Soyons

Soyons
Soyons
Clocher-porche de l'église.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Ardèche
Arrondissement Tournon-sur-Rhône
Intercommunalité Communauté de communes Rhône Crussol
Maire
Mandat
Hervé Coulmont
2020-2026
Code postal 07130
Code commune 07316
Démographie
Gentilé Soyonnais
Population
municipale
2 295 hab. (2021 en évolution de +3,8 % par rapport à 2015)
Densité 291 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 53′ 24″ nord, 4° 51′ 03″ est
Altitude Min. 104 m
Max. 280 m
Superficie 7,9 km2
Type Ceinture urbaine
Unité urbaine Charmes-sur-Rhône
(ville-centre)
Aire d'attraction Valence
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Rhône-Eyrieux
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Soyons
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Soyons

Soyons est une commune française, située dans le département de l'Ardèche en région Auvergne-Rhône-Alpes.

Située dans l'agglomération de Valence mais sur la rive droite du Rhône, c'est une des treize communes adhérente de la communauté de communes Rhône-Crussol. Ses habitants sont appelés les Soyonnais.

Géographie

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Située en Ardèche, dans la communauté de communes Rhône-Crussol, en rive droite du Rhône, la commune de Soyons est limitrophe de la ville de Valence (Drôme) au nord-est.

Communes limitrophes

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Rose des vents Toulaud Guilherand-Granges Valence (Drôme) Rose des vents
Toulaud N Portes-lès-Valence (Drôme)
O    Soyons    E
S
Toulaud Charmes-sur-Rhône Portes-lès-Valence (Drôme)

Géologie et relief

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En 2010, le climat de la commune est de type climat méditerranéen altéré, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est dans une zone de transition entre le climat de montagne et le climat méditerranéen et est dans la région climatique Moyenne vallée du Rhône, caractérisée par un bon ensoleillement en été (fraction d’insolation > 60 %), une forte amplitude thermique annuelle (4 à 20 °C), un air sec en toutes saisons, orageux en été, des vents forts (mistral), une pluviométrie élevée en automne (250 à 300 mm)[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12,8 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 18 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 885 mm, avec 6,9 jours de précipitations en janvier et 4,9 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Étoile », sur la commune d'Étoile-sur-Rhône à 7 km à vol d'oiseau[3], est de 13,5 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 904,5 mm[4],[5]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[6].

Hydrographie

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Le Rhône borde toute la partie orientale du territoire communal.

Voies de communication et transport

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La commune est traversée par l'ancienne route nationale 86 qui a été déclassée en route départementale (RD86). Celle-ci relie historiquement la ville de Lyon à celle de Nîmes.

Lieux-dits, hameaux et écarts

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Au , Soyons est catégorisée ceinture urbaine, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[7]. Elle appartient à l'unité urbaine de Charmes-sur-Rhône, une agglomération intra-départementale dont elle est ville-centre[8],[9]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Valence, dont elle est une commune de la couronne[Note 1],[9]. Cette aire, qui regroupe 71 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[10],[11].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (40 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (36,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones urbanisées (22,5 %), zones agricoles hétérogènes (18,9 %), forêts (17,7 %), cultures permanentes (15 %), eaux continentales[Note 2] (14,8 %), terres arables (6,1 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (3,8 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (1,2 %)[12].

L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques naturels et technologiques

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Risques sismiques

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L'ensemble du territoire de la commune de Soyons est situé en zone de sismicité no 3 (sur une échelle de 1 à 5), comme la plupart des communes situées dans la vallée du Rhône et la Basse Ardèche, mais en limite orientale de la zone no 2 qui correspond au plateau ardéchois[13].

Terminologie des zones sismiques[14]
Type de zone Niveau Définitions (bâtiment à risque normal)
Zone 3 Sismicité modérée accélération = 1,1 m/s2

Autres risques

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La divinité Soïo Augusta est éponyme de la localité[15].

Préhistoire

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Le site de Soyons est occupé sans interruption depuis la Préhistoire. Les grottes du massif de Guercy sont occupées dès le Paléolithique moyen par l'homme de Néandertal en alternance avec de grands prédateurs. Dans l'abri Moula, des restes humains néandertaliens, correspondant à l’équivalent de six individus (deux adultes, deux adolescents et deux enfants), mélangés à des d'animaux, comportant des traces de décarnisation et de cuisson attestent de la pratique du cannibalisme par les occupants des lieux. Deux aires de dépeçage de mammouths ont été découvertes dans l'actuel quartier des Lèches[16].

Durant la période de la Tène, un oppidum se développe sur le plateau de Malpas. Le peuple des Segovellaunes y vénère la déesse Soïo, dont un autel[15] fut découvert en 1848. A l'époque romaine, l'habitat se déplace vers le site de l'actuel village[16].

Soyons pourrait être le lieu de la bataille de Solonion, qui a lieu lors de la révolte de Catugnat en 62-61 av. J.-C. selon Dion Cassius (Histoires, 48, 37) et Tite-Live (Epitomé, 103). Catugnat, roi des Allobroges, avait déclaré la guerre à Rome en 61 av. J.-C. Installé à Solonium, il défait les légions de Lentinus, venues d'Orange, mais d'autres légions viennent incendier la forteresse en bois, située sur l'oppidum, qui succombe. Catugnat et une petite escorte parviennent à s'échapper du massacre[17].

Autres périodes

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En 1629, durant les rébellions huguenotes, le village et le château sont pris par les troupes catholiques.

Politique et administration

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Administration municipale

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Liste des maires

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1919 ? Marcel Astier[18] Rad. Médecin
Député de l'Ardèche (1924 → 1928)
Sénateur de l'Ardèche (1939 → 1945)
Les données manquantes sont à compléter.
Maire en 1956 ? Pierre Dumazel    
Les données manquantes sont à compléter.
mars 1983 mars 1989 Aimé Duffaud[19]   Retraité de la Police nationale
mars 1989 juin 1995 André Comte    
juin 1995 mars 2001 Raymond Rivaux    
mars 2001 janvier 2007
(démission)
Régine Saint-Criq[20] (1938- ) PS Ancienne chargée de mission
Ancienne conseillère régionale d'Île-de-France (1986 → 1992)
janvier 2007 mars 2014 Gérard Chapuis (1943-2020) PS Retraité
Vice-président de la CC Rhône Crussol (2009 → 2014)
mars 2014 2017 Gisèle Bertrand[21] (1950- ) DVG Retraitée de la fonction publique
15 octobre 2017[22] En cours
(au 25 mai 2020)
Hervé Coulmont (1965- ) DVG Cadre de la fonction publique
4e vice-président de la CC Rhône Crussol (2017 → )
Les données manquantes sont à compléter.

Population et société

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Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[23]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[24].

En 2021, la commune comptait 2 295 habitants[Note 3], en évolution de +3,8 % par rapport à 2015 (Ardèche : +2,22 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
446456533509695618627750707
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
7246567546998641 009810698738
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
729728690627647644601626684
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
8297879421 3021 5511 7211 9361 9521 921
2015 2020 2021 - - - - - -
2 2112 2992 295------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[25] puis Insee à partir de 2006[26].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement

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La commune est rattachée à l'académie de Grenoble.

La commune est située dans la zone de distribution de deux organes de la presse écrite :

Il s'agit d'un journal hebdomadaire français basé à Valence et couvrant l'actualité de tout le département de l'Ardèche.
Il s'agit d'un journal quotidien de la presse écrite française régionale distribué dans la plupart des départements de l'ancienne région Rhône-Alpes, notamment l'Ardèche. La commune est située dans la zone d'édition de Privas.

Culte catholique

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La communauté catholique de Soyons est rattachée à la paroisse « Saint Nicolas du Rhône », elle-même rattachée au diocèse de Viviers[27].

Culte protestant

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Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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La tour penchée.
  • Les grottes préhistoriques du Trou du Renard, de Néron et de la Baume Moula-Guercy[28].
  • Temple protestant de Soyons.
  • L'église de l'Assomption de Soyons, édifiée au XIIe siècle sur un sanctuaire carolingien (authentifié par la découverte en 1975 d'une épitaphe) qui a renfermé le tombeau de saint Venance, conserve de très belles sculptures carolingiennes, restes d'un chancel à baldaquin de la première moitié du IXe siècle. L'édifice, de plan rectangulaire, possédait une abside semi-circulaire flanquée de deux absidioles. Au XIXe siècle, on changea l'orientation de l'église en perçant l'abside pour élever un clocher-porche, et on construisit une abside dans l'étroit espace compris entre l'entrée primitive et la falaise surplombant le village. Un monastère de bénédictines occupait cet emplacement : il fut détruit par les protestants en 1627 et les religieuses, emportant les reliques de saint Venance, se réfugièrent à Valence pour y créer l’abbaye Notre-Dame de Soyons.
  • Le musée archéologique présente l'histoire de la région depuis l'homme préhistorique jusqu'aux vestiges protohistoriques et gallo-romains.
  • La tour penchée inscrite à l’inventaire des monuments historiques, datant de la fin du XIIe ou du début du XIIIe siècle, est l’unique vestige des fortifications médiévales du plateau de Malpas.
  • Les berges du Rhône et les Lônes.
  • Parc de miniatures « Ardèche miniatures ».

Personnalités liées à la commune

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  • Marie de Valence, religieuse, née à Soyons en 1576.
  • Charles Albert d’Arnoux, dit Bertall, peintre et illustrateur, mort à Soyons en 1882.
  • François Astier (1855-1934), syndicaliste agricole et homme politique, député radical de l'Hérault.
  • Marcel François Astier (1885-1947), homme politique mort à Soyons, député de l'Ardèche, puis sénateur de 1938 à 1944.

Héraldique

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Soyons possède des armoiries dont l'origine et le blasonnement exact ne sont pas disponibles.

Notes et références

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  1. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  2. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  3. « Orthodromie entre Soyons et Étoile-sur-Rhône », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Station Météo-France « Étoile », sur la commune d'Étoile-sur-Rhône - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Étoile », sur la commune d'Étoile-sur-Rhône - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  6. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  7. « La grille communale de densité », sur le site de l’Insee, (consulté le ).
  8. « Unité urbaine 2020 de Charmes-sur-Rhône », sur insee.fr (consulté le ).
  9. a et b Insee, « Métadonnées de la commune ».
  10. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Valence », sur insee.fr (consulté le ).
  11. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  12. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  13. Préfecture du Rhône, page sur les risques sismiques
  14. Arrêté du 22 octobre 2010 relatif à la classification et aux règles de construction parasismique applicables aux bâtiments de la classe dite « à risque normal » - Légifrance
  15. a et b Jacques Charmasson, Michel Christol et Anne Roth-Congès, « Un autel aux Parques découvert sur l'oppidum Saint-Vincent à Gaujac (Gard) », Cahiers du Centre Gustave Glotz, no 8,‎ , p. 269 (lire en ligne).
  16. a et b Thuilier 2017
  17. Joêl Schmidt, Les Gaulois contre les Romains, Perrin.
  18. [PDF] Biographie de Marcel Astier, sur soyons.fr
  19. Avis de décès de Monsieur Aimé DUFFAUD, sur libramemoria.com, 12 mars 2014
  20. [PDF] Notice biographique de Régine Saint-Criq
  21. « Liste des maires du département de l'Ardèche » [PDF], sur le site de la préfecture de l'Ardèche, (consulté le ).
  22. « Qui est Hervé Coulmont, le nouveau maire ? », Le Dauphiné libéré,‎ (lire en ligne)
  23. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  24. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  25. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  26. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  27. Site ardeche.catholique.fr, page sur la paroisse Saint Nicolas du Rhône.
  28. Site grottes-musee-soyons.fr, page sur le site archéologique de Soyons.

Bibliographie

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  • (en) Alban R. Defleur et Emmanuel Desclaux, « Impact of the last interglacial climate change on ecosystems and Neanderthals behavior at Baume Moula-Guercy, Ardèche, France », Journal of Archaeological Science, vol. 104,‎ , p. 114-124 (DOI 10.1016/j.jas.2019.01.002)
  • Laurent Thuilier, « Soyons, des millénaires de peuplement humain », Archéologia, no 558,‎ , p. 54-57 (ISSN 0570-6270)

Articles connexes

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Liens externes

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