la vitesse de distribution d'énergie intramoléculaire est bien plus rapide que la vitesse de la réaction elle-même ;
la surface d'énergie potentielle ne présente pas de « goulots d'étranglement » pour lesquels certains modes vibrationnels pourraient être piégés plus longtemps que la durée moyenne de la réaction.
↑(en) Francesco Di Giacomo, « A Short Account of RRKM Theory of Unimolecular Reactions and of Marcus Theory of Electron Transfer in a Historical Perspective », Journal of Chemical Education, vol. 92, no 3, , p. 476-481 (DOI10.1021/ed5001312, Bibcode2015JChEd..92..476D, lire en ligne).
↑(en) F. A. Lindemann, Svante Arrhenius, Irving Langmuir, N. R. Dhar, J. Perrin et W. C. McC. Lewis, « Discussion on “the radiation theory of chemical action” », Transactions of the Faraday Society, vol. 17, , p. 598-606 (DOI10.1039/TF9221700598, lire en ligne).
↑(en) Oscar Knefler Rice et Herman C. Ramsperger, « Theories of Unimolecular Gas Reactions at Low Pressures », Journal of the American Chemical Society, vol. 49, no 7, , p. 1617-1629 (DOI10.1021/ja01406a001, lire en ligne).
↑(en) Louis Stevenson Kassel, « Studies in Homogeneous Gas Reactions. I », The Journal of Physical Chemistry, vol. 32, no 2, , p. 225-242 (DOI10.1021/j150284a007, lire en ligne).