En 2021, Sorèze est une commune rurale qui compte 3 000 habitants environ (après avoir connu continuellement une forte hausse de la population depuis 1962) . Sorèze fait partie de l'aire d'attraction de Revel, et de l'arrondissement de Castres.
Plus localement, le village est situé à l'extrémité nord-ouest de la vallée de l'Orival. Le mont au sud est le Berniquaut, celui à l'est le Causse[1],[2].
Le calcaire du plateau du Causse de Sorèze est daté de 540 millions d'années (Brioverien – Georgien sup. Acadien inf.)[3]. Il contient des concentrations ferrifères sous forme d'hydroxydes de fer – principalement de goethite, inexistantes ou rares sur les plateaux calcaires voisins[3],[4],[5].
Trente-huit cavités (grottes et autres) sont répertoriées sur le plateau du Causse de Sorèze[n 1], dont les plus importantes sont
la grotte du Calel (voir section « Histoire »), à environ 2 km au sud-est de Sorèze[1] ;
l'aven de Polyphème, dit aussi gouffre du Loup, trou du Loup ou gouffre de Polyphème, qui a servi de charnier pour les bêtes mortes, a le « siphon de Polyphème » prolongé par une galerie de 160 m qui rejoint la galerie des Toulousains de la grotte du Calel (réseau Jean Antoine Clos) ;
l'aven du Causse, qui a livré un racloir moustérien en silex à Mr. Rouzaud ;
la fontaine Melet (adduction d'eau)[6] ;
grotte-aven du Métro (une des anciennes mines médiévales explorées)[7].
Nombre de ces grottes sont reliées entre elles, formant plusieurs réseaux. Parmi ceux-ci, découverts dans les années 1970-1980 sont les suivants :
réseau Jean-Claude Balaye[8],
réseau de l'Enfant[9],
réseau éboulé[10],
galerie Boueuse[11]
galerie de la Tête[12],
galerie des Toulousains[13],
fond du lac du Calel[14],
réseau Pierre-Marie[6]…
Le Sor, qui prend source sur la commune voisine Arfons, entre sur la commune par le sud-est au tripoint des communes d'Arfons, Saissac et Sorèze, là où se trouve aussi la confluence du ruisseau de Sourette qui vient du nord en marquant la limite de communes Sorèze - Arfons[1].
Dès son entrée sur Sorèze, le Sor forme le lac des Cammazes par le barrage de Gravette. À sa sortie du lac, il marque la limite de commune avec les Cammazes sur 2,6 km jusqu'au gouffre de Malamort. Il quitte alors Sorèze pour entrer sur Durfort, qu'il traverse sur 3,8 km pour ensuite retrouver Sorèze près du moulin de Larsou et du moulin de Larroque. Sorti de la Montagne Noire à Durfort, le Sor en effleure là les tout derniers contreforts et aborde la plaine. Il quitte Sorèze pour rejoindre Revel juste après le hameau de Vigouroux[1].
Le bourg de Sorèze est arrosé par le ruisseau d'Orival, affluent du Sor[1].
La rigole de la Plaine, qui alimente le canal du Midi, prend ses eaux dans le Sor à Pont Crozet. Elle va jusqu'au moulin du Roy sur Revel, où commence la rigole de la Plaine. Au moulin du Roy, les eaux excédentaires sont retournées au Sol par un autre canal de dérivation qui rejoint le Sor quelque 400 m en aval de Vigouroux[15],[1].
Vallée du Sor, Durfort : vue sur la plaine de Sorèze, Revel et autres lieux, jusqu'àux hauteurs de Puylaurens.
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 13,1 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,6 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 876 mm, avec 9,3 jours de précipitations en janvier et 5,5 jours en juillet[16]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Revel », sur la commune de Revel à 5 km à vol d'oiseau[18], est de 13,5 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 892,6 mm.
La température maximale relevée sur cette station est de 42,7 °C, atteinte le ; la température minimale est de −16,5 °C, atteinte le [Note 1],[19],[20].
La commune fait partie du parc naturel régional du Haut-Languedoc, créé en 1973 et d'une superficie de 307 184 ha, qui s'étend sur 118 communes et deux départements[25]. Implanté de part et d’autre de la ligne de partage des eaux entre Océan Atlantique et mer Méditerranée, ce territoire est un véritable balcon dominant les plaines viticoles du Languedoc et les étendues céréalières du Lauragais[26],
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
Quatre ZNIEFF de type 1[Note 3] sont recensées sur la commune[30] :
les « pelouses au sud de Revel » (415 ha), couvrant 3 communes dont deux dans la Haute-Garonne et une dans le Tarn[31] ;
la « vallée de Baylou et Désert de Saint-Ferréol » (2 206 ha), couvrant 6 communes du département[33] ;
les « vallées de Durfort et du Rabasset, gouffre de Malamort et Berniquaut » (1 079 ha), couvrant 3 communes du département[34] ;
et une ZNIEFF de type 2[Note 4],[30] :
la « montagne Noire (versant Nord) » (31 971 ha), couvrant 37 communes dont 14 dans l'Aude, deux dans la Haute-Garonne, trois dans l'Hérault et 18 dans le Tarn[35].
Au , Sorèze est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[36].
Elle est située hors unité urbaine[37]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Revel, dont elle est une commune de la couronne[Note 5],[37]. Cette aire, qui regroupe 16 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[38],[39].
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnéeseuropéenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (46,2 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (52,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante :
forêts (34,7 %), terres arables (22,9 %), zones agricoles hétérogènes (14,9 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (11 %), prairies (8,4 %), zones urbanisées (5 %), eaux continentales[n 2] (1,5 %), mines, décharges et chantiers (1,1 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (0,6 %)[40]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Sorèze est exposée au risque de feu de forêt. En 2022, il n'existe pas de Plan de Prévention des Risques incendie de forêt (PPRif). Le débroussaillement aux abords des maisons constitue l’une des meilleures protections pour les particuliers contre le feu[Note 6],[45].
La commune est vulnérable au risque de mouvements de terrains constitué principalement du retrait-gonflement des sols argileux[46]. Cet aléa est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 67,1 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (76,3 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 1 287 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 1 260 sont en aléa moyen ou fort, soit 98 %, à comparer aux 90 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[47],[Carte 2].
Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[48].
Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est susceptible d’avoir des effets graves sur les biens, les personnes ou l'environnement, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[49].
La commune est en outre située en aval d'un barrage de classe A[Note 7]. À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture de cet ouvrage[51].
Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Certaines communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon la classification de 2018, la commune de Sorèze est classée en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[52].
La grotte du Calel[53] ou Traouc del Calel (entrée naturelle à 532 m d'altitude, la deuxième entrée constitue l'accès au réseau Pierre-Marie[6]) fait partie du réseau Jean Antoine Clos avec la résurgence de la Fendeille, le gouffre de Polyphème et d'autres cavités. En 1966 et 1973 des spéléologues de la Société de Recherches Spéléo Archéologiques du Sorèzois et du Revèlois y font des découvertes archéologiques. Des fouilles programmées sont finalement réalisées de 1989 à 1995 (programme national HO3 « mines et métallurgie » et P 38000 « relevés d'art pariétal »)[3] ; elles couvrent les zones du versant de la Fendeille, le plateau du Causse, le complexe souterrain Jean Antoine Clos et la vallée de l'Orival (pour les fours de réduction de minerai, les charbonnières et les chemins)[54].
Est découvert un vaste ensemble minier (mine de fer) incluant des cavités de plusieurs réseaux hydrographiques, ces derniers parfois reliés artificiellement entre eux : témoin ce tunnel de plus de 20 m de longueur creusé dans le sédiment entre le réseau de la Colonne et le réseau Pierre Marie[54],[55]. Presque toutes les cavités du plateau du Causse conservent les traces des mineurs médiévaux[6]. La vallée de l'Orival est parsemée de fours de réduction de minerai, de charbonnières et des chemins qui relient le tout[54]. Plusieurs sites de transformation à scories se trouvent le long du ruisseau de l'Orival et sur les versants du mont Capel, au sud de la zone minière. Les vestiges miniers sont accompagnés de céramiques et de représentations pariétales (dessins noirs, gravures)[4].
Les concentrations d'hydroxydes de fer exploitées, principalement de goethite, sont particulières au calcaire du plateau du Causse de Soréze puisque les plateaux calcaires voisins n'en possèdent pas[3],[4].
Quatre classements protègent ce site archéologique majeur :
monument historique[56],
site patrimonial (catégorie « paysage »)[57],
zone d'intérêt écologique pour la faune et la flore (ZNIEFF) et
zone « Natura 2000 »[54].
Le , un hêtre de 450 ans remporte le titre du plus bel arbre de France[58].
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations de référence des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[62]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[63].
En 2022, la commune comptait 2 978 habitants[Note 8], en évolution de +6,28 % par rapport à 2016 (Tarn : +2,52 %, France hors Mayotte : +2,11 %).
Protestant : un temple protestant a été construit, 10 rue du Maquis, en 1832, pour une importante communauté protestante à Sorèze dans le passé. Le temple a été désaffecté en 1946. Le temple le plus proche est celui de Revel.
Église abbatiale de l'abbaye-école royale de Sorèze.
Chapelle des élèves de l'abbaye-école royale de Sorèze.
Vestiges de la chapelle préromane Saint-Jammes[67]
Fondée en 754, l'abbaye-école de Sorèze, abbayebénédictine d'une grande richesse architecturale, accueille chaque année, au début de l'été, le festival « Musique des Lumières ».
École militaire de Sorèze[68] ; sa devise « Religioni, scientiis, artibus, armis ».
Statue de Louis XVI (l'une des cinq effigies de ce roi existant encore en France).
Maisons à pans de bois[69] rue du Maquis, ancienne rue de Castres, lieu de résidence des notables de la ville, construite à la limite de la vieille ville. Les maisons se trouvant aux no 19, no 22 et no 26 ont des corbeaux sculptés.
Le castrum de Roquefort (ISMH). Mentionné dès le XIe siècle, et abandonné probablement durant le XIVe siècle. La famille de Roquefort joua un rôle très important tout au long du XIIIe siècle, en liaison avec le catharisme[74]. Site privé.
La Galerie Terson de Paleville est un lieu d'exposition à 81540 Sorèze, situé dans l'Aile des Bleus de l'Abbaye-Ecole et géré par l'AAASR (Association des Artistes et Artisans du Sorézois Réunis), une association loi de 1901. Elle est fondée en 1990 par les artistes et artisans de Sorèze et ses alentours.
Élisa Lemonnier (1805 - 1865), née Marie-Juliette-Élisa Grimailh à Sorèze, éducatrice, fondatrice en France de l'enseignement professionnel pour les femmes.
Jacques Chambon (1932 - 1984), hautboïste, créateur des Rencontres Musicales d'été de Sorèze en 1982, rencontres appelées Académie Jacques Chambon à sa mort brutale : elles réunissaient professeurs et élèves d'instruments à vent et piano - au programme, perfectionnement avec des musiciens de renommée internationale et concerts - ; elles ont commencé à Albi dans les années 70 pour se fondre à Castres dans les années 90.
Les armes de Sorèze se blasonnent ainsi : De gueules à la tour d'argent, maçonnée de sable, sommée d'une colombe essorante aussi d'argent, au serpent ondoyant d'or brochant en pointe.
Tour = force ; Colombe = liberté ; Serpent = prudence.
: document utilisé comme source pour la rédaction de cet article.
[Clos 1822] Jean-Antoine Clos, Notice historique sur Sorèze et ses environs, suivie d'un Voyage au dedans et au dehors de la Montagne du Causse, (réimpr. 2e éd. 1844, Toulouse, impr. de Benichet Cadet ; 3e éd. 1984, Albi, libr.-éd. Xavier Ottavi), 58 p. (lire en ligne [PDF] sur lauragais-patrimoine.fr), p. 4-43 (Notice sur Sorèze) + 44-52 (Montagne du Causse) (les nos de pages sont ceux du compteur de pages du pdf).
[Demange et al. 1997] Michel Demange, Bruno Alabouvette, Michel P. Mouline et Jean G. Astruc, Notice explicative de la carte géologique au 1/50 000, feuille « Revel », no 1011, Orléans, BRGM, , 104 p. (lire en ligne [PDF] sur ficheinfoterre.brgm.fr).
Conseil d'architecture d'urbaniste et de l'environnement du Tarn, Guide du patrimoine du Tarn, Sorèze, éditions Un Autre Reg'Art (collection Patrimoine en Montagne Noire), Albi, 2007, (ISBN978-2-916534-24-4)
Albert Mamy, Une passion sorézienne, Éditions Anne-Marie Denis, 2021
↑Les 38 cavités répertoriées sur le plateau du Causse de Sorèze sont :
grotte de la Carrière, fermée à clef pour protéger les sources d'eau potable de la ville et dont l'eau est en relation hydrologique avec le ruisseau du Calel (expérience d'avril 1969) ;
résurgence de la Fendeille, connue de longue date, explorée par Louis Clos - semble-t-il vers 1880 -, par M. Porter en 1884 - il tente sans succès la plongée du siphon amont -, visitée par Viré et Maheu en 1900 ;
réseau du Promontoire, en partie éboulé à la suite des tirs d'exploitation de la carrière de la Mandre ;
trou E 2, qui surplombe l'entrée de la grotte de la Carrière à quelque 30 m vers le nord-est ;
trou E 3, à quelques mètres vers le nord-ouest un peu en contrebas depuis l'entrée de la grotte de la Carrière, aurait été ouvert par l'avancement du front de carrière dans la même période que la grotte de la Carrière et a servi de réserve d'explosifs pour l'exploitation (il y reste encore un caisson en béton armé) ;
trou E 5, dans l'ancienne exploitation de calcaire en contrebas de la résurgence de la Fendeille, est une diaclase de 6 m de hauteur pour une largeur moyenne de 30 cm ;
Trou E 6, à quelques mètres du trou E5 en revenant vers la route D45, et dont le vestibule est traversé par un petit ruisseau lorsque la résurgence de la Fendeille est en activité hydrologique ;
grotte du Calel ;
trou G2, qui est peut-être une autre entrée obstruée de la grotte du Calel ;
trou G 4, à 98 m du Calel ;
trou G 5, à 165 m du Calel ;
grotte-aven du Métro (G6), à 105 m du Calel, avec du schiste sur la paroi nord-ouest car elle est creusée près de l'intercalation schiste-calcaire ;
trou G 7, dans une succession de dolines, en partie effondré ;
grotte des Gours, longue d'une centaine de mètres ;
Trou G 9, où un squelette humain a été découvert par la S.R.S.A.S.R. en 1981 ;
trou G 10, un petit boyau de quelques mètres se fermant sur une étroiture ;
trou G 11, découvert en 1971 par G. Armengaud, partiellement désobstrué en 1972 par G. Armengaud et S. Raynaud ;
trou G 12, dont l'entrée basse et large débouche sur un conduit de quelques mètres de long jusqu’au fond obstrué par des pierres ;
trou G 13, à une dizaine de mètres vers l'est de la grotte des Gours ;
grotte de Pistre (G 14) ;
perte de la Ferme du Causse ;
aven de Polyphème ;
trou H 2 ou R103, qui forme plutôt une espèce de sous abri ;
trou des Moutons (H 3' H 3") ;
trou du Taureau (H 4) ;
aven du Causse (H 5), à 100 m au nord de la ferme du Causse ;
trou H 6, H 7, H 8 ;
Puits du Causse (G 15), cavité obstruée ;
fontaine Melet, dont l'eau a une température relativement stable, ce qui indique des eaux souterraines d'origine lointaine ;
trou E 7, E 8, E 9 ;
grotte du Causse (codifiée G 15 - appelée aussi R 100), petit ensemble de galeries parallèles se terminant par des éboulis ;
trou G 16, G 17, H 9 ;
aven d'Aygo Pesado (H 10) ;
trou H12 (appelé aussi R 102).
Voir Le plateau du Causse de Sorèze, sur lauragais-patrimoine.fr.
↑Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
↑Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[27].
↑Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
↑Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
↑Le principe d’un débroussaillement efficace consiste à couper et éliminer tous les bois morts, les broussailles et les herbes sèches 50 mètres autour des habitations et 2 mètres de part et d’autre des voies, élaguer les branches basses des arbres, espacer les arbres et les arbustes situés dans la zone à débroussailler pour éviter que le feu ne se propage d’arbre en arbre, éliminer les arbustes sous les grands arbres pour éviter que le feu ne se propage vers la cime des arbres, toujours se débarrasser des végétaux coupés par compostage, par évacuation en décharge autorisée ou par incinération en respectant la réglementation sur le brûlage et entretenir régulièrement la zone débroussaillée, tous les 2 ou 3 ans maximum sur le pourtour, tous les ans à proximité de l’habitation
↑Le classement des barrages est fonction de deux paramètres : hauteur et volume retenu[50].
↑Population municipale de référence en vigueur au 1er janvier 2025, millésimée 2022, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2024, date de référence statistique : 1er janvier 2022.
↑ abcdefg et h« Sorèze, carte interactive » sur Géoportail. Couches « Cartes IGN classiques » et « Hydrographie » activées. Vous pouvez bouger la carte (cliquer et maintenir, bouger), zoomer (molette de souris ou échelle de l'écran), moduler la transparence, désactiver ou supprimer les couches (= cartes) avec leurs échelles d'intensité dans l'onglet de "sélection de couches" en haut à droite, et en ajouter depuis l'onglet "Cartes" en haut à gauche. Les distances et surfaces se mesurent avec les outils dans l'onglet "Accéder aux outils cartographiques" (petite clé à molette) sous l'onglet "sélection de couches".
↑ abcd et eJ.-C. Pétronio, « inventaire des cavités connues », dans l'inventaire des cavités connues, sur lauragais-patrimoine.fr (consulté en ).
↑[Calvet 2011] Jean-Paul Calvet, Le site minier médiéval de la grotte–aven du Métro (commune de Sorèze – Tarn) (Rapport de la découverte du site, prospection inventaire archéologique. Avec l'équipe de la Société de Recherches Spéléo-Archéologiques du Sorézois et du Revélois (SRSASR)), , 69 p. (lire en ligne [PDF] sur lauragais-patrimoine.fr).
↑ a et bDaniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
↑François Rouzaud, Éric Mauduit, Jean-Paul Calvet, « Le site minier et métallurgique du Calel à Sorèze (Tarn) », dans Pallas. Revue d'études antiques, 1997, no 46, p. 273-285(lire en ligne)