Tremblements (film)
Cet article est une ébauche concernant un film français et le Guatemala.
| Réalisation | Jayro Bustamante |
|---|---|
| Scénario | Jayro Bustamante |
| Pays de production |
Guatemala .svg){kind=small} France  Luxembourg |
| Genre | drame |
| Durée | 107 minutes |
| Sortie | 2019 |
Pour plus de détails, voir Fiche technique et Distribution.
Tremblements (en espagnol Temblores) est un film franco-guatémaltèque de Jayro Bustamante sorti en 2019 à l’occasion de la section Panorama de la Berlinale 2019.
Synopsis
[modifier | modifier le code]Pablo se sent coupable. Il a quitté sa femme pour vivre avec Francisco. Sa famille protestante évangélique va le forcer à reprendre son ancienne vie au moyen de la thérapie de conversion.
Fiche technique
[modifier | modifier le code]- Scénario : Jayro Bustamante
- Réalisation : Jayro Bustamante
- Photographie : Luis Armando Arteaga
- Montage : Cesar Diaz et Santiago Otheguy
- Compagnies de production : Tu Vas Voir Productions, La Casa de Production, Memento Films Production, Iris Productions, Arte France Cinéma
- Durée : 107 minutes
Distribution
[modifier | modifier le code]- Juan Pablo Olyslager : Pablo
- Mauricio Armas Zebadúa : Francisco (as Mauricio Armas)
- Diane Bathen : Isa
- María Telón : Rosa
- Sabrina De La Hoz : Pasteur
- Rui Frati : Pasteur
- Magnolia Morales : Cristina
- Sergio Luna : Salvador
- Pablo Arenales : Abel
- Mara Martinez : Eva
Accueil critique
[modifier | modifier le code]Pour le critique de Libération, « avec tact et sobriété, Jayro Bustamante relate la descente aux enfers d'un père de famille […] bravant les interdits », et livre « un cri de rage contre les arcanes de l'injustice[1] ». Le critique du Monde regrette une sensation pesante et conclut que « La tragédie prend alors la densité du plomb et la sensibilité que l’on devrait éprouver face à des situations paroxystiques est comme anesthésiée[2] ». Le critique de Première loue l'acteur principal qui « traduit à la perfection les tourments intérieurs qui agitent son personnage », et encense « un film d’une puissance folle sur l’intolérance, qui fait réellement trembler[3] ».
Notes et références
[modifier | modifier le code]- ↑ Luc Chessel, « "Tremblements". Un pécheur dans les rets du clergé », sur Libération, (consulté le ).
- ↑ Thomas Sotinel, « « Tremblements » : l’ordre règne au Guatemala », sur Le Monde, (consulté le ).
- ↑ Christophe Narbonne, « Critiques de Tremblements », sur Première, (consulté le ).
Voir aussi
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]- David Fontaine, « Les films qu'on peut voir cette semaine : Tremblements », Le Canard enchaîné no 5139, Paris, , p. 6, (ISSN 0008-5405)
Liens externes
[modifier | modifier le code]- Ressources relatives à l'audiovisuel :
- Tremblements sur Outplay
