Villeneuve-sur-Vère

Villeneuve-sur-Vère
Villeneuve-sur-Vère
Mairie de Villeneuve-sur-Vère.
Blason de Villeneuve-sur-Vère
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Occitanie
Département Tarn
Arrondissement Albi
Intercommunalité Communauté de communes Carmausin-Ségala
Maire
Mandat
Alain Trouche
2020-2026
Code postal 81130
Code commune 81319
Démographie
Gentilé Villeneuvois, Villeneuvoises
Population
municipale
529 hab. (2021 en évolution de +7,74 % par rapport à 2015)
Densité 33 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 00′ 11″ nord, 2° 01′ 45″ est
Altitude Min. 227 m
Max. 321 m
Superficie 15,89 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Albi
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Albi-3
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Villeneuve-sur-Vère
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Villeneuve-sur-Vère

Villeneuve-sur-Vère (en occitan: Vilanòva de Vera), est une commune française, située dans le nord du département du Tarn en région Occitanie. Sur le plan historique et culturel, la commune est dans l'Albigeois, une région naturelle agricole correspondant aux environs de la ville d’Albi.

Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par la Vère, le ruisseau de la Mouline et par divers autres petits cours d'eau.

Villeneuve-sur-Vère est une commune rurale qui compte 529 habitants en 2021. Elle fait partie de l'aire d'attraction d'Albi. Ses habitants sont appelés les Villeneuvérois ou Villeneuvéroises.

Géographie

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Communes limitrophes

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Communes limitrophes de Villeneuve-sur-Vère[1]
Livers-Cazelles Milhavet Virac
Noailles Villeneuve-sur-Vère Mailhoc
Cestayrols Castanet Sainte-Croix
(par un quadripoint)

Géologie et relief

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La commune se situe sur le causse d'Albi-Cordes, l'altitude est de 280 m. La superficie est de 1 589 hectares.

Hydrographie

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La commune est dans le bassin de la Garonne, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne[2]. Elle est drainée par la Vère, le ruisseau de la Mouline, Fossé de Lieur, Fossé du Mazet, le ruisseau de Bésou, le ruisseau de l'Escourou et par deux petits cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de 14 km de longueur totale[3],[Carte 1].

La Vère, d'une longueur totale de 53,2 km, prend sa source dans la commune du Le Garric et s'écoule d'ouest en est. Elle traverse la commune et se jette dans l'Aveyron à Bruniquel, après avoir traversé 15 communes[4].

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseaux hydrographique et routier de Villeneuve-sur-Vère.

En 2010, le climat de la commune est de type climat du Bassin du Sud-Ouest, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[5]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Aquitaine, Gascogne, caractérisée par une pluviométrie abondante au printemps, modérée en automne, un faible ensoleillement au printemps, un été chaud (19,5 °C), des vents faibles, des brouillards fréquents en automne et en hiver et des orages fréquents en été (15 à 20 jours)[6].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12,7 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,2 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 890 mm, avec 10,9 jours de précipitations en janvier et 6 jours en juillet[5]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Albi », sur la commune du Sequestre à 11 km à vol d'oiseau[7], est de 13,8 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 733,9 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 42,3 °C, atteinte le  ; la température minimale est de −20,4 °C, atteinte le [Note 1],[8],[9].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[10]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[11].

Milieux naturels et biodiversité

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Aucun espace naturel présentant un intérêt patrimonial n'est recensé sur la commune dans l'inventaire national du patrimoine naturel[12],[13],[14].

Au , Villeneuve-sur-Vère est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[I 1]. Elle est située hors unité urbaine[I 2]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Albi, dont elle est une commune de la couronne[Note 2],[I 2]. Cette aire, qui regroupe 91 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[I 3],[I 4].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (97 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (97,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (44,9 %), zones agricoles hétérogènes (44,1 %), cultures permanentes (8 %), forêts (3 %)[15]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs

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Le territoire de la commune de Villeneuve-sur-Vère est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[16]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[17].

Risques naturels

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Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment la Vère. La cartographie des zones inondables en ex-Midi-Pyrénées réalisée dans le cadre du XIe Contrat de plan État-région, visant à informer les citoyens et les décideurs sur le risque d’inondation, est accessible sur le site de la DREAL Occitanie[18]. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982 et 2003[19],[16].

Villeneuve-sur-Vère est exposée au risque de feu de forêt. En 2022, il n'existe pas de Plan de Prévention des Risques incendie de forêt (PPRif). Le débroussaillement aux abords des maisons constitue l’une des meilleures protections pour les particuliers contre le feu[Note 3],[20].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Villeneuve-sur-Vère.

La commune est vulnérable au risque de mouvements de terrains constitué principalement du retrait-gonflement des sols argileux[21]. Cet aléa est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (76,3 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 237 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 237 sont en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 90 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[22],[Carte 3].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[23].

Risques technologiques

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Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est susceptible d’avoir des effets graves sur les biens, les personnes ou l'environnement, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[24].

Au bas d'un hameau, près d'un lavoir, on a retrouvé des morceaux d'amphores.

Buste de Simon de Montfort par Feuchère, Château de Versailles.

Vers 1212, Déodat Alaman avait fondé une bastide, Villeneuve-la-nouvelle, à la place de l'ancienne Villeneuve, rasée selon la tradition par Simon de Montfort dont l'histoire signale le passage en 1211 et 1212. La nouvelle cité prospère. Déodat Alaman, ministre des Comtes de Toulouse, est assez habile pour s'abriter toujours derrière le drapeau du vainqueur. On le voit dans le camp de Montfort et après sa mort, on le retrouve dans celui des Toulouse.

Sur l'emplacement de l'ancienne Villeneuve, on édifia Notre-Dame de la Gardelle, corruption de Gardevieille, au milieu du cimetière conservé en son lieu d'origine (route de Cordes). Très restaurée, l'église (XVe) a gardé son clocher-mur.

Armes de Louis d'Amboise

La nouvelle Villeneuve, bâtie à l'aise sur un rebord qui domine la Vère, possède dans son ample disposition et dans l'architecture de maintes maisons l'héritage d'élégance qui lui vient de son appartenance à l'archevêque d'Albi, depuis qu'en 1479, Louis d'Amboise en acquit la seigneurie. Le presbytère conserve ainsi des plafonds à la française et une belle cage d'escalier.

L'église Saint-Sauveur (XVe) a gardé sur sa porte monumentale les armoiries de Julien de Médicis (évêque d'Albi de 1574 à 1588), avec la date de 1582. La restauration de l'intérieur a mis en valeur les harmonieuses proportions de l'édifice. Retable à colonnes du XVIe siècle.

L'église Saint-Étienne de Brès est le dernier témoin d'un village disparu dont il est fait mention bien avant l'an mil. Seules les archives nous le font connaître avec les membres de la famille seigneuriale. L'église gothique (XVe) est bien conservée, avec son clocher-mur et ses culs-de-lampe. Des dalles funéraires et des fresques témoignent encore de sa splendeur passée.

Une autre église, Saint-Michel de Lieur, a quant à elle totalement disparu.

En 1789, la communauté de Villeneuve fait partie de la sénéchaussée de Toulouse et du diocèse d'Albi. Les paroisses sont Saint-Sauveur de Villeneuve, Saint-Étienne de Brès et Notre-Dame de la Gardelle.

En 1790, la municipalité fait partie du canton de Castelnau-de-Lévis, district d'Albi.

An X, la commune est intégrée au canton d'Albi, celui de Castelnau ayant cessé d'exister.

En 1976, la commune est rattachée au canton d'Albi-Nord.

Héraldique

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Villeneuve-sur-Vère

Son blasonnement est : D'azur à un annelet d'or.

Politique et administration

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
mai 1953 mars 1977 Edmond Issoire SE  
mars 1977 mars 1989 Edouard Vigroux SE  
mars 1989 mars 2008 Jean-Marc Vieules SE  
mars 2008 en cours Alain Trouche SE  

Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[25]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[26]. En 2021, la commune comptait 529 habitants[Note 4], en évolution de +7,74 % par rapport à 2015 (Tarn : +1,82 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
700752779844809818823831837
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
780800809752706708704676640
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
608603573510503512503434441
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
409357361366351363387401452
2014 2019 2021 - - - - - -
483493529------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[27] puis Insee à partir de 2006[28].)
Histogramme de l'évolution démographique

En 2018, la commune compte 199 ménages fiscaux[Note 5], regroupant 494 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 22 040 [I 5] (20 400  dans le département[I 6]).

Taux de chômage
2008 2013 2018
Commune[I 7] 8 % 5,5 % 7,7 %
Département[I 8] 8,2 % 9,9 % 10 %
France entière[I 9] 8,3 % 10 % 10 %

En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 288 personnes, parmi lesquelles on compte 77,7 % d'actifs (70 % ayant un emploi et 7,7 % de chômeurs) et 22,3 % d'inactifs[Note 6],[I 7]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département.

La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction d'Albi, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 4],[I 10]. Elle compte 72 emplois en 2018, contre 70 en 2013 et 64 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 201, soit un indicateur de concentration d'emploi de 35,8 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 55,8 %[I 11].

Sur ces 201 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 35 travaillent dans la commune, soit 17 % des habitants[I 12]. Pour se rendre au travail, 91,5 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 1 % les transports en commun, 4 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 3,5 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 13].

Activités hors agriculture

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49 établissements[Note 7] sont implantés à Villeneuve-sur-Vère au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 8],[I 14].

Secteur d'activité Commune Département
Nombre % %
Ensemble 49
Industrie manufacturière,
industries extractives et autres
12 24,5 % (13 %)
Construction 3 6,1 % (12,5 %)
Commerce de gros et de détail,
transports, hébergement et restauration
13 26,5 % (26,7 %)
Information et communication 1 2 % (2,1 %)
Activités immobilières 3 6,1 % (4,2 %)
Activités spécialisées, scientifiques et techniques
et activités de services administratifs et de soutien
5 10,2 % (13,8 %)
Administration publique, enseignement,
santé humaine et action sociale
11 22,4 % (15,5 %)
Autres activités de services 1 2 % (9 %)

Le secteur du commerce de gros et de détail, des transports, de l'hébergement et de la restauration est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 26,5 % du nombre total d'établissements de la commune (13 sur les 49 entreprises implantées à Villeneuve-sur-Vère), contre 26,7 % au niveau départemental[I 15].

Agriculture

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La commune est dans la « plaine de l'Albigeois et du Castrais », une petite région agricole occupant le centre du département du Tarn[29]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 9] sur la commune est la polyculture et/ou le polyélevage[Carte 5].

1988 2000 2010 2020
Exploitations 39 30 25 17
SAU[Note 10] (ha) 1 215 1 225 1 305 1 308

Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 39 lors du recensement agricole de 1988[Note 11] à 30 en 2000 puis à 25 en 2010[31] et enfin à 17 en 2020[Carte 6], soit une baisse de 56 % en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 58 % de ses exploitations[32],[Carte 7]. La surface agricole utilisée sur la commune a quant à elle augmenté, passant de 1 215 ha en 1988 à 1 308 ha en 2020[Carte 8]. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 31 à 77 ha[31].

Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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Église Saint-Sauveur de Villeneuve-sur-Vère.

Château de Villeneuve-sur-Vère

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Un château est mentionné à Villeneuve au moins en 1612[33]. Il se trouvait devant l'église Saint-Sauveur, au bourg, et était en ruines au XIXe siècle[34]. Le château aurait des origines très anciennes, appartenant d'abord aux vicomtes Trencavel[35] puis aux évêques d'Albi[36].

Résidence des évêques d'Albi

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Outre le château, les évêques d'Albi possédaient aussi une résidence dans le bourg, un édifice qui existe toujours à côté de la mairie. Cette résidence en pierre s'élève sur trois étages avec diverses ouvertures ornementées et une porte sculptée. Elle servit ensuite de résidence d'été pour les intendants du diocèse et après la révolution de presbytère[37].

Personnalités liées à la commune

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Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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Notes et cartes

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  • Notes
  1. Les records sont établis sur la période du au .
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Le principe d’un débroussaillement efficace consiste à couper et éliminer tous les bois morts, les broussailles et les herbes sèches 50 mètres autour des habitations et 2 mètres de part et d’autre des voies, élaguer les branches basses des arbres, espacer les arbres et les arbustes situés dans la zone à débroussailler pour éviter que le feu ne se propage d’arbre en arbre, éliminer les arbustes sous les grands arbres pour éviter que le feu ne se propage vers la cime des arbres, toujours se débarrasser des végétaux coupés par compostage, par évacuation en décharge autorisée ou par incinération en respectant la réglementation sur le brûlage et entretenir régulièrement la zone débroussaillée, tous les 2 ou 3 ans maximum sur le pourtour, tous les ans à proximité de l’habitation
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  5. Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
  6. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
  7. L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
  8. Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
  9. L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
  10. Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
  11. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[30].
  • Cartes
  1. « Réseau hydrographique de Villeneuve-sur-Vère » sur Géoportail (consulté le 10 décembre 2021).
  2. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  3. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).
  4. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
  5. « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  6. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  7. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée par département », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  8. « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

Références

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Site de l'Insee

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  1. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  2. a et b Insee, « Métadonnées de la commune de Villeneuve-sur-Vère ».
  3. « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Albi », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  4. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  5. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Villeneuve-sur-Vère » (consulté le ).
  6. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans le Tarn » (consulté le ).
  7. a et b « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Villeneuve-sur-Vère » (consulté le ).
  8. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans le Tarn » (consulté le ).
  9. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
  10. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
  11. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Villeneuve-sur-Vère » (consulté le ).
  12. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
  13. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
  14. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Villeneuve-sur-Vère » (consulté le ).
  15. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans le Tarn » (consulté le ).

Autres sources

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  1. Carte IGN sous Géoportail
  2. « Le réseau hydrographique du bassin Adour-Garonne. » [PDF], sur draaf.occitanie.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  3. « Fiche communale de Villeneuve-sur-Vère », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Occitanie (consulté le ).
  4. Sandre, « la Vère (affluent de l'Aveyron) »
  5. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  6. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  7. « Orthodromie entre Villeneuve-sur-Vère et Le Sequestre », sur fr.distance.to (consulté le ).
  8. « Station Météo-France « Albi », sur la commune du Sequestre - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  9. « Station Météo-France « Albi », sur la commune du Sequestre - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  10. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le )
  11. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le )
  12. « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Villeneuve-sur-Vère », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
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    Cet ouvrage parle exactement d'un "vicomte Roger". Or ce dernier ne peut apparemment qu'être Roger Ier, Roger II ou Raimond-Roger, tous des Trencavel.
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