Trie-la-Ville

Trie-la-Ville
Trie-la-Ville
La mairie de Trie-la-Ville.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Oise
Arrondissement Beauvais
Intercommunalité Communauté de communes du Vexin-Thelle
Maire
Mandat
Claude Vansteelant
2020-2026
Code postal 60590
Code commune 60645
Démographie
Population
municipale
306 hab. (2021 en évolution de −3,47 % par rapport à 2015)
Densité 67 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 17′ 26″ nord, 1° 50′ 00″ est
Altitude Min. 56 m
Max. 114 m
Superficie 4,55 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Gisors
(banlieue)
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Chaumont-en-Vexin
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Trie-la-Ville
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Trie-la-Ville

Trie-la-Ville est une commune française située dans le département de l'Oise, en région Hauts-de-France.

Géographie

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Trie-la-Ville est une commune du Vexin français au confluent de la Troesne et de l'Aunette. La commune est située à 5 km de Gisors et de Chaumont-en-Vexin et à 17 km d'Auneuil, dans l'Oise en Picardie.

Communes limitrophes de Trie-la-Ville
Énencourt-Léage Jaméricourt
Trie-Château Trie-la-Ville
Chaumont-en-Vexin

Hydrographie

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La commune est située dans le bassin Seine-Normandie. Elle est drainée par la Troesne et l'Aunette[1],[2],[Carte 1].

La Troesne, d'une longueur de 27 km, prend sa source dans la commune de Hénonville et se jette dans l'Epte à Gisors, après avoir traversé douze communes[3].

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseau hydrographique de Trie-la-Ville[Note 1].

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[4]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Sud-ouest du bassin Parisien, caractérisée par une faible pluviométrie, notamment au printemps (120 à 150 mm) et un hiver froid (3,5 °C)[5].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,4 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 724 mm, avec 11,5 jours de précipitations en janvier et 8 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Jaméricourt à 4 km à vol d'oiseau[6], est de 11,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 695,7 mm[7],[8]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].

Statistiques 1991-2020 et records JAMERICOURT (60) - alt : 113m, lat : 49°18'23"N, lon : 1°52'46"E
Records établis sur la période du 01-02-1990 au 03-12-2023
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) 1,5 1,4 3,1 4,5 7,5 10,3 12,3 12,4 10 7,7 4,4 2 6,4
Température moyenne (°C) 4,1 4,6 7,3 9,8 13,1 16,2 18,7 18,5 15,4 11,7 7,4 4,6 11
Température maximale moyenne (°C) 6,7 7,8 11,6 15,2 18,6 22,1 25,1 24,7 20,8 15,7 10,4 7,1 15,5
Record de froid (°C)
date du record
−14,8
09.01.09
−14,6
07.02.12
−9,6
01.03.05
−6
06.04.21
−1,8
06.05.19
−0,7
05.06.1991
2,6
04.07.1990
2,7
28.08.1998
0,1
30.09.18
−4,1
28.10.03
−8,6
24.11.1998
−11,1
29.12.1996
−14,8
2009
Record de chaleur (°C)
date du record
15,6
27.01.03
19,4
24.02.1990
24,7
31.03.21
27,2
29.04.10
31
27.05.05
37,6
27.06.11
41,8
25.07.19
39,8
12.08.03
34,8
09.09.23
28,6
01.10.11
21,2
01.11.14
16,6
07.12.00
41,8
2019
Précipitations (mm) 60,5 49,8 50,7 49,3 59,1 54,1 61 56,4 47,9 63,1 64,4 79,4 695,7
Source : « Fiche 60322001 », sur donneespubliques.meteofrance.fr, edité le : 06/12/2023 dans l'état de la base


Au , Trie-la-Ville est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[10]. Elle appartient à l'unité urbaine de Gisors[Note 2], une agglomération inter-régionale regroupant trois communes, dont elle est une commune de la banlieue[Note 3],[11],[12]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 4],[12].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d'occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (85,7 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (87,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (76,4 %), prairies (9,3 %), forêts (7,3 %), zones urbanisées (5,7 %), mines, décharges et chantiers (1,2 %)[13]. L'évolution de l'occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Voies de communication et transports

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La commune est desservie, en 2023, par les lignes 6105, 6107, 6136 et 6145 du réseau interurbain de l'Oise[14].

Le nom de la localité est attesté sous les formes Treia villa (1218) ; apud Triam villam (vers 1220) ; Tria villa (1246) ; Trie la ville (1327) ; Trye la ville (1504) ; Trie-la-Ville (1667)[15].

Trie a d'abord désigné un terrain non cultivé, de l'oïl trie « terrain inculte » »[16], lande, friche, jachére. Du germanique thresk ou threosk[17].

En 1285, Renaud de Trie participe au tournoi de Chauvency-le-Château et s'y distingue : Jacques Bretel raconte ses exploits dans son long poème : Le Tournoi de Chauvency. En 1835, Trie-la-Ville est créée par démembrement de Trie qui prend le nom de Trie-Château.

Héraldique

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Blason de Trie-la-Ville Blason
Parti : au 1er d'or à la bande d'azur, au 2e fascé d'argent et de gueules ; sur le tout, d'azur à la crosse d'or accostée des lettres G et F du même.
Détails
Le blason combine les armes de la famille de Trie, à dextre, celles des Chaumont-Quitry, à senestre et celles de l'abbaye royale de Gomerfontaine, sur le tout[18].
L'écu est timbré de la couronne des Princes de Conty avec deux épis de blé comme soutiens, représentant l'agriculture et les fermes de la commune.
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Politique et administration

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
juin 1995 2014 M. Claude Vansteelant   agriculteur
Réélu pour le mandat 2014-2020[19]

Population et société

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Démographie

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Évolution démographique

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1836. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[20]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[21].

En 2021, la commune comptait 306 habitants[Note 5], en évolution de −3,47 % par rapport à 2015 (Oise : +0,89 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1836 1841 1846 1851 1856 1861 1866 1872 1876
375358365355321300341317298
1881 1886 1891 1896 1901 1906 1911 1921 1926
336341300315315322277262307
1931 1936 1946 1954 1962 1968 1975 1982 1990
258214245244248280270270377
1999 2006 2011 2016 2021 - - - -
327339321313306----
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[22] puis Insee à partir de 2006[23].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges

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La population de la commune est relativement âgée. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 29,8 %, soit en dessous de la moyenne départementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 32,9 % la même année, alors qu'il est de 22,8 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 156 hommes pour 151 femmes, soit un taux de 50,81 % d'hommes, légèrement supérieur au taux départemental (48,89 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[24]
HommesClasse d’âgeFemmes
1,3 
90 ou +
0,0 
8,4 
75-89 ans
9,5 
23,9 
60-74 ans
22,7 
19,7 
45-59 ans
25,7 
16,6 
30-44 ans
12,6 
13,7 
15-29 ans
14,9 
16,3 
0-14 ans
14,7 
Pyramide des âges du département de l'Oise en 2021 en pourcentage[25]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,4 
5,5 
75-89 ans
7,6 
15,6 
60-74 ans
16,3 
20,8 
45-59 ans
20 
19,4 
30-44 ans
19,4 
17,6 
15-29 ans
16,2 
20,6 
0-14 ans
19,1 

Lieux et monuments

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L'église Notre-Dame-de-l'Ascension.

Le château de Trie-la-Ville est un château construit au XIXe siècle sous la période de la première restauration, propriété de la famille de Verdet-Delisle. Il est aujourd'hui le siège de l'association loi de 1901 « Musica Trie » dont l'objet est l'organisation de concerts de musique classique.

En 1909, le domaine est acquis par Claude Casimir-Perier, fils de l'ancien Président de la République et son épouse, Pauline Benda, dite Madame Simone, célèbre actrice de théâtre. Les deux époux décide de remanier complètement la maison. Les intérieurs sont aménagés sur le modèle des grands hôtels particuliers parisiens du début du XXe siècle, avec sous-sol et entresol dévolus au service, monte-plats, dix chambres et leurs salles de bains, vaste espace de réception, six chambres de domestiques, chauffage central, un grand luxe pour l'époque. Des jardins à la française sont dessinés devant la façade sud du château. La construction des fabriques et des bâtiments annexes fut exécutée de 1909 à 1912.

Madame Simone reçoit le Tout-Paris notamment ses amis Charles Peguy, Jean Cocteau et surtout son amant Alain-Fournier. Simone vivra à Trie-la-Ville une liaison passionnée avec le jeune écrivain de neuf ans son cadet. Alain-Fournier passera de longs séjours dans la maison des Casimir-Perier, c'est sous les arbres du parc que l'auteur du Grand Meaulnes écrira, en 1914, plusieurs chapitres de son second roman qu'il appelle alors « Colombe Blanchet », mais qu'il ne pourra achever avant la déclaration de guerre. La correspondance des deux amants a été publiée en 1992, présentée et annotée par Claude Sicard.

En 1914, Simone apprend la mort de son amant sur le champ d'honneur. Jean Cocteau écrira plus tard : "les rires qu'on ne rira plus [...] Claude Casimir-Perier mort, Alain Fournier mort, Charles Peguy mort. Ils rient, nous rions. Simone parle..." Portraits-souvenir, Ed. Grasset, 1935. Elle ne reviendra plus au château de Trie-la-Ville qu'elle décide de mettre en vente. Elle vivra à Paris jusqu'à sa mort en 1985 à l'âge de 108 ans. C'est en femme de lettres qu'elle continuera sa longue existence : membre du jury du prix Femina de 1935 à 1985, salon littéraire, amitiés et influences parisiennes, écriture de romans, mémoires. Le château est finalement acquis par le couturier parisien Rosendhal puis par la famille Conchon.

Le château devient un lieu de musique baroque dans les années 1960. Un américain mélomane, Michael Francis Gibson y créa le « Cercle Musical de Trie » avec Anthony Sidey, célèbre facteur. De nombreux compositeurs et chefs d'orchestre internationaux comme Andre Cluytens et Pierre Boulez viendront séjourner au château de Trie-la-Ville. Dans les années 70, la maison est transformée en dancing, le domaine est considérablement morcelé, le jardin à la française est abandonné. Depuis 20 ans, les propriétaires actuels ont engagé des efforts considérables pour redonner vie à cette demeure et à ses jardins, témoin de l'histoire culturelle du XXe siècle.

Le château est le siège de l'association loi de 1901 « Musica Trie » dont l'objet est l'organisation de concerts de musique classique, notamment baroque avec des artistes comme Alexandre Tharaud, Nicola Marchesini et David Bismuth.

Le grand parc à l'anglaise comprend une grande variété d'essences et de remarquables sujets de buis, de chênes, de platanes et de tulipiers.

Personnalités liées à la commune

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Le château fut acquis en 1909 par Claude Casimir-Perier et son épouse, Pauline Benda, dite Madame Simone, célèbre comédienne de théâtre. Elle y accueillit ses amis Charles Peguy, Jean Cocteau et Alain-Fournier.

Des personnalités du monde de la musique, les chefs d'orchestre Andre Cluytens et Pierre Boulez et des artistes contemporains tels Alexandre Tharaud, Nicola Marchesini et David Bismuth.

Bibliographie

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  • Bernhard Duhamel, Guide des églises du Vexin français : Trie-la-Ville, Paris, Éditions du Valhermeil, , 344 p. (ISBN 2-905684-23-2), p. 310-311
  • Louis Régnier, Excursions archéologiques dans le Vexin français – ouvrage posthume – deuxième série : Trie-la-Ville, Gisors, Imprimerie Benard-Bardel et fils, , 170 p., p. 141-152

Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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  1. Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
  2. Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
  3. Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l'agglomération ou de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine de Gisors comprend une ville-centre et deux communes de banlieue.
  4. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  1. « Réseau hydrographique de Trie-la-Ville » sur Géoportail (consulté le 22 septembre 2024).
  2. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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  1. Sandre, « l'Aunette »
  2. « Fiche communale de Trie-la-Ville », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines dans le bassin Seine-Normandie (consulté le )
  3. Sandre, « la Troesne »
  4. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  5. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  6. « Orthodromie entre Trie-la-Ville et Jaméricourt », sur fr.distance.to (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Jamericourt » (commune de Jaméricourt) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Station Météo-France « Jamericourt » (commune de Jaméricourt) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  9. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  10. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  11. « Unité urbaine 2020 de Gisors », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  12. a et b Insee, « Métadonnées de la commune de Trie-la-Ville ».
  13. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  14. « Transports en commun à Trie-la-Ville », sur oise-mobilite.fr, (consulté le ).
  15. Émile LAMBERT, Dictionnaire topographique de l'Oise, Amiens, (lire en ligne), p. 567.
  16. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, vol. 2, Genève, Droz, , p. 1298.
  17. Philippe Boulfroy, Nom de lieux Picards et particularismes de l'Oise, , p. 57.
  18. Trie-la-Ville dans l'Armorial des villes et des villages de France
  19. « Trie-la-Ville », Cartes de France (consulté le ).
  20. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  21. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  22. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  23. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  24. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Trie-la-Ville (60645) », (consulté le ).
  25. Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département de l'Oise (60) », (consulté le ).
  26. Église Notre-Dame-de-l'Ascension.