La Société des Avions Michel Wibault a été créée en 1919 par Michel Wibault (1897-1963)[1]. Ses ateliers de construction étaient installés à Billancourt.
↑« Les avions Wibault », L'Aéronautique, no 30, , p. 476-477 (lire en ligne)
↑« Les avions Wibault », L'Aéronautique, no 30, , p. 477 (lire en ligne) ; « L'avion 3C-1 Michel Wibault », L'Aéronautique, no 43, , p. 420 (lire en ligne)
↑« L'avion M. Wibault 7C 1 », L'Aéronautique, no 67, , p. 101-103 (lire en ligne) ; « L'avion M. Wibault 7C 1 », L'Aéronautique, no 67, , p. 108 (lire en ligne);
« Le monoplan métallique Wibault », L'Aéronautique, no 73, , p. 213 (lire en ligne) ; « Trains d’atterrissage et systèmes amortisseurs », L'Aéronautique, no 91, , p. 412 (lire en ligne) ; « Société anonyme des avions Michel Wibault », L'Aéronautique, no 109, , p. 198 (lire en ligne) ; « Répertoire commercial, Avions Michel Wibault, Avion Wibault 70 C 1 », L'Aéronautique, nos 122-123, , p. 24 (lire en ligne)
↑« Le biplace métallique Wibault 8 C-2 », L'Aéronautique, no 85, , p. 215 (lire en ligne) ; « Avions militaires biplaces et multiplaces », L'Aéronautique, no 106, , p. 80 (lire en ligne)
↑« Le Wibault 9, totalement métallique », L'Aéronautique, no 80, , p. 20 (lire en ligne)
↑« Avions militaires biplaces et multiplaces », L'Aéronautique, no 106, , p. 80 (lire en ligne)
↑« Le biplace de chasse et de reconnaissance Wibault 12 C 2 », L'Aéronautique, no 101, , p. 331 (lire en ligne) ; « Avions militaires biplaces et multiplaces », L'Aéronautique, no 106, , p. 80 (lire en ligne)
↑« Aviation militaire. Monoplace de chasse. Wibault-Penhoet 72 », L'Aéronautique, no 151, , p. 419 (lire en ligne) ; « Tenue d'un avion métallique dans une collision en vol », L'Aéronautique, no 160, , p. 296 (lire en ligne)
↑« Société anonyme des avions Michel Wibault », L'Aéronautique, no 109, , p. 198 (lire en ligne) ; « Répertoire commercial, Avions Michel Wibault, Avion Wibault 121 », L'Aéronautique, nos 122-123, , p. 25 (lire en ligne)
↑« Wibault 122 Napier », L'Aéronautique, no 107, , p. 114 (lire en ligne)
↑« Le Wibault léger "Trombe" », L'Aéronautique, no 106, , p. 79 (lire en ligne)
↑« L'avion monoplace Wibault 170 C1 », L'Aéronautique, no 109, , p. 211 (lire en ligne) ; « Société anonyme des avions Michel Wibault », L'Aéronautique, no 109, , p. 198 (lire en ligne)
↑« Le monoplace léger Wibault 210 C-1 », L'Aéronautique, no 120, , p. 142-143 (lire en ligne)
↑« Le bimoteur de reconnaissance Wibault 220 R.N. 3 », L'Aéronautique, no 134, , p. 244-246 (lire en ligne)
↑« Croquis de structure du Wibault 260 R. 2 », L'Aéronautique, no 139, , p. 488 (lire en ligne)
↑« Le trimoteur de transport Wibault 280 T. 10 », L'Aéronautique, no 139, , p. 487-488 (lire en ligne)
↑« Le monomoteur Wibault-Penhoet 282 T.13 », L'Aéronautique, no 163, , p. 398 (lire en ligne) ; « Transport aérien. Trimoteur. Wibault-Penhoet 282 T.13 », L'Aéronautique, no 163, , p. 392 (lire en ligne) ; « Chantiers aéronautiques Wibault-Penhoet », L'Aéronautique, no 175, , p. 314 (lire en ligne)
↑« Éléments de structure du Wibault-Penhoet 283 », L'Aéronautique, no 175, , p. 315 (lire en ligne) ; « Chantiers aéronautiques Wibault-Penhoet », L'Aéronautique, no 175, , p. 314 (lire en ligne) ; « Éléments du Wibault 283 T.12 », L'Aéronautique, no 187, , p. 294 (lire en ligne)
↑« Le Wibault-Penhoet 360 t.5 », L'Aéronautique, no 151, , p. 418 (lire en ligne) ; « Nouveaux appareils français de moyenne puissance. Le Wibault-Penhoet 360 T.5 », L'Aéronautique, no 153, , p. 53 (lire en ligne)
↑« Le monomoteur Wibault-Penhoet 365 T.7 », L'Aéronautique, no 163, , p. 398 (lire en ligne) ; « Transport aérien. Monomoteur. Wibault-Penhoet 365 T.7 », L'Aéronautique, no 163, , p. 392 (lire en ligne)