Titre original | Panic Button |
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Réalisation |
George Sherman Giuliano Carnimeo |
Scénario |
Hal Biller Morton Friedman Ron Gorton Stephen Longstreet |
Acteurs principaux | |
Sociétés de production |
FICIT Gorton Associates Yankee Seven Arts |
Pays de production |
Italie États-Unis |
Genre | Comédie |
Durée | 90 minutes |
Sortie | 1964 |
Pour plus de détails, voir Fiche technique et Distribution.
Un Américain à Rome (Panic Button) est une comédie américano-italienne réalisée par George Sherman et Giuliano Carnimeo, sorti en 1964.
Un homme d'affaires décide de résoudre ses problèmes fiscaux en ne payant pas d'impôts, et il envisage les différentes possibilités qui s'offrent à lui pour échapper au fisc. Une des façons les plus évidentes est d'investir son argent quelque part. Lui et son frère décident de produire un long métrage de peu de valeur sur le thème de Roméo et Juliette. Le film, pourtant, qui était censé lui faire perdre beaucoup d'argent, est bientôt présenté à la Mostra de Venise et récompensé d'un lion d'or. Ils encaissent alors des gains importants qui lui permettent de payer l'amende du fisc.
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Après avoir échoué à poursuivre une carrière à Hollywood dans les années 1950 pour cause de maccarthysme[3], Maurice Chevalier a tourné de nombreuses coproductions américaines en Europe, dont Un Américain à Rome.
Le film est l'un des nombreux films étrangers dans lesquels joue Jayne Mansfield après avoir été radiée de la 20th Century Studios en 1962.
Tourné avec peu de moyens, le film n'a eu qu'une exploitation modeste. Il ne passait qu'en seconde séance aux États-Unis.
L'idée de faire un film pour échapper au fisc a été revisitée par Mel Brooks en 1968 dans son premier long-métrage Les Producteurs[4].