Trèves est une commune française située dans l'ouest du département du Gard, en régionOccitanie. Ses habitants sont officiellement appelés les Trévoises, Trévois. Localement il est fait usage du gentilé occitan Trévezennes, Trévezens. La rivière Trévezel traverse le territoire communal d'est en ouest. Le patrimoine architectural de la commune comprend deux immeubles protégés au titre des monuments historiques : le Pont Vieux, inscrit en 1931, et la grotte du Pas-de-Joulié, classée en 1953.
Trèves est une commune rurale qui compte 110 habitants en 2021, après avoir connu un pic de population de 545 habitants en 1866. Ses habitants sont appelés les Trevezais ou Trevezaises.
La commune de Trèves est située dans l'ouest du département du Gard, dans la partie supérieure du bout de la « manche » du département, d'où une frontière sud et ouest avec le département de l'Aveyron. Elle est traversée par deux rivières qui ont la particularité d'être les seules du Gard à verser dans l'Atlantique et non pas en Méditerranée : la Dourbie et son affluent le Trèvezel qui arrose le village de Trèves.
Le territoire communal est morcelé en quatre parties :
Le Causse Noir : toute la partie de la commune située sur la rive droite du Trèvezel. Cela comprend tout le village de Trèves (Sauf les maisons installées au-delà du pont neuf), les hameaux de La Verrière dans la vallée du Trèvezel et de Layolle sur le plateau. Cette section représente environ 9,25 km2 ; elle a son point le plus élevé au Mamorel (947 m) et est traversée du nord au sud par le Valat de Mont-Fleuri qui se jette dans le Trèvezel au niveau de la Verrière ;
Le causse Bégon : toute la partie de la commune située rive gauche du Trèvezel, rive gauche du ruisseau des Fournels jusqu'au col des Rhodes puis rive droite du ruisseau de Lancize et rive droite de la Dourbie. Cela comprend les deux maisons à l'entrée du pont neuf, les hameaux de Combe-Albert et de la Bastide sur le plateau. Cette section représente environ 7 km2 ; elle a son point le plus élevé au Montarlet (1 000 m) et comporte deux cols : celui de la Pierre Plantée (967 m) et celui des Rhodes (922 m) ;
Le plateau de Canayère : il s'agit d'une section détachée du Causse Noir qui comprend la partie de la commune située rive gauche du Trèvezel, rive droite du ruisseau des Fournels jusqu'au col des Rhodes, puis ligne de crête du Suquet. Cela comprend la maison rive droite du Fournels, les hameaux du Villaret (Avec le moulin en bordure du Trévezel), de Canayère et le hameau abandonné d'Esprunier. Cette section représente environ 5 km2 ; elle a son point le plus élevé au Montmal (1 266 m) et est traversée par la route départementale 710 qui a la particularité d'être interdite à la circulation en hiver (Barrières) ;
Les Cévennes : il s'agit de tout le reste de la commune situé versant Dourbie. Il comprend les hameaux de Roucabie (dont la moitié est se positionne sur la commune de Dourbies), de Valdebouze et l'ancienne ferme de Pradarel. Cette section représente environ 4,25 km2 ; c'est là qu'est le point le plus élevé de la commune à 1 298 m, au pied du Rocher de Saint-Guiral.
Trèves est limitrophe de cinq autres communes dont deux dans le département de l'Aveyron. À l'ouest son territoire est distant de 500 mètres de celui de Revens. Au sud-est, son territoire est proche de ceux de deux autres communes : Sauclières à 350 mètres et Alzon à un peu plus de 500 mètres.
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,8 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,9 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 308 mm, avec 10,5 jours de précipitations en janvier et 4,7 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Saint-Sauveur-Camprieu à 8 km à vol d'oiseau[3], est de 8,6 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 474,9 mm[4],[5]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[6].
La commune fait partie de la zone de transition des Cévennes, un territoire d'une superficie de 116 032 ha reconnu réserve de biosphère par l'UNESCO en 1985 pour la mosaïque de milieux naturels qui la composent et qui abritent une biodiversité exceptionnelle, avec 2 400 espèces animales, 2 300 espèces de plantes à fleurs et de fougères, auxquelles s’ajoutent d’innombrables mousses, lichens, champignons[10],[11].
le « massif de l'Aigoual et du Lingas », d'une superficie de 10 546 ha, constituant la ligne de partage des eaux entre Méditerranée et Atlantique. On y trouve des pelouses et landes qu'on peut qualifier de pseudo-alpines, recélant des éléments floristiques des Alpes et des Pyrénées en disjonction d'aire. La diversité spécifique de l'ensemble du site est remarquable, avec en particulier la présence de la très rare Buxbaumia viridis[14] et trois au titre de la directive oiseaux[13] :
le « causse Noir », d'une superficie de 6 192 ha. Il doit son originalité au maintien de pelouses et de milieux ouverts à Mésobromion et Xérobromion, et de milieux dolomitiques à Armerion junceae. De nombreuses espèces de chauves-souris, dont certaines d'intérêt communautaire, fréquentent ces lieux[15] ;
Les « gorges de la Dourbie et causses avoisinants », d'une superficie de 28 057 ha, qui comprennent une grande partie du Causse noir, du Causse du Larzac et du Causse Bégon, ainsi que les gorges qui les séparent. Sept espèces de l'annexe 1 se reproduisent sur le site, parmi lesquelles huit espèces de rapaces[16] ;
le « causse Noir », d'une superficie de 6 103 ha. Ce site accueille la plupart des espèces caractéristiques des pelouses sèches méditerranéennes. Il constitue également une zone d'alimentation privilégiée pour les grands rapaces rupestres qui nichent dans les canyons qui entourent le causse (gorges de la Dourbie, du Tarn, de la Jonte) : le Faucon pèlerin, le Vautour fauve, le Vautour moine, le Hibou grand-duc sont régulièrement vus en chasse sur le Causse[17].
Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
Deux ZNIEFF de type 1[Note 3] sont recensées sur la commune[18] :
les « gorges de la Dourbie et ses affluents » (14 060 ha), couvrant 11 communes dont 6 dans l'Aveyron et 5 dans le Gard[19], et
les « gorges de la Virenque et Pic de Saint-Guiral » (1 003 ha), couvrant 5 communes dont 2 dans l'Aveyron et 3 dans le Gard[20]
et deux ZNIEFF de type 2[Note 4],[18] :
le « causse Noir et ses corniches » (20 863 ha), couvrant 14 communes dont 10 dans l'Aveyron, 3 dans le Gard et 1 dans la Lozère[21] ;
le « causse Bégon et Pas de l'Âne Canayère » (2 277 ha), couvrant 6 communes dont 2 dans l'Aveyron et 4 dans le Gard[22].
Au , Trèves est catégorisée commune rurale à habitat très dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[I 1].
Elle est située hors unité urbaine[I 2] et hors attraction des villes[I 3],[I 4].
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnéeseuropéenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (89,7 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (86,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante :
forêts (46,7 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (43 %), prairies (8,2 %), zones agricoles hétérogènes (2,1 %)[23]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Le territoire de la commune de Trèves est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque particulier : le risque de radon[24]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[25].
La commune est vulnérable au risque de mouvements de terrains constitué principalement du retrait-gonflement des sols argileux[27]. Cet aléa est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 34,5 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (67,5 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 128 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 118 sont en aléa moyen ou fort, soit 92 %, à comparer aux 90 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[28],[Carte 2].
Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[29].
Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Certaines communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon la classification de 2018, la commune de Trèves est classée en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[30].
Cette forme Trevidon est attribuée à Trèves depuis plusieurs décennies, alors qu'elle fait référence à Saint-Laurent-de-Trèves en Lozère. Ce nom est cité par Sidoine Apollinaire dans son 24e poème connu sous le nom de Panégyrique de Narbonne, où il décrit le trajet de sa lettre vers son ami Tonnance Ferreol et sa villa de Trevidon. Dans ce texte, il indique que depuis cet endroit, on peut tout autant admirer le poissonneux Tarn et les cimes du Mont Lozère, or ces particularités géographiques sont inexistantes à Trèves (Gard), alors qu'elles correspondent parfaitement à Saint-Laurent-de-Trèves[32] ;
treve en 1135 (bulle du pape Innocent II qui érige l'abbaye de Nant et lui confère un territoire à administrer dans lequel il est cité l'église Baete Mariae de Treve)[33] ;
Parochia de Treve en 1227 (Cartulaire Notre-Dame de Bonheur chapitre 15) ;
Ecclesia de Treve en 1247 (Idem, chapitre 21) ;
Villa de Treve, ecclesia de Treve en 1262 (Idem, chapitre 61) ;
Claustrum Baetae-Mariae de Trevens en 1289 (Idem, chapitre 103) ;
Apud Trivium en 1289 (Idem, chapitre 102) ;
Locus, parochia de Trivio en 1309 (Idem, chapitres 62 et 74) ;
Villa et vallis de Trivio, et ejus mandamentum en 1321 (Papier famille d'Alzon) ;
Trebe en 1432 (Ménard, III, Preuves) ;
Treves en 1435 (Répartition du subside de Charles VII) ;
Treves, viguerie du Vigan en 1582 (Tar. Universitaire du diocèse de Nîmes) ;
Le prieuré de Sainte-Marie de Treves en 1612 (Insinuations Ecclésiastique du Diocèse de Nîmes)[34].
On peut ajouter les mentions suivantes :
La communauté du lieu de Treves en (Armorial National de France, d'Hozier, Tome II page 842 de l'édition écrite)[35] ;
Albert Dauzat rapporte une forme Trevidon mentionnée au IVe siècle qu’il n'explique pas[31]. Il propose sans conviction le latin trivium « carrefour »[31] (« carrefour de trois rues → carrefour »[36]), hypothèse reprise par la suite[37]. Puis il suggère un *Treba (villa) « propriété de *Trebus », anthroponyme latin non attesté mais basé sur l'existence de Trebenus[31]. Trebenus est par ailleurs considéré comme un nom de personne gallo-romain[38], comprendre implicitement d'origine gauloise (gaulois treb- « habitation »). Plus récemment, il est envisagé directement un recours au gaulois treb- (apparenté au vieil irlandais treb « habitation, exploitation agricole », vieux breton treb « lieu habité » > moyen breton treff « village, ville », voir trève), mais au sens de « village »[39]. En outre, cette racine s'est perpétuée dans l'ancien occitan trevar « habiter » (cf. trèva s.f. « celui qui habite; fréquente » → « fantôme, revenant »). Dauzat rapproche aussi le nom de Trèves (Rhône) et Trèves (Maine-et-Loire, de Trevie 1036)[31].
Un archéologue ayant fait des fouilles, un ancien cimetière a été découvert sous l'église.
Trèves était le plus petit chef-lieu de canton du département du Gard jusqu'au redécoupage cantonal et un des moins peuplés de France, avec seulement 112 habitants en 2010. Son existence a été longtemps liée à l'activité minière.
En effet, les mines de plomb-zinc de Villemagne, sur un filon encaissé dans les calcaires du Lias, ont été exploitées avant la Seconde Guerre mondiale par une société britannique. Dans les années 60-70, des recherches par sondages ont été menées sur le filon, et aussi sur des amas de type stratiforme. Elles n'ont pas été couronnées de succès.
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[41]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[42].
En 2021, la commune comptait 110 habitants[Note 5], en évolution de −17,91 % par rapport à 2015 (Gard : +2,49 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
La commune dépend de l'académie de Montpellier[45]. Une crèche collective est à disposition des jeunes enfants, dans la commune voisine de Lanuejols[46]. Une école maternelle est implantée dans la commune[45]. L'école primaire est partagée avec celle de la commune de Lanuéjols : les classes de CP et CE1 des deux communes sont regroupées à Trèves, les classes du CE2 au CM2 sont regroupées à Lanuéjols[47].
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De 1997 à 2009, Trèves constituait l'avant-dernier ravitaillement sur la grande course des Templiers au mois d'octobre. Depuis, il en est de même mais sur le trail des Hospitaliers le même mois.
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 72 personnes, parmi lesquelles on compte 77,6 % d'actifs (74,6 % ayant un emploi et 3 % de chômeurs) et 22,4 % d'inactifs[Note 6],[I 5]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département.
La commune est hors attraction des villes[Carte 3],[I 8]. Elle compte 29 emplois en 2018, contre 28 en 2013 et 29 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 54, soit un indicateur de concentration d'emploi de 54,7 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 52,5 %[I 9].
Sur ces 54 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 20 travaillent dans la commune, soit 38 % des habitants[I 10]. Pour se rendre au travail, 70 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 2 % les transports en commun, 10 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 18 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 11].
15 établissements[Note 7] sont implantés à Trèves au [I 12].
Le secteur de la construction est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 26,7 % du nombre total d'établissements de la commune (4 sur les 15 entreprises implantées à Trèves), contre 15,5 % au niveau départemental[I 13].
Pont roman (les assises des piliers sont romaines, indiquant la présence d'un ouvrage beaucoup plus ancien emporté par une crue du Trévezel au XIIIe siècle, d'où sa reconstruction romane) ;
Fontaine ;
Fort de la Baume de Saint Firmin, aménagé au XIIIe siècle pour se protéger des invasions puis des incursions anglaises (la grotte n'a jamais été occupée au Chasséen à cause de la rivière intérieure) ;
D'azur, à la fasce d'or, accompagnée de trois haches d'armes d'argent, posées en pal, deux en chef et une en pointe.
Détails
- Créé par Charles d'HOZIER, héraldiste généalogiste du roi lors de l'élaboration de l'Armorial Général de France entre 1697 et 1710.
- Colorié dans le TOME 14 LANGUEDOC P695 et blasonné dans le tome 1 Languedoc conservé au cabinet des titres, Pages 842, bureau d’Alès, N°219, Août 1700.
- D’Hozier a amplifié le code régional des blasons de communauté selon le diocèse considéré. Celui d’Alès, dont dépendait le village, était très largement protestant. Aussi pour ne froisser aucune susceptibilité dans ce secteur (À quelques exceptions près), les dessins sont imagés rappelant des blasons seigneuriaux ou bien des jeux de mots par rapport au nom du village ou encore le rappel de faits plus ou moins légendaires.
Pour Trèves il est choisi un mélange entre seigneur et la religion.
L’or, couleur du soleil, représente la foi sous toutes ses formes.
L’azur et les trois haches d’arme proviennent du blason de la famille de Mailhac, co-seigneur de Trèves.
La fasce est une pièce honorable imageant la ceinture des religieux, souvenir du scapulaire des moines, lui-même issu de celui confié au mont Carmel par la sainte Vierge. Trèves est effectivement sous le vocable de la sainte avec Blaise en saint secondaire parce que la paroisse de Dourbies est aussi dédiée à la Vierge.
En résumé on obtient les explications suivantes : Trèves est une possession des Mailhac (Azur et Haches d’arme) qui a foi (Or) en la sainte Vierge (Fasce). Le statut officiel du blason reste à déterminer.
↑La réglementation dans la zone périphérique du parc, dite zone d'adhésion, est plus souple, afin bénéficier d'investissements d'ordres économique, social et culturel afin de freiner l'exode rural et de développer l'équipement touristique de la région.
↑Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[12].
↑Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
↑Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
↑Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
↑Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
↑L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
↑Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
↑L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
↑Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[49].
↑ a et bDaniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )