Endémique du Cameroun, elle a été collectée notamment dans les lieux suivants : à la baie d'Ambas, près de Limbé (Gustav Mann, 1861[6]) ; à la station Johann-Albrechtshöhe à Kumba (Alois Staudt, 1897[7]) ; en bordure du marigot Olezoa, près de Melen, dans la subdivision de Yaoundé (Benoît Mpom, 1953[8]).
C'est une plante médicinale[9], aux vertus antiseptiques et cicatrisantes. Des recherches sont en cours pour déterminer une utilisation possible dans le cadre de la lutte contre le cancer[10]
↑« Eric Olivier Ngongang Mbantswe : J’ai isolé des substances anti-infectieuses à partir d’une plante », propos recueillis par Parfait Tabapsi pour Mutations, 5 mars 2009, sur africapresse.com[1]
↑(en) Umberto Quattrocchi, CRC World Dictionary of Medicinal and Poisonous Plants: Common Names, Scientific Names, Eponyms, Synonyms, and Etymology, CRC Press, 2012, p. 3650 (ISBN9781420080445)
↑Joseph Thierry Ndongoa, Joséphine Ngo Mbing, Michel Feussi Tala, Aymeric Monteillier, Dieudonné Emmanuel Pegnyemb, Muriel Cuendet, Hartmut Laatsch, « Indoline alkaloids from Tabernaemontana contorta with cancer chemopreventive activity », in Phytochemistry, volume 144, December 2017, p. 189–196 [lire en ligne]
Jean-Michel Onana, Synopsis des espèces végétales vasculaires endémiques et rares du Cameroun : check-liste pour la gestion durable et la conservation de la biodiversité, Yaoundé, Ministère de la Recherche scientifique et de l'Innovation, coll. « Flore du Cameroun » (no 40), , p. 74