Veulettes-sur-Mer

Veulettes-sur-Mer
Veulettes-sur-Mer
La falaise de la butte du Catellier au sommet de laquelle était installée une batterie de deux canons.
La promenade a été réhabilitée depuis.
Blason de Veulettes-sur-Mer
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Normandie
Département Seine-Maritime
Arrondissement Dieppe
Intercommunalité CC de la Côte d'Albâtre
Maire
Mandat
Françoise Guillot
2020-2026
Code postal 76450
Code commune 76736
Démographie
Gentilé Veulettais, Veulettaises
Population
municipale
277 hab. (2021 en évolution de −2,46 % par rapport à 2015)
Densité 59 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 50′ 52″ nord, 0° 35′ 49″ est
Altitude Min. 0 m
Max. 81 m
Superficie 4,71 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Saint-Valery-en-Caux
Législatives 10e circonscription de la Seine-Maritime
Localisation
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Veulettes-sur-Mer
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Veulettes-sur-Mer
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Veulettes-sur-Mer
Liens
Site web http://www.ville-veulettes-sur-mer.fr

Veulettes-sur-Mer est une commune française située dans le département de la Seine-Maritime en région Normandie.

Géographie

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Description

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Vue de la vallée de la Durdent.

Surnommé la « perle du pays de Caux », ce petit village français sur la Manche est également une station balnéaire réputée pour sa plage en arc de cercle, la plus longue du département de Seine-Maritime (près de 2 km). La digue a fait l'objet, au milieu des années 2010, de travaux de réhabilitation, incluant des matériaux nobles tels que le bois, s'inscrivant dans le paysage, offrant ainsi à Veulettes une magnifique promenade, accessible aux personnes handicapées et apte à convaincre les promeneurs.

On retrouve des falaises identiques à celles de la ville d'Étretat (à 40 km environ de Veulettes), encerclant la plage. Mais, à la différence d'Étretat, la plage de Veulettes s'insère dans une grande vallée sauvage (peu bâtie), à l'embouchure de la Durdent. Le conservatoire du littoral a fait en 2005 l'acquisition de 10 ha de prairies dans cette vallée, protégée au titre des sites classés depuis plusieurs années. Ce monument naturel de la vallée de la Durdent offre un panorama spectaculaire entre ciel, terre et mer.

Une rivière, aujourd'hui disparue, prenait naissance au pied de l'église et suivait la vallée pour se jeter dans la mer par un estuaire plus important que celui de la Durdent.

Communes limitrophes

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Les communes limitrophes sont Auberville-la-Manuel, Malleville-les-Grès, Paluel et Saint-Martin-aux-Buneaux.

Communes limitrophes de Veulettes-sur-Mer
Manche
Saint-Martin-aux-Buneaux Veulettes-sur-Mer Paluel
Auberville-la-Manuel Malleville-les-Grès

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique franc, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Côtes de la Manche orientale, caractérisée par un faible ensoleillement (1 550 h/an) ; forte humidité de l’air (plus de 20 h/jour avec humidité relative > 80 % en hiver), vents forts fréquents[2]. Parallèlement le GIEC normand, un groupe régional d’experts sur le climat, différencie quant à lui, dans une étude de 2020, trois grands types de climats pour la région Normandie, nuancés à une échelle plus fine par les facteurs géographiques locaux. La commune est, selon ce zonage, exposée à un « climat maritime », correspondant au Pays de Caux, frais, humide et pluvieux, légèrement plus frais que dans le Cotentin[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,9 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 12,2 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 842 mm, avec 12,2 jours de précipitations en janvier et 8,2 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune d'Ectot-lès-Baons à 27 km à vol d'oiseau[4], est de 10,8 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 905,5 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Au , Veulettes-sur-Mer est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[I 1]. Elle est située hors unité urbaine[I 2] et hors attraction des villes[I 3],[I 4].

La commune, bordée par la Manche, est également une commune littorale au sens de la loi du , dite loi littoral[8]. Des dispositions spécifiques d’urbanisme s’y appliquent dès lors afin de préserver les espaces naturels, les sites, les paysages et l’équilibre écologique du littoral, comme par exemple le principe d'inconstructibilité, en dehors des espaces urbanisés, sur la bande littorale des 100 mètres, ou plus si le plan local d’urbanisme le prévoit[9].

Occupation des sols

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Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (79,5 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (86,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (54,3 %), prairies (25,2 %), zones urbanisées (16,1 %), forêts (2,3 %), zones humides côtières (2,1 %)[10]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Architecture

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Le village comprend des constructions d'architectures variées[11] :

  • Les chaumières normandes, en matériaux locaux, avec colombages, toits en chaume et murs en torchis ;
  • Les maisons de pêcheurs, souvent des longères orientées vers le sud, construites en briques, silex et colombages, avec des toits en chaume ;
  • Les maisons d'estivant. Lorsque la commune, bénéficiant du développement des transports, voit entre 1875 et 1914 de nombreux rouennais et parisiens acheter des terrains pour y faire construire des résidences secondaires. Elles sont construites essentiellement en brique et silex, avec des toits en ardoises, et sont situées près de la plage ;
  • Les cabanons du bout de la plage, construits à l'initiative de l 'Abbé Démeillers entre 1948 et 1952, afin de permettre à des familles défavorisées de venir profiter de l'air marin pendant les vacances ou les week-ends. Après diverses tempêtes, il n'existe plus que 80 cabanons. Ceux-ci sont très bien entretenus et appartiennent pour la plupart à des habitants du pays de Caux.

Lieux-dits, hameaux et écarts

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À l'ouest du village, les hameaux du Mesnil et du Heaume restent aujourd'hui encore en dehors de l'agglomération.

Habitat et logement

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En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 493, alors qu'il était de 503 en 2013 et de 497 en 2008[I 5].

Parmi ces logements, 26,2 % étaient des résidences principales, 72 % des résidences secondaires et 1,8 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 93,4 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 5,8 % des appartements[I 5].

Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Veulettes-sur-Mer en 2018 en comparaison avec celle de la Seine-Maritime et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (72 %) très supérieure à celle du département (3,9 %) et à celle de la France entière (9,7 %), caractérisant le net caractère touristique de la commune. Concernant le statut d'occupation de ces logements, 62,5 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (63,8 % en 2013), contre 53 % pour la Seine-Maritime et 57,5 % pour la France entière[I 6].

Le logement à Veulettes-sur-Mer en 2018.
Typologie Veulettes-sur-Mer[I 5] Seine-Maritime[I 7] France entière[I 8]
Résidences principales (en %) 26,2 88 82,1
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 72 3,9 9,7
Logements vacants (en %) 1,8 8,1 8,2

Un projet d'implantation d'un parc de 21 éoliennes en mer a été lancé[Quand ?] au large de la commune, à environ 7 km du rivage. Ce parc devait devenir le premier parc éolien en mer français[réf. nécessaire]. Il a finalement été remisé à la suite de la mobilisation des riverains, entre 2006 et 2011[12].

Le nom de la localité est attesté sous les formes Apud Welletes (sans date), Terram de Welletes (sans date)[13], Molendinorum de Welletes en 1219[14], Mesnil super Weulletes (sans date)[15], In territorio de Welletes apud Osbermare en 1234[16], Manerium nostrum de Welletes en 1236, Port et perroy de Veulettes en 1510[17], Parrochia de Weuletes en 1268[18], Vulletes vers 1240, Obertivilla super Wulletes en 1252, Inter Welletes et Paluel en 1263, Capella de Veulettes (variante Veulletes) en 1337, Veulettes en 1494[19], Veulettes sur la Mer en 1409 et 1411[20], Veulettes en 1715, Veulette en 1757 (Cassini)[21].

Il s'agit du nominatif, diminutif au pluriel, de l'appellatif toponymique du vieil anglais wella / wiella signifiant «  petites source, petites fontaine, petits cours d'eau », il s'agit ici de la rivière la Veulette et du fleuve côtier la Durdent.

Veulettes a pris le nom de Veulettes-sur-Mer en 1937. Toutefois, dès 1900, l'abbé Jules Gayraud, curé de la paroisse, indiquait sur la page de garde de son livre Don Gilles, ou le magicien du XIIIe siècle , curé de Veulettes-sur-Mer[réf. nécessaire].

Préhistoire

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Les premières traces de Veulettes datent de l'époque celtique, où elle était dénommée Werlestes (ou Wellestes)[11].

Veulettes a été un village gallo-romain[11].

En 1044, le sire de Canouville lègue le territoire de Veulettes à l'Abbaye Saint-Ouen de Rouen, d'après une bulle du pape Benoît IX[11].

Temps modernes

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La carte de Cassini ci-contre montre qu'au milieu du XVIIIe siècle, Veulette est un village avec une église située à environ 1,5 km de la côte.

Carte de Cassini du secteur
(vers 1750).

Époque contemporaine

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Le village de Veulettes est à l'origine un village de pêcheurs, installé le long de la rivière la Veulette, à l'abri de la falaise du Catelier[11]

Une batterie de 2 canons, installée au sommet de la falaise de la Butte du Catellier[Quand ?], protégeait le port de Saint-Valery-en-Caux, situé à 15 km à l'est, des éventuelles attaques de navires anglais.

Les villas de 1900 et d'autres.

Une ligne de chemin de fer venant de Caudebec-en-Caux et passant par Cany-Barville a été abandonnée en 1914[réf. nécessaire].

Station balnéaire très en vogue dans les années 1900, sa belle époque prend fin après la Seconde Guerre mondiale. Néanmoins, sous l'impulsion des congés payés, du développement des transports et de la proximité de Veulettes par rapport à Rouen et Paris, le tourisme se développe rapidement après la Seconde Guerre mondiale[11].

Il encore beaucoup de belles villas marquées par l'architecture 1900.

Politique et administration

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Rattachements administratifs et électoraux

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Rattachements administratifs

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La commune se trouve depuis 1926 dans l'arrondissement de Dieppe du département de la Seine-Maritime

Elle faisait partie depuis 1793 du canton de Cany-Barville[22]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

Rattachements électoraux

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Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton de Saint-Valery-en-Caux

Pour l'élection des députés, elle fait partie de la dixième circonscription de la Seine-Maritime.

Intercommunalité

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Veulettes-sur-Mer est membre de la communauté de communes de la Côte d'Albâtre, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé initialement en 2001 et auquel la commune avait transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.

Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République du 7 août 2015, qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants, cette intercommunalité a fusionné avec sa voisine pour former, le , la communauté de communes du Haut Pays du Montreuillois dont est désormais membre la commune.

Liste des maires

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1946 1967 Émile Servan-Schreiber[23]   Journaliste et homme de lettres
Commandeur de la Légion d'honneur, croix de guerre 1914-1918, médaille des évadés de France
Mort en fonction
1967 1983 Denise Brésard   Journaliste, veuve d'Émile Servan-Schreiber
1983 1995 Paul de Buyer RPR Industriel
1995 2014[24] Christian Legrand UMP Boulanger retraité
2014[25] En cours
(au 5 août 2023)
Françoise Guillot[12]   Retraitée
Vice-présidente de la CC de la Côte d'Albâtre (2014 → )
Réélue pour le mandat 2020-2026[26],[27]

Veulettes est jumelée avec la ville de Greenock en Écosse depuis 1946. Charles Corruble (1899-1966), Français libre), décide en 1940 de rejoindre l'Angleterre. Installé avec sa famille à Greenock jusqu'en 1944, ils demandent lors de leur retour à Veulettes le jumelage des deux villes, qui est le premier parrainage européen[11].

Population et société

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Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[28]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[29].

En 2021, la commune comptait 277 habitants[Note 1], en évolution de −2,46 % par rapport à 2015 (Seine-Maritime : −0,14 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
442352340432430455447447424
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
398356336316308313322298305
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
318324356293326294354392457
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
439363342369299296308327318
2014 2019 2021 - - - - - -
290271277------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[22] puis Insee à partir de 2006[30].)
Histogramme de l'évolution démographique

Manifestations culturelles et festivités

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La commune organise chaque année un feu d'artifice pour le , précédé d'une marche aux flambeaux qui remonte vers la mer. Le feu est tiré depuis le bout de la plage, au pied des falaises.

Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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Église Saint-Valery.
Logo monument historique Classé MH (1910).
Le casino.
La promenade de la digue Jean-Corruble.
  • Église Saint-Valery (XIIe siècle)[31].
    La statue de saint Valery est à gauche, face à l'autel, faisant pendant à celle de saint Ouen.
    Un écusson en bas relief, daté de 1635, incrusté dans le mur extérieur de la sacristie, supporte les armes de Veulettes.
  • École de voile de la Côte d'Albâtre.
  • Promenade de la digue Jean-Corruble, édifiée en 1928[12].
  • Falaise du Catelier, sur laquelle s'étendait un vaste oppidum gallo-romain, est creusée de grottes dites « tombeau de Gargantua ».
  • Chemin des Vicly, où l'on peut admirer des grottes artificielles d'où les cultivateurs ont extrait la marne pour la répandre dans leurs champs, afin d'améliorer le rendement de ces derniers.
  • Les anciens du village racontent encore qu'un tunnel piéton relie le hameau du pont Rouge à la commune de Saint-Valery-en-Caux. Ce tunnel aurait été creusé lors de la seconde guerre mondiale afin de permettre une dispersion des troupes militaires.[réf. nécessaire]
  • Un casino est installé à l'extrémité de la promenade aménagée.
  • La commune fait partie, au même titre que Malleville-les-Grès et Paluel, de la zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) dénommée Basse vallée de la Durdent[32].

Personnalités liées à la commune

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Héraldique

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Blason de Veulettes-sur-Mer Blason
D'azur à deux roses d'or rangées en fasce, accompagnées en chef d'un croissant d'argent et en pointe d'un cœur croiseté du même, le tout surmonté d'un lambel aussi d'argent
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Pour approfondir

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Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie

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  • Françoise Guillot et Bernard Ras, Veulettes-sur-Mer, Comité des lettres de Grainville-la-Teinturière et d'histoire de la Vallée de la Durdent, 2007, 480 p.
  • Jérôme Stalin, La Durdent raconte Veulettes-sur-Mer, , 460 p. (ISBN 9782848340081)

Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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  1. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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Site de l'Insee

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  1. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  2. Insee, « Métadonnées de la commune de Veulettes-sur-Mer ».
  3. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  4. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  5. a b et c « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Veulettes-sur-Mer - Section LOG T2 » (consulté le ).
  6. « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Veulettes-sur-Mer - Section LOG T7 » (consulté le ).
  7. « Chiffres clés - Logement en 2018 dans la Seine-Maritime - Section LOG T2 » (consulté le ).
  8. « Chiffres clés - Logement en 2018 dans la France entière - Section LOG T2 » (consulté le ).

Autres sources

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  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  3. GIEC normand, Le climat en Normandie : présentation et évolution, , 18 p. (lire en ligne), p. 2
  4. « Orthodromie entre Veulettes-sur-Mer et Ectot-lès-Baons », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Ectot Les Baons » (commune d'Ectot-lès-Baons) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Ectot Les Baons » (commune d'Ectot-lès-Baons) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  8. « Les communes soumises à la loi littoral. », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr, (consulté le ).
  9. « Loi relative à l’aménagement, la protection et la mise en valeur du littoral. », sur www.cohesion-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  11. a b c d e f et g « Historique », Le village, sur ville-veulettes-sur-mer.fr (consulté le ).
  12. a b et c Guyonne de Montjou, « Françoise Guillot, maire de Veulettes-sur-Mer (Seine-Maritime): « Le risque est d’avoir trop de locations Airbnb » », Le Figaro Magazine,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  13. Bib. Rouen ms. 1207 f. 51, 74.
  14. Archives départementales de la Seine-Maritime, 7 H.
  15. Archives départementales de la Seine-Maritime, 19 H. — charte de G. de Weulletes.
  16. Archives départementales de la Seine-Maritime, 19 H.
  17. Archives départementales de la Seine-Maritime, 14 H. 638, 639.
  18. Archives départementales de la Seine-Maritime, 14 H.
  19. Archives départementales de la Seine-Maritime, G 3267, 1634, 737.
  20. Archives départementales de la Seine-Maritime, Tab. Rouen, Reg. 14 f. 65 v.
  21. Dictionnaire topographique de la France comprenant les noms de lieux anciens et modernes, Dictionnaire du département : Seine-Maritime, page 1057.
  22. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  23. « Mort de M. Emile Servan-Schreiber journaliste, ancien directeur des " Echos " : M. Émile Servan-Schreiber, cofondateur et ancien directeur du journal les Echos, chroniqueur et éditorialiste de nombreuses publications, est décédé vendredi à Veulettes-sur-Mer (Seine-Maritime), localité dont il était le maire depuis 1946. Il était âgé de soixante-dix-neuf ans », Le Monde,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  24. « Christian Legrand, nommé maire honoraire », Paris Normandie,‎ (lire en ligne).
  25. « Liste des maires élus en 2014 »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?) [PDF], Liste des élus, Préfecture de Seine-Maritime, (consulté le ).
  26. « Municipales 2020. À Veulettes-sur-Mer, Françoise Guillot parée pour un nouveau mandat : La maire sortante présente une liste à parité homme-femme et équilibre entre les générations », Paris-Normandie,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  27. « Veulettes-sur-Mer. Un second mandat pour Françoise Guillot élue maire », Le Courrier cauchois,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  28. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  29. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  30. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  31. « Église Saint-Valery », notice no IA00022736, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture- Recensement.
  32. « La basse vallée de la Durdent », sur Muséum national d'Histoire naturelle - Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  33. Bio-bibliographie de Jules Gayraud en ligne
  34. a et b Scores d'Anne-Marie Seghers