Titre original | On the Basis of Sex |
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Réalisation | Mimi Leder |
Scénario | Daniel Stiepleman |
Acteurs principaux | |
Sociétés de production |
Participant Media Amblin Partners Robert Cort Productions DreamWorks SKG |
Pays de production | États-Unis |
Genre | Drame biographique |
Durée | 120 minutes |
Sortie | 2018 |
Pour plus de détails, voir Fiche technique et Distribution.
Une femme d'exception (On the Basis of Sex) est un drame biographique basé sur la vie de la juge à la Cour suprême américaine Ruth Bader Ginsburg. Il est réalisé par Mimi Leder et écrit par Daniel Stiepleman. Les rôles principaux sont attribués à Felicity Jones (qui joue Ruth Bader Ginsburg), Armie Hammer, Justin Theroux, Jack Reynor, Cailee Spaeny, Sam Waterston, et Kathy Bates.
La première mondiale du film a eu lieu le au AFI Fest et il a été diffusé aux États-Unis à partir du par Focus Features. Le film reçoit généralement de bonnes critiques, il est décrit comme « bien intentionné bien qu’imparfait », et la performance de Felicity Jones est saluée[1].
Ruth Ginsburg est une jeune femme intelligente, combative, déterminée à devenir avocate comme son mari. En ces années 1950, elle fait partie des quelques femmes admises à Harvard. Brillante, elle surclasse ses condisciples. Son mari, Martin, est atteint d'un cancer, elle fait face, assiste aux cours qu'il devrait suivre tout en s'occupant de leur fillette. Son mari guérit et entre dans un grand cabinet à New-York. Malgré le désaccord du doyen d'Harvard elle le suit. Femme, mère et juive elle n'a aucune chance d'intégrer un grand cabinet. Elle accepte un poste de professeur de droit. Ses étudiants, sa fille l'amènent à prendre à cœur les nombreuses discriminations basées sur le sexe, si elles visent les femmes. Il faut trouver un cas où un homme en est victime pour prouver aux juges conservateurs que ces inégalités sont anticonstitutionnelles et contraires à l'évolution de la société. Ruth va engager le combat.
Site | Note |
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Allociné |
Périodique | Note |
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Ouest France | |
Le Parisien |
Très positif au sujet du film, Ouest France y voit « un biopic féministe et très inspirant ».
Le Parisien est plus mesuré, écrivant que « certaines scènes [...] sentent un peu trop le savon pour avoir l’air totalement authentiques, mais le long-métrage montre assez habilement les obstacles qu’a dû franchir RBG dans l’Amérique des années 50 ».