Ce film est une adaptation du roman Le Chevalier de Riouclare de Claude Boncompain dont l'histoire se déroule au XIXe siècle, au cours d'un hiver glacial, au pied d'une montagne en Auvergne avec de la magie, des péripéties et une fin heureuse.
En Auvergne, au XIXe siècle, dans les montagnes non loin d'un village isolé, vit un sorcier guérisseur, Jean-Baptiste, alias "le Campanier". Un jour celui-ci tue un voyageur et le dépouille. Il donne la moitié de son butin au père Fabret, dont il chérit et soigne la fille, Catherine. En fait, la jeune fille est secrètement amoureuse de Pierre, un bûcheron, qui est lui-même promis à Marthe, la fille de l'aubergiste du village...
Anonyme, « Sortilèges », Répertoire Général des Films 1946, Penser Vrai, Lyon, 1946, 178 p., p. 94.
Roger Régent, « Sortilèges », Cinéma de France, Bellefaye, Paris, 1948, 304 p., p. 260, 271-272, 293.
André Heinrich, « Une vie dans le cinéma », Premier Plan no 14 : Jacques Prévert, SERDOC, Lyon, , p. 67.
Jacques Siclier, « Sortilèges », La France de Pétain et son cinéma, Henri Veyrier, Paris, 1981, 463 p., p. 159-161, 418.
Raymond Chirat, « Sortilèges », Catalogue des films français de long métrage. Films de fiction 1940-1950, Imprimerie Saint-Paul, Luxembourg, 1981, article no 701.