Sommereux

Sommereux
Sommereux
La mairie datée de 1911.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Oise
Arrondissement Beauvais
Intercommunalité Communauté de communes de la Picardie verte
Maire
Mandat
Jean-Claude Mercier
2020-2026
Code postal 60210
Code commune 60622
Démographie
Population
municipale
479 hab. (2021 en évolution de +1,48 % par rapport à 2015)
Densité 37 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 40′ 46″ nord, 1° 59′ 35″ est
Altitude Min. 116 m
Max. 190 m
Superficie 12,97 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Beauvais
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Grandvilliers
Législatives 2e circonscription de l'Oise
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Sommereux
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Sommereux
Géolocalisation sur la carte : Oise
Voir sur la carte topographique de l'Oise
Sommereux
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
Voir sur la carte administrative des Hauts-de-France
Sommereux

Sommereux est une commune française située dans le département de l'Oise en région Hauts-de-France.

Géographie

[modifier | modifier le code]

Description

[modifier | modifier le code]

Village agricole du plateau picard, située à mi-distance de Beauvais et d'Amiens, limitrophe du département de la Somme, sur la route reliant Grandvilliers à Conty.

Le point culminant de la commune au calvaire du lieu-dit le Moulin de Sommereux atteint 186 m. Sept éoliennes sont construites sur le plateau à l'ouest du village.

Communes limitrophes

[modifier | modifier le code]
Communes limitrophes de Sommereux
Dargies
Laverrière
Offoy
Thoix
Somme
Grandvilliers Sommereux Beaudéduit
Le Mesnil-Conteville
Cempuis
Le Hamel
Conteville

Hydrographie

[modifier | modifier le code]

La commune est située dans le bassin Artois-Picardie. Elle n'est drainée par aucun cours d'eau[Carte 1].

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseau hydrographique de Sommereux[Note 1].

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans une zone de transition entre les régions climatiques « Nord-est du bassin Parisien » et « Côtes de la Manche orientale »[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,9 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,7 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 814 mm, avec 12,5 jours de précipitations en janvier et 8,5 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Saint-Arnoult à 13 km à vol d'oiseau[3], est de 10,4 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 797,2 mm[4],[5]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[6].

Au , Sommereux est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[7]. Elle est située hors unité urbaine[8]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Beauvais, dont elle est une commune de la couronne[Note 2],[8]. Cette aire, qui regroupe 162 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[9],[10].

Occupation des sols

[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d'occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (91,1 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (91,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (73,1 %), prairies (15,5 %), forêts (6,2 %), zones urbanisées (2,7 %), zones agricoles hétérogènes (2,4 %)[11]. L'évolution de l'occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Voies de communication et transports

[modifier | modifier le code]

La commune est desservie, en 2023, par les lignes 614, 616, 625, 6103, 6104 et 6113 du réseau interurbain de l'Oise[12] et par la ligne 733 du réseau Trans'80[13].

Les formes les plus anciennes attestées du nom sont Sommereulx vers 1135[14] et Sommerues en 1150[15].

De l'ancien français som « le sommet, le haut »[14],[16], issu du latin summum « point le plus élevé » avec le double suffixe -ar-eolum[14],[15] ou -erel / -ereau au pluriel à valeur diminutive[14].

La prononciation locale dialectale picarde est en API [sõmʁø][17]

Les Templiers et les Hospitaliers

[modifier | modifier le code]

Sommereux était le siège de la commanderie générale du nord de la France de l'ordre du Temple, sous le nom de Commanderie de Saint-Barnabé. Le village était alors connu sous le nom de Domus Templi de Somoreus ou Sommerues.

La commanderie des Templiers, fondée sans doute avant 1150, ne cesse de s'accroître à la suite de donations de biens et de droits[18],[19]. Sa prospérité s'arrête avec le concile de Vienne en 1312, avec la dissolution de l'ordre des Templiers par le pape Clément V. le dernier des dix-sept commandeurs de Sommereux, Raoul de Gisy, frère sergent, déposera lors du procès de l'ordre du Temple, les pratiques sacrilèges et immorales des Templiers

La commanderie est dévolue aux Hospitaliers de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem. Les bâtiments, vastes et nombreux furent en partie détruits par les Anglais lors de la guerre de Cent Ans, au cours de laquelle, selon l'historien Alain Decaux, les milices picardes repoussèrent les Anglais à Sommereux[20],[Note 3]. La maison conventuelle fut restaurée au XVIe siècle et reconstruite au XVIIIe. C'est le petit manoir qui subsiste.

Le domaine est confisqué, divisé et vendu comme bien national après la Révolution française de 1789. Dès 1830, seul le bâtiment actuel subsiste, et la municipalité l'acquiert en 1993. Aujourd'hui, il est aménagé en gîtes ruraux et salle de réunion.

À partir du XIXe siècle

[modifier | modifier le code]

La commune absorba Laverrière en 1827, qui redevint autonome en 1833[21].

L'épicerie-café, située au carrefoiur des routes de Beaudéduit et de Grez, a été exploitée dans ce bâtiment jusque dans les années 1990.
En ruines, le bâtiment est démoli en 2015/2016.

À la fin de la Première Guerre mondiale, un aérodrome militaire est aménagé en 1918 à la limite de Grandvilliers, sensiblement à l'emplacement des éoliennes actuelles. Il accueille début avril les 5e et 141e escadrilles, équipées de Sopwith, la 207e équipée de Breguet 16, sans doute dans le cadre de la Bataille d'Amiens. À la fin du même mois, le terrain voit passer la 237e escadrille équipée de Sopwith 1½ Strutter puis de Breguet 16, la 286e équipée de SPAD S.XVI, la 21e équipée de 10 Dorand AR.1 puis de SPAD biplaces. La 45e escadrille séjourne au terrain de Grandvilliers/Sommereux du au , avec ses Breguet 14 A-2, suivie de la 102e, du au , avec ses SPAD puis Breguet XIV. D'autres escadrilles stationnent également, plus ou moins longuement, sur ce terrain[22].

Circonscriptions d'Ancien Régime[23]

Circonscriptions religieuses sous l'Ancien Régime : Paroisse : Saint-Jean-AubinDoyenné : GrandvilliersArchidiaconé : AmiensDiocèse : Amiens.

Circonscriptions administratives sous l'Ancien Régime : Intendance (1789) : AmiensÉlection (1789) : AmiensGrenier à sel (1789) : GrandvilliersCoutume : Amiens et ClermontParlement : Paris Bailliage : Amiens et ClermontPrévôté : Prévôté royale du BeauvaisisGouvernement : Picardie.

Politique et administration

[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs et électoraux

[modifier | modifier le code]

La commune se trouve dans l'arrondissement de Beauvais du département de l'Oise. Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 1988 de la deuxième circonscription de l'Oise.

Elle fait partie depuis 1801 du canton de Grandvilliers[21]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, ce canton, où la commune est toujours intégrée, s'agrandit et passe de 23 à 101 communes.

Intercommunalité

[modifier | modifier le code]

La commune est membre depuis 1997 de la communauté de communes de la Picardie verte, qui succède à plusieurs SIVOM, dont celui de Grandvilliers où la commune était déjà adhérente.

Liste des maires

[modifier | modifier le code]
Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1945 1965 Jean d'Hermy[24]    
Les données manquantes sont à compléter.
mars 2001 2014 Jean Pierre Heu[25] UMP  
2014[26] En cours
(au 5 juin 2020)
Jean-Claude Mercier   Réélu pour le manadt 2020-2026[27]

Politique de développement durable

[modifier | modifier le code]

La commune s'est dotée en 2018 d'un système d'assainissement collectif des eaux usées, raccordé à une station d'épuration utilisant des roseaux comme dispositif actif. Cette installation a coûté 2,5 millions d'euros, largement financés par l'agence de bassinet du conseil départemental[28]

Population et société

[modifier | modifier le code]

Démographie

[modifier | modifier le code]

Évolution démographique

[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[29]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[30].

En 2021, la commune comptait 479 habitants[Note 4], en évolution de +1,48 % par rapport à 2015 (Oise : +0,89 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
750638761621827703721680649
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
615551534479490471448432408
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
364370376359355305341351362
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
385358333338322408385389398
2015 2020 2021 - - - - - -
472482479------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[21] puis Insee à partir de 2006[31].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges

[modifier | modifier le code]

La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 38,6 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 19,5 % la même année, alors qu'il est de 22,8 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 243 hommes pour 239 femmes, soit un taux de 50,41 % d'hommes, légèrement supérieur au taux départemental (48,89 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[32]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,4 
90 ou +
1,7 
2,9 
75-89 ans
6,3 
14,8 
60-74 ans
13,0 
19,3 
45-59 ans
20,1 
22,2 
30-44 ans
22,2 
14,8 
15-29 ans
17,2 
25,5 
0-14 ans
19,7 
Pyramide des âges du département de l'Oise en 2021 en pourcentage[33]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,4 
5,5 
75-89 ans
7,6 
15,6 
60-74 ans
16,3 
20,8 
45-59 ans
20 
19,4 
30-44 ans
19,4 
17,6 
15-29 ans
16,2 
20,6 
0-14 ans
19,1 

Si le village a essentiellement une activité agricole, il faut signaler que la briqueterie historique de la commune a rouvert après une liquidation judiciaire. Les briques rouges de pays fabriquées à la presse et autres poteries sont cuites dans un four Hoffmann.

Culture locale et patrimoine

[modifier | modifier le code]
L'église paroissiale Saint-Aubin de Sommereux fut la chapelle de la commanderie de l'ordre du Temple.

Lieux et monuments

[modifier | modifier le code]
  • L'église Saint-Aubin, construite au XIIIe siècle et remaniée au XIVe siècle par le commandeur Jean de Varrines, est l'ancienne chapelle de la commanderie. L'abside et son transept datent du XIIIe siècle, mais la nef, incendiée durant la guerre de Cent Ans, a été reconstruite au XVIIe siècle dans un style classique qui épargna la corniche romane[20],[34].
Ses fonts baptismaux datent du XIIIe siècle[35].
  • La commanderie, grande maison près de l'église où étaient installés les Templiers puis les Hospitaliers, acquise par la municipalité en 1993 et désormais utilisée comme gîtes ruraux et salle de réunion[20].

Personnalités liées à la commune

[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Articles connexes

[modifier | modifier le code]

Liens externes

[modifier | modifier le code]

Notes et références

[modifier | modifier le code]
  1. Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. La rue des Anglais rappelle ce fait d'armes
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  1. « Réseau hydrographique de Sommereux » sur Géoportail (consulté le 22 septembre 2024).
  2. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

[modifier | modifier le code]
  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le ).
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  3. « Orthodromie entre Sommereux et Saint-Arnoult », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Station Météo-France « Saint-Arnoult » (commune de Saint-Arnoult) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Saint-Arnoult » (commune de Saint-Arnoult) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  6. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  7. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  8. a et b Insee, « Métadonnées de la commune de Sommereux »..
  9. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Beauvais », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  10. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l'aire d'attraction d'une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  11. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  12. « Transports en commun à Sommereux », sur oise-mobilite.fr, (consulté le ).
  13. « Lignes qui desservent Sommereux (Oise) », sur trans80.hautsdefrance.fr, (consulté le ).
  14. a b c et d Maurice Lebègue, Les noms des communes du département de l'Oise, Amiens, Société de Linguistique Picarde, , 234 p. (ISBN 2-9508260-0-8), p. 201.
  15. a et b Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Larousse, , 738 p., p. 660.
  16. « D. Godefroy », sur micmap.org (consulté le ).
  17. F. Carton et M. Lebègue, Atlas linguistique et ethnographique picard, t. I, .
  18. Victor Carrière, « Auguste-Charles-Henri Menche de Loisne : Cartulaire de la commanderie des templiers de Sommereux », Revue d'histoire de l'Église de France, vol. 56, t. 12,‎ , p. 345-347 (lire en ligne, consulté le ).
  19. Jack Bocar, « Introduction au cartulaire de la commanderie de Sommereux », Les cartulaires de certaines commanderies de france, Les Templiers et les Croisades, (consulté le ).
  20. a b et c ,Matthias Schweisguth, « Une voûte du choeur doit être réparée : Construite au XIIIe siècle, l'église Saint-Aubin est une des rares églises des Templiers encore debout au Nord de la France », Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers, no 3537,‎ , p. 7.
  21. a b et c Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  22. Alain Lefebvre, L'aviation militaire à l'ouest et au sud d'Amiens : pendant la Grande guerre, Hornoy-le-Bourg, éditions Aurea Vallis, , 318 p. (ISBN 978-2-9541941-7-2), p. 221-233.
  23. Source : Robert Lemaire, Paroisses et communes de France : Dictionnaire d'histoire démographique et démographique - Département de l'Oise, Ecole des hautes études en sciences sociales, Paris, 1976
  24. « Une plaque en mémoire de l'ancien maire Jean d'Hermy », Le Réveil, édition Bresle Oise Somme, no 2557,‎ , p. 20.
  25. Le maire sortant a été réélu au terme des élections municipales de 2008. Source : Hebdomadaire Bonhomme picard du 26 mars 2008
  26. Matthias Schweisguth, « Les maires déjà en place », Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers, no 3283,‎ , p. 8.
  27. Pierre-Emmanuel Reger, « A Sommereux, Jean-Claude Mercier réélu maire pour un second mandat », Le Réveil,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  28. Sylvie Godin, « Des filtres plantés de roseaux : Une station d'épuration idéale pour le village », Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers, no 3501,‎ , p. 6.
  29. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  30. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  31. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  32. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Sommereux (60622) », (consulté le ).
  33. Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département de l'Oise (60) », (consulté le ).
  34. « L'église », notice no PA00114914, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  35. « Fonts baptismaux », notice no PM60001583, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.