Elle dispose de plusieurs campus à Clermont-Ferrand et en Auvergne. À proximité du centre-ville de Clermont, on trouve le site Carnot à l'est et le site Gergovia au sud. Le campus des Cézeaux se trouve plus au sud sur la commune voisine d'Aubière. L'IUT est présent à Aurillac, Clermont-Ferrand, Montluçon, Moulins, Le Puy et Vichy. Enfin l'INSPÉ est à Chamalières, Moulins, Le Puy et Aurillac.
Au total, elle forme 37 000 étudiants dont 1 040 doctorants et 4 500 étudiants étrangers[1].
Clermont-Ferrand ne comptait qu'une unique université au XIXe siècle. En 1976, du fait de divergences politiques consécutives à la loi Faure de 1969, l'université fut scindée en deux. L'université Clermont I (plus tard renommée université d'Auvergne) et l'université Clermont II (Blaise Pascal) furent créées par décret du [3], chaque université se répartissant les disciplines. Les deux universités vécurent séparées.
Des réflexions quant à une éventuelle fusion apparurent dès 2012 ainsi qu'à la suite du vote de la loi du sur l’enseignement supérieur et la recherche. Elle fut officiellement annoncée le par les présidents des deux universités[4].
Le nom de la future université fut dévoilé en [5] tandis que son organisation fut présentée en juin de la même année[6]. La fusion fut officialisée par décret du [7],[8]. L'université a obtenu la marque d'excellence « Label I-Site » en 2017[2].
Six grands instituts divisent les disciplines au sein de l'université. Elles sont elles-mêmes divisées en composantes que sont les unités de formation et de recherche (UFR), les écoles et les instituts (au sens du Code de l'éducation).
Localisation des campus de l'université Clermont-Auvergne.
L'université dispose de plusieurs campus à Clermont-Ferrand et sur tout le territoire de l'Auvergne[11].
À proximité du centre-ville de Clermont, on trouve le site Carnot à l'est et le site Gergovia au sud. Le campus des Cézeaux se trouve plus au sud sur la commune voisine d'Aubière.
Le campus abrite les composantes de l'Université liées aux « sciences dures » (UFR en Sciences et Technologies), des écoles d'ingénieurs (SIGMA Clermont, ISIMA Clermont-Ferrand et Polytech Clermont-Ferrand), ainsi que de nombreux laboratoires de recherche.
On y retrouve aussi l'IUT de Clermont-Ferrand, composé de différents pôles technologiques : informatique, réseaux et télécommunications, biologie, génie industriel, maintenance et mesures physiques ainsi que le siège de l'IUT.
L'Université Clermont Auvergne compte 37 unités de recherche (dont les deux tiers sont des unités mixtes, en cotutelle avec des organismes de recherche : CNRS, INRAE (fusion de l'INRA et de l'IRSTEA), INSERM), des structures fédératives de recherche (notamment une Maison des sciences de l'homme) et différentes plateformes[15].
Elle compte également 3 « laboratoires d'excellence » (LABEX), labellisés dans le cadre du Programme Investissement d'avenir :
ClerVolc (Centre clermontois de recherche sur le volcanisme)
IDGM+ (Initiative pour le développement et la gouvernance mondiale)
IMobS3 (Innovative mobility : smart and sustainable solutions)
Cette section est vide, insuffisamment détaillée ou incomplète. Votre aide est la bienvenue ! Comment faire ?
Patrimoine scientifique et collections universitaires
En ce qui concerne la représentation étudiante, plusieurs associations sont représentatives au sein des conseils centraux de l'université Clermont-Auvergne : la Fédération des étudiants d'Auvergne (FedEA), adhérente à la FAGE, en est la structure majoritaire, et coexiste avec d'autres syndicats, comme l'UNEF, ou anciennement l'UNI. D'autres syndicats étudiants émergent sans obtenir pour le moment d'élus : La Cocarde Etudiante et Solidaires étudiant-e-s. Le vice-président étudiant de l'université est Mathis Napierala (FAGE) et le vice-président vie universitaire et conditions de travail est Blaise Pichon.
Il existe également dans la plupart des composantes de l'UCA un BDE (Bureau des étudiants), représentant une ou plusieurs filières à l'instar du BDE Bio’Hazard, du BICA (IAE), du BDE ADESS Clermont (droit, économie, gestion, AES), du BDE géologie, du BDE GEA (IUT gestion des entreprises et des administrations), du BDE [al]chimie, du BDE des Arvernes (Histoire), du BDE Infocom, du BDE Ardus (Arts du spéctacle), ou encore du BDE Ateneo (Espagnol).
Cette section concerne les personnalités liées à l'université Clermont-Auvergne, donc depuis 2017. Voir aussi les personnalités liées aux universités de Clermont-Ferrand, Blaise-Pascal et d'Auvergne.
↑Fabienne Rosenwald (dir.), Repères & références statistiques sur les enseignements, la formation et la recherche. Édition 2017, Paris, MENJ/MESRI, coll. « RERS », (ISBN978-2-11-151752-3, lire en ligne), p. 155.
↑Fabienne Rosenwald (dir.), Repères & références statistiques sur les enseignements, la formation et la recherche. Édition 2018, Paris, MENJ/MESRI, coll. « RERS », (ISBN978-2-11-152402-6, lire en ligne), p. 253.
↑Fabienne Rosenwald (dir.), Repères & références statistiques sur les enseignements, la formation et la recherche. Édition 2019, Paris, MENJ/MESRI, coll. « RERS », (ISBN978-2-11-155474-0, lire en ligne), p. 165.
↑Fabienne Rosenwald (dir.), Repères et références statistiques. Enseignement, formation, recherche. 2020, Paris, MENJ/MESRI, coll. « RERS », (ISBN978-2-11-162253-1, lire en ligne), p. 161.
↑Fabienne Rosenwald (dir.), Repères et références statistiques. Enseignement, formation, recherche. 2021, Paris, MENJ/MESRI, coll. « RERS », (ISBN978-2-11-162562-4, lire en ligne), p. 161.
↑Fabienne Rosenwald (dir.), Repères et références statistiques. Enseignements, formation, recherche. 2022, Paris, MENJ/MESRI, coll. « RERS », (ISBN978-2-11-162578-5, lire en ligne), p. 165.