Au début du XXe siècle, l'inventeur Nikola Tesla fait appel à la générosité de son mécène, l'homme d'affaires J.P. Morgan, pour soutenir son nouveau projet révolutionnaire de distribution de l'électricité à l'échelle mondiale. Entre-temps, Tesla avoue son affection profonde pour un pigeon qui devient son confident. Mais la réponse de Morgan n'est pas celle espérée par l'inventeur, ce qui plonge ce dernier dans le désespoir.
Matthew Rankin a recours à une technique d'animation nommée « light painting », qui consiste à déplacer des sources lumineuses en ajustant le temps d'exposition de la caméra. Le réalisateur estime avoir fait brûler environ 15 000 cierges merveilleux lors du tournage. Le film Thunder de l'animateur japonais Takashi Ito a été une de ses sources d'inspiration[8]. Techniques plus courantes, l'animation de marionnettes et la pixilation sont aussi utilisées[9].
↑« Lumière éblouissante | Marc Cassivi | Festival de Cannes », La Presse, (lire en ligne, consulté le )
↑Helen Faradji - ICI.Radio-Canada.ca, « 3 Québécois à Cannes », sur Radio-Canada.ca (consulté le )
↑François Lévesque, « «Tesla: lumière mondiale» concourra à la Semaine de la critique de Cannes », Le Devoir, (ISSN0319-0722, lire en ligne, consulté le )
↑Éric Moreault, « L'original de Winnipeg, la fausse bombe de Cannes », Le Soleil, (lire en ligne, consulté le )
↑(en-US) Mercedes Milligan, « 'Ugly' and 'Night Is Short' Win Grand Prizes at Ottawa », Animation Magazine, (lire en ligne, consulté le )