Tarik Ibn Ziad | ||||
Vue de l'entrée de la commune de Tarik Ibn Ziad | ||||
Noms | ||||
---|---|---|---|---|
Nom arabe algérien | طارق بن زياد | |||
Nom amazigh | ⵜⴰⵔⵉⵇ ⴱⴻⵏ ⵣⴻⵢⵢⴰⴷ | |||
Administration | ||||
Pays | Algérie | |||
Wilaya | Aïn Defla | |||
Daïra | Bordj Emir Khaled | |||
Chef-lieu | Tarik Ibn Ziad | |||
Président de l'APC | Rabah ZOULAI | |||
Code ONS | 4421 | |||
Indicatif | 027573150_027573151 | |||
Démographie | ||||
Population | 10 285 hab. (2008[1]) | |||
Densité | 25 hab./km2 | |||
Géographie | ||||
Coordonnées | 36° 00′ nord, 2° 09′ est | |||
Superficie | 406,5 km2 | |||
Localisation | ||||
Localisation de la commune dans la wilaya de Aïn Defla | ||||
Géolocalisation sur la carte : Algérie
Géolocalisation sur la carte : Algérie
Géolocalisation sur la carte : Algérie (nord)
| ||||
modifier |
Tarik Ibn Ziad, anciennement Marbot pendant la colonisation française, est une commune de la wilaya de Aïn Defla en Algérie.
La commune de Tarik Ibn Ziad est située dans les monts de l'Ouarsenis ; elle s'étend sur 406,50 kilomètres carrés.
La localité chef-lieu est à environ 630 mètres d'altitude et à 20 kilomètres au nord de Theniet El Had.
Ce territoire, ainsi que celui du reste de la wilaya d'Aïn Defla, sont réputés pour avoir résisté avec force à la colonisation française[réf. nécessaire].
Les premières constructions coloniales datent de 1881[réf. souhaitée].
Le au soir, à la fin du jeûne de Ramadan, puis le lendemain jour de l'Aïd el-Fitr, un groupe armé d'AQMI a perpétré une double attaque contre l'armée algérienne, dans le Djebel Louh près du Râs Tifrane, sur le territoire de la commune de Tarik Ibn Ziad. Cet attentat a fait au moins onze victimes du côté de l'armée[2],[3].
La localité et son territoire ont accédé au rang de commune le [réf. souhaitée].
Le maire de la commune de Tarik Ibn Ziad est Rabah ZOULAI [réf. nécessaire]