuvé le , pour les crues de la Dordogne[44],[45].
Siorac-en-Périgord est exposée au risque de feu de forêt. L’arrêté préfectoral du fixe les conditions de pratique des incinérations et de brûlage dans un objectif de réduire le risque de départs d’incendie. À ce titre, des périodes sont déterminées : interdiction totale du 15 février au 15 mai et du 15 juin au 15 octobre, utilisation réglementée du 16 mai au 14 juin et du 16 octobre au 14 février[46]. En septembre 2020, un plan inter-départemental de protection des forêts contre les incendies (PidPFCI) a été adopté pour la période 2019-2029[47],[48].
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[49]. Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[50]. 43,5 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (58,6 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national métropolitain)[Carte 4]. Depuis le , en application de la loi ÉLAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 4],[51].
La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2019 et par des mouvements de terrain en 1999[41].
La commune est en outre située en aval du barrage de Bort-les-Orgues, un ouvrage de classe A[Note 5] situé dans le département de la Corrèze et faisant l'objet d'un PPI depuis 2009. À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture de cet ouvrage[53].
En occitan, la commune porte le nom de Sieurac de Perigòrd[54].
Sur la planète Mars, en , l'une des cibles d'analyses poussées effectuées sur un affleurement rocheux par l'astromobile Curiosity de la NASA, est baptisée d'après la commune[55].
Le , le conseil municipal de la commune de « Siorac-et-Fongauffier », dans le canton de Belvès, constate que la commune est également souvent nommée « Siorac-de-Belvès » et que cela provoque d'importants retards dans l'acheminement des correspondances du fait de confusions. Il demande que le nom de la commune soit changé en « Siorac-en-Périgord ». Dans sa séance du , le conseil général de la Dordogne adopte cette proposition à la suite de l'avis favorable du directeur des Postes et Télégraphes et du Préfet[56],[57]. Le , la commune de « Siorac-et-Fongauffier » est autorisée par décret à modifier son nom pour prendre celui de « Siorac-en-Périgord »[58].
La population de la commune étant comprise entre 500 et 1 499 habitants au recensement de 2017, quinze conseillers municipaux ont été élus en 2020[59],[60].
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[65]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[66].
En 2021, la commune comptait 1 067 habitants[Note 7], en évolution de +2,89 % par rapport à 2015 (Dordogne : −0,41 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
En 2015[68], parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs représentent 384 personnes, soit 37,0 % de la population municipale. Le nombre de chômeurs (63) a augmenté par rapport à 2010 (61) et le taux de chômage de cette population active s'établit à 16,4 %.
Au , la commune compte 127 établissements[69], dont 79 au niveau des commerces, transports ou services, vingt dans la construction, treize relatifs au secteur administratif, à l'enseignement, à la santé ou à l'action sociale, neuf dans l'industrie, et six dans l'agriculture, la sylviculture ou la pêche[70].
Dans le secteur du commerce, parmi les entreprises dont le siège social est en Dordogne, la société « Crilodis » (supermarché) implantée à Siorac-en-Périgord se classe en 48e position quant au chiffre d'affaireshors taxes en 2015-2016, avec 13 021 k€[71].
Le pont de Siorac[72] fut érigé sous le Second Empire. Il fut livré à la circulation en 1857. Au début ses usagers étaient des clients. Il fallait acquitter un péage. Fort heureusement, cet ouvrage est rapidement devenu accessible sans droit de passage. Il est implanté très légèrement en amont de l'ancien gué. Il supplanta, en son temps, plusieurs ouvrages plus vulnérables emportés par le courroux du fleuve. Placé sous la protection de la Vierge, sa bienveillante surveillante, ou grâce au génie civil de ses constructeurs, ce pont n'a pas subi les caprices dévastateurs du cours d'eau qui, depuis plus d'un demi-siècle, sont atténués par les barrages, notamment ceux d'Argentat et de Bort-les-Orgues.
Le château du Moyen Âge a été construit à Siorac vers 1100. Le château étant en ruines, il a été acheté par les de Lavalle vers 1810 et reconstruit avec les mêmes pierres médiévales, seule la tour n'a pas été refaite mais un toit a été installé au-dessus de celle-ci. Le château a été racheté ensuite par les Bargines vers 1885 qui sont devenus les Panek, vivant toujours à l'endroit où était le château (le château se trouvant juste en face de la mairie).
Le château de Siorac[73] date du XVIIIe siècle. C'est un logis à deux niveaux entre deux pavillons à trois niveaux. Les toits sont brisés et couverts de tuiles et ne comportent pas de lucarnes. Le château a été construit sur les ruines d'un ancien repaire noble détruit au cours des guerres de religion. Il a longtemps appartenu à la famille de la Verrie de Siorac, comte de Vivans.
Dolmen de Cayre Leva, au sud de Siorac, près du hameau de Cayre Leva et de la route de Cayre Leva[74].
L'église Saint-Pierre-ès-Liens[75],[76]. La première église date de 1143. L'évêque de Périgueux la donne en 1199 à l'abbaye de La Grande-Sauve. Elle est détruite pendant la guerre de Cent Ans en ne laissant que quelques moellons à la base de l'église actuelle. Reconstruite dans le style gothique, elle est brûlée par les troupes protestantes du vicomte de Turenne. Elle est réparée au début du XVIIe siècle. Les quatre co-seigneurs de Siorac ont fait réaliser les quatre chapelles qui devaient servir pour leurs sépultures. Trois cloches ont été installées dans l'église : la plus grosse en 1764, les deux autres datent de 1839 et 1840. Jusqu'en 1900, le cimetière entourait l'église. L'horloge et l'électrification datent de 1954.
Jean de Sireuil, capitaine Sireuil, capitaine du régiment de Picardie, fils bâtard de François de Sireuil, frère de Jean II de Sireuil, co-seigneur de Siorac, légitimé par lettre du roi Henri III de . Du mariage de Jean de Sireuil avec Françoise d'Abzac de la Douze est née Marie de Sireuil, dame de Siorac, mariée en 1598 à Pons du Lion de Belcastel. Marie de Sireuil a donné le quart de la seigneurie de Siorac au capitaine Sireuil, son cousin bâtard, qui la lui a restituée par son testament du [77].
Élie Creyssensac, né le à Siorac-en-Périgord, armurier et fabricant de compresseurs d'air, il a fondé la société Creyssensac en 1934[78].
Robert Merle (1908-2004), a écrit Fortune de France, une fresque historique en 13 volumes qu'il a située à Siorac au début du récit (tome 1).
↑Une unité paysagère est un pan de territoire qui présente des caractéristiques paysagères propres.
↑La superficie publiée par l’Insee est la superficie évaluée en 1975 par le service du cadastre de la Direction Générale des Impôts, corrigée des modifications communales intervenues depuis 1975. Elle comprend toutes les surfaces du domaine public et privé, cadastrées ou non cadastrées, à l'exception des lacs, étangs et glaciers de plus d'un kilomètre carré ainsi que des estuaires et ne correspond pas obligatoirement à la surface géographique[12],[13]
↑Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
↑Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
↑Le classement des barrages est fonction de deux paramètres : hauteur et volume retenu[52].
↑Démissionne de la fonction de maire et devient premier adjoint.
↑Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
↑Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
↑Carte du site « la Dordogne », INPN, consulté le . Afin de visualiser correctement la zone par rapport aux communes, cliquer en haut à droite sur la fenêtre « Couches disponibles », barrer d'abord la couche « Orthophotos » avant de cliquer sur « Fonds de cartes », puis sur la couche « Fonds Cartographique IGN ».
↑Carte de la ZNIEFF « la Dordogne », INPN, consulté le . Afin de visualiser correctement la zone par rapport aux communes, cliquer en haut à droite sur la fenêtre « Couches disponibles », barrer d'abord la couche « Orthophotos » avant de cliquer sur « Fonds de cartes », puis sur la couche « Fonds Cartographique IGN ».