Trefcon

Trefcon
Trefcon
La mairie.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Aisne
Arrondissement Saint-Quentin
Intercommunalité Communauté de communes du Pays du Vermandois
Maire
Mandat
Véronique Rozier
2020-2026
Code postal 02490
Code commune 02747
Démographie
Gentilé Trefconnais
Population
municipale
82 hab. (2021 en évolution de −7,87 % par rapport à 2015)
Densité 20 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 51′ 31″ nord, 3° 05′ 46″ est
Altitude Min. 61 m
Max. 98 m
Superficie 4,02 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Saint-Quentin
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Saint-Quentin-1
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Trefcon
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Trefcon
Géolocalisation sur la carte : Aisne
Voir sur la carte topographique de l'Aisne
Trefcon
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
Voir sur la carte administrative des Hauts-de-France
Trefcon

Trefcon est une commune française située dans le département de l'Aisne, en région Hauts-de-France.

Géographie

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Représentations cartographiques de la commune
Carte
La commune avec l'emplacement de la mairie dans le département
Carte OpenStreetMap
Carte OpenStreetMap
Carte topographique
Carte topographique
Avec les communes environnantes
Avec les communes environnantes
Entrée de Trefcon
Entrée de Trefcon
1 : carte dynamique ; 2 : carte OpenStreetMap ; 3 : carte topographique ; 4 : avec les communes environnantes ; 5 : entrée du village.

Communes limitrophes

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Communes limitrophes de Trefcon
Vraignes-en-Vermandois Pœuilly
Tertry Trefcon Caulaincourt
Beauvois-en-Vermandois

Hydrographie

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Réseau hydrographique

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La commune est située dans le bassin Artois-Picardie. Elle est drainée par Omignon[Carte 1].

L'Omignon, d'une longueur de 32 km, prend sa source dans la commune de Bellenglise et se jette dans la Somme à Brie, après avoir traversé 16 communes[1].

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseau hydrographique de Trefcon[Note 1].

Gestion et qualité des eaux

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Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Haute Somme ». Ce document de planification concerne un territoire de 1 798 km2 de superficie, délimité par le bassin versant de la Haute Somme est constitué d'un réseau hydrographique complexe de cours d'eau, de marais, d'étangs et de canaux. Le périmètre a été arrêté le et le SAGE proprement dit a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est le syndicat mixte d'aménagement hydraulique du bassin versant de la Somme (AMEVA)[2].

La qualité des cours d'eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l'eau et l'Agence française pour la biodiversité[Carte 2].

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l'année et un hiver froid (°C)[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,2 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 707 mm, avec 11,6 jours de précipitations en janvier et 8,7 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune d'Estrées-Mons à 7 km à vol d'oiseau[5], est de 11,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 647,5 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Au , Trefcon est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[9]. Elle est située hors unité urbaine[10]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Quentin, dont elle est une commune de la couronne[Note 2],[10]. Cette aire, qui regroupe 120 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[11],[12].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d'occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (87,8 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (87,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (86,9 %), forêts (12,2 %), zones agricoles hétérogènes (0,9 %)[13].

L'évolution de l'occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Le village apparaît pour la première fois en 1242 sous le nom de Trevecon dans une charte de l'abbaye Saint-Éloi de Noyon, Treuvecon, Treffcon, Treffecon, Trevecon sur la carte de Cassini puis l'appellation actuelle au XIXe siècle[14].

Carte de Cassini du secteur
(vers 1750).
Vestiges de la route pavée conduisant à la ferme de Cauvigny.

Carte de Cassini
La carte de Cassini ci-contre montre qu'au milieu du XVIIIe siècle, Trefcon (écrit Trevecon) est une paroisse située sur le plateau qui domine la vallée de l'Omignon. Les communications se font par des chemins de terre et des voies sont en projet (en pointillés). Le calvaire au carrefour des routes de Beauvois devait avoir une certaine importance puisqu'il est figuré sur la carte.
Le village disparu de Saint-Martin-des-Prés, qui fait de nos jours partie de Trefcon, était alors une paroisse indépendante avec son église dont il persiste les ruines aujourd'hui. Les ruines du moulin à eau représenté par une roue dentée sur la carte, autour duquel s'était construite une importante fabrique de sucre, sont encore visibles de nos jours.
Au nord, la ferme de Cauvigny, qui s'est appelée Calvini en 1132 puis Calveniacum en 1148, indique que la vigne y était cultivée autrefois[15]
. Cauvigny était reliée à Saint-Martin-des-Prés par une route pavée dont il reste des tronçons actuellement.

Arbre de mai

L'Arbre de mai était une tradition populaire qui consistait à planter, au début du mois de mai, un arbre ou un mât au milieu du village pour fêter le renouveau de la nature. Cette tradition aujourd'hui disparue en Vermandois était encore bien présente au début du XIXe siècle comme le prouve le tragique fait divers ci-après : Dans la nuit du 1er mai, des jeunes gens de Caulaincourt se rendirent à Trefcon pour juger si le mai de cette commune était plus beau que le leur... Une dispute s'éleva et des coups de bâton furent portés des deux côtés... Dans la lutte, le nommé Lesage âgé de 20 ans, de Trefcon, reçut des coups violents sur le crâne..., il succomba pendant la nuit... (Journal des Débats du )[16].

Guerre franco-allemande de 1870-1871
De nombreux combats se sont déroulés à Trefcon en avant la défaite de l'armée française[17].

Première Guerre mondiale
Après la bataille des frontières du 7 au , devant les pertes subies, l'état-major français décide de battre en retraite depuis la Belgique. Le , les Allemands s'emparent du village et poursuivent leur route vers l'ouest[18]. Dès lors commença l'occupation qui dura jusqu'en . Pendant toute cette période, Essigny-le-Petit restera loin des combats, le front se situant à une vingtaine de kilomètres à l'ouest vers Péronne. Le village servira de base arrière pour l'armée allemande.
En , le général Hindenburg décida de la création d'une ligne défense à l'arrière du front ; cette ligne Hindenburg de fortifications s'appuira sur le canal de Saint-Quentin. Comme tous les villages se trouvant à l'avant de cette ligne, Trefcon sera rasé[19]: l'église, l'école, et les habitations seront dynamitées et incendiées; tous les arbres seront sciés à 1 m du sol. Auparavant, le , les habitants du village seront évacués vers Vraignes-en-Vermandois qui sera épargnée pour servir d'abri à la population civile[20].
Après l'Armistice, peu à peu, les habitants évacués sont revenus, mais la population de 170 habitants en 1911 ne sera plus que de 96 en 1921 soit pratiquement la moitié.
Vu les souffrances endurées par la population pendant les quatre années d'occupation et les dégâts aux constructions, la commune s'est vu décerner la Croix de guerre 1914-1918 (France) le [21].
Sur le monument aux morts sont inscrits les noms des cinq soldats de la commune morts pour la France ainsi que de deux victimes civiles .

Politique et administration

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Découpage territorial

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La commune de Trefcon est membre de la communauté de communes du Pays du Vermandois, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé le dont le siège est à Bellicourt. Ce dernier est par ailleurs membre d'autres groupements intercommunaux[22].

Sur le plan administratif, elle est rattachée à l'arrondissement de Saint-Quentin, au département de l'Aisne et à la région Hauts-de-France[10]. Sur le plan électoral, elle dépend du canton de Saint-Quentin-1 pour l'élection des conseillers départementaux, depuis le redécoupage cantonal de 2014 entré en vigueur en 2015[10], et de la deuxième circonscription de l'Aisne pour les élections législatives, depuis le dernier découpage électoral de 2010[23].

Administration municipale

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Le nombre d'habitants de la commune étant inférieur à 100, le nombre de membres du conseil municipal est de 7[24].

Liste des maires

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
avant 1876 après 1877 Vinchon[25]    
mars 2001 mai 2020 Anic Urier DVD Retraitée
Réélu pour le mandat 2014-2020[26],[27]
mai 2020[28] En cours
(au 13 juillet 2020)
Véronique Rozier    

Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[29]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[30].

En 2021, la commune comptait 82 habitants[Note 3], en évolution de −7,87 % par rapport à 2015 (Aisne : −2,08 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
225230202213214248244227232
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
231207214201191185173181175
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
18517417096120129117119124
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
999486878395848289
2017 2021 - - - - - - -
8582-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[31] puis Insee à partir de 2006[32].)
Histogramme de l'évolution démographique

Culture et patrimoine

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Lieux et monuments

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  • Cette commune est située sur le tracé de la via Francigena
  • Trefcon possède une Eschole Picarte, école non officielle de langue picarde.

Personnalités liées à la commune

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Liens externes

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Notes et références

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  1. Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  1. « Réseau hydrographique de Trefcon » sur Géoportail (consulté le 17 septembre 2024).
  2. « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le )
  3. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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  1. Sandre, « l'Omignon »
  2. « SAGE Haute Somme », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le )
  3. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  4. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  5. « Orthodromie entre Trefcon et Estrées-Mons », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Estrees-mons-inra » (commune d'Estrées-Mons) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Estrees-mons-inra » (commune d'Estrées-Mons) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  9. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  10. a b c et d Insee, « Métadonnées de la commune ».
  11. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Saint-Quentin », sur insee.fr (consulté le ).
  12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l'aire d'attraction d'une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  14. « Dictionnaire topographique de la France. , Dictionnaire topographique du département de l'Aisne : comprenant les noms de lieu anciens et modernes / réd. sous les auspices de la Société académique de Laon, par M. Auguste Matton ; publ. par ordre du ministre de l'Instruction publique ; et sous la dir. du Comité des travaux historiques », sur Gallica, (consulté le ).
  15. « Les vignobles et les vins du Laonnois : jadis et aujourd'hui / par Édouard Fleury », sur Gallica, (consulté le ).
  16. « Journal des débats politiques et littéraires », sur Gallica, (consulté le ).
  17. « La guerre de 1870-71.... 34 », sur Gallica (consulté le ).
  18. (en) « Cartographie 1914-1918 - Carte des positions au 28 aout 1914 », sur carto1418.fr (consulté le ).
  19. « Carte des positions 16 mars 1917 », sur carto1418.fr (consulté le ).
  20. « Rapports et procès-verbaux d'enquête de la commission instituée en vue de la commission instituée en vue de constater les actes commis par l'ennemi en violation du droit des gens (décret du 23 septembre 1914). Tome 6-9 / [signé G. Payelle, président ; Armand Mollard,... ; G. Maringer ; Ed. Paillot, rapporteur ; M. Petit,...] », sur Gallica (consulté le ).
  21. http://memorialdormans.free.fr/CommunesCroixDeGuerre14-18.pdf
  22. « communauté de communes du Pays du Vermandois - fiche descriptive au 1er avril 2020 », sur banatic.interieur.gouv.fr (consulté le ).
  23. « Découpage électoral de l'Aisne (avant et après la réforme de 2010) », sur politiquemania.com (consulté le ).
  24. art L. 2121-2 du code général des collectivités territoriales.
  25. Almanach historique administratif et commercial de la Marne de l'Aisne et des Ardennes, Matot-Braine, Reims, 1877, p214.
  26. Préfecture de l'Aisne consulté le 7 juillet 2008
  27. « Liste des maires de l'Aisne » [xls], Préfecture de l'Aisne, (consulté le ).
  28. « Véronique Rozier succède à Anic Urier à la tête de la commune de Trefcon », L'Aisne nouvelle,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  29. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  30. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  31. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  32. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.