TEGU se bat également contre la médicalisation psychiatrique (CIM-10) de l'identité de genre des personnes trans et la stérilisation contrainte, et milite plutôt en faveur d'une reconnaissance de l'identité de genre[7]. L'association a salué la décision allemande de permettre l'inscription à l'état civil des enfants sous un « troisième sexe »[8].
L’organisation est décrite dans des documents du Conseil de l’Europe comme fédérant un réseau européen d’associations et de militants transgenres depuis 2005[9]. En 2015, elle compte 74 organisations membres dans 39 pays[10]. TGEU a coordonné au niveau européen l’opposition aux lois (de 17 pays européens en 2016, dont 11 dans l’UE) qui imposent la stérilisation comme préalable au changement d’état civil[11],[12],[13].
(nl) Marysa Demoor, Verslagen van het RUG-centrum voor Genderstudies - 2009, Academia Press, coll. « Verslagen van het Centrum voor Genderstudies - UGent », , 106 p. (ISBN978-90-382-1421-4, lire en ligne)
(en) Stephen Whittle, Lewis Turner, Ryan Combs et Stephenne Rhodes, Transgender EuroStudy : Legal Survey and Focus on the Transgender Experience of Health Care, ILGA-Europe, (lire en ligne)