Les blagues commençant par « Toc toc toc ! » sont des jeux de mots demandant la participation de l'interlocuteur suivant une structure fixe.
L'enchainement classique des répliques est le suivant :
La première réplique correspond à la répétition de l'onomatopée « toc » dans le but d'imiter le son d'une personne frappant à une porte. Il est possible de ne répéter que deux fois le son.
Un exemple connu de ce type de blague :
La chute porte sur les premières paroles du refrain de l'Internationale.
Une variante très connue[réf. souhaitée] :
– Toc, Toc, Toc.
– Qui est là ?
– Oui.
– Oui qui ?
– Wikipédia !
La chanson de Ray Ventura et ses Collégiens, Toc, toc partout, 1936, musique de Charlys, arrangement de Raymond Legrand et paroles de Maurice Vandair, est entièrement composée de telles blagues. Voici le début du premier couplet :
Il paraît qu'en Amérique
On pratique un jeu nouveau.
Voulez-vous qu'on vous l'explique ?
Et vous verrez, c'est rigolo.
Toc, toc !
Qui vient là ?
C'est Edmond.
C'est Edmond quoi ?
Edmond-nous les uns les autres
D'un amour comme le nôtre…
Les paroles de la chanson Knock, Knock, Who's There? de Spike Jones sont entièrement faites de ces jeux de mots[2].